Mercredi 10 novembre 3 10 /11 /Nov 10:35

 

Depuis plus de trente ans, je garde des contacts avec Nadine, une camarade de classe de collège, puis de lycée et que cette dernière, s’est toujours amusée depuis le temps à jouer de ma patience en arrivant soit en retard à des rendez-vous, soit en les oubliant depuis notre adolescence. 

 

Les hasards de la vie ont fait que j’ai travaillé quelques années sur Paris, laissant ma famille en province, mais en la retrouvant les week-ends, mais aussi de pouvoir retrouver Nadine, sur place, notre camaraderie de classe, d’adolescence s’étant au fil des années, malgré la séparation géographique, transformée en amitié longue et durable. Nous nous sommes tous deux mariés de notre côté à une année d’intervalle, mais Nadine n’a pas eu beaucoup de chance, puisqu’il y a quelques années de cela, elle a divorcé d’un mari volage …

 

Nous avons donc profité de mon séjour parisien pour renforcer nos liens et aussi profiter de cette amitié pour l’aider dans ses malheurs. Il faut dire que Nadine et moi, nous nous adorons, voir nous aimons plus que frère et sœur, mais moins que mari et femme … sans toutefois nous désirer sexuellement l’un et l’autre !!!


Nous avions pris l’habitude de nous téléphoner une fois par semaine et de nous retrouver de temps en temps, soit dans un restaurant, soit pour une sortie cinéma ou théâtre, sortie auxquelles bien sûr, Nadine arrivait toujours en retard !!! Lors de l’une de nos conversations téléphoniques, alors que je lui reprochais tous ses retards et tous les tours pendables de notre jeunesse qu’elle avait pu me jouer, elle m’avoua que depuis que nous nous connaissions, elle rêvait de me pousser à bout pour connaître les limites à ne pas dépasser, tout en voulant connaître ce qu’elle risquait à ce jeu. Je lui demandais si elle aurait le cran de me répéter tout ceci les yeux dans les yeux et que si vraiment elle réussissait à me « pousser à bout », ce qu’elle risquait au pire, c’était de recevoir une bonne fessée, jupe retroussée, fessée méritée depuis pas mal d’années et qu’en y réfléchissant, c’était plus l’occasion qui m’avait manqué que l’envie de la lui donner … elle me répondit par des éclats de rire, précisant même que son « charmant petit popotin musclé » résisterait à la punition !!! Avant de nous quitter, nous convînmes d’une sortie restaurant pour la semaine à venir et l’invitais à être à l’heure, sous peine de fessée en cas de retard, et l’invitais à porter des collants opaques, car au moins en cas de fessée jupe retroussée, son honneur serait sauf car je ne verrai pas ses dessous.

 

La semaine suivante, nous nous retrouvâmes à l’heure, ce qui était exceptionnel, devant le restaurant convenu où elle arriva en m’annonçant que pour une fois elle était à l’heure car elle avait eu une peur bleue de la fessée et tout cela bien sûr le sourire aux lèvres … en la regardant, je remarquais que pour cette soirée, elle avait revêtue une robe assez ample et qu’elle portait des collants très opaques ; avait-elle prévu d’être en retard ??? La soirée fut comme toujours formidable et comme elle m’avait rejoint dans Paris par les transports en commun, nous convînmes qu’il était hors de question qu’elle rejoigne son domicile à cette heure si tardive par le métro, puis le train et comme presque à chaque fois, je la raccompagnais chez elle, dans les Yvelines voisines.

 

En arrivant à son domicile, elle me demanda de l’y accompagner car elle avait quelques cadeaux pour mes enfants. Une fois dans le salon, elle me remit les cadeaux et s’approchant de moi avec son sourire d’ingénue, me demanda que si elle avait vraiment été en retard, est-ce que j’aurais osé lui donner la fessée comme promis ? Je lui répondis que la fessée était en sursis pour cette fois jusqu’à notre prochaine rencontre, mais que vu la tenue qu’elle portait, elle avait certainement tenu compte de mes conseils et avait certainement pensé être en retard … elle enchérit sur le fait qu’elle doutait vraiment de cette fessée.

 

S’approchant de moi, ses yeux bleus dans mes yeux verts, elle me mit au défit de la lui donner vraiment un jour et qu’elle pensait qu’elle resterait toujours sur sa faim, mais qu’à l’avenir, elle allait tester encore plus ma patience … la tentation était trop forte, mais après toutes ces années de provocations, pourquoi en attendre encore d’autres ???

 

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Jeudi 4 novembre 4 04 /11 /Nov 10:40

Voici le récit d'une fessée féminine sur des fesses féminines dont je fus le témoin il y a quelques années :
 
 

Lorsque j’étais encore célibataire, nous passions souvent des samedis soirs entre copains et copines dans l’appartement ou le studio de l’un ou l’une d’entre nous autour d’un plat régional ou tout simplement une pizza.

 

Ce soir là, je me retrouvais le seul homme avec trois copines et collègues Valérie, Nathalie et Patricia. Ce soir là, nous étions chez cette dernière et le repas terminé, la table débarrassée,  elle nous proposa une soirée poker, dont peu de nous autres, mis à part Patricia, ne semblait trop maîtriser les règles de jeu. Nathalie, l’aînée « fille » du groupe semblait bien connaître Patricia pour sa malchance au jeu de hasard et surtout d’argent, aussi la règle de ne pas miser d’argent fut décidée, ainsi que la durée d’une heure pour la partie où l’argent des mises fut remplacé par des haricots secs et tous décidèrent que le gagnant fixerait un jeu au perdant.

 

Tous étant d’accord, la partie commença, les cartes tombèrent, les enchères fictives flambèrent. A 22h30, sonna la fin de la partie et le temps des comptes, dépenses et recettes, pertes et gains et Patricia était la grande perdante … Valérie la grande gagnante, Nathalie et moi-même recouvrant nos mises de départ.

 

Encore tous autour de la table, Valérie annonça qu’elle avait choisi son gage pour Patricia, gage particulier qui, souhaitait-elle, lui ferait passer l’envie de jouer à des jeux d’argent et de risquer, comme cela était déjà arrivé et su d’elle, que Patricia perde une grosse partie de son salaire et tire le reste du mois le diable par la queue … ce gage allait être très particulier et devrait plaire à tous sauf à Patricia … Valérie annonça :

 

V – «  Nathalie et Alain vont prendre tous deux place dans le canapé, tandis que je vais te prendre sur mes genoux Patricia et te donner la fessée ! ».

 

Valérie plaça une chaise devant le canapé où tous deux Nathalie et moi étions confortablement installés et à dire vrai, ravis d’assister au spectacle d’une jolie fille de 25 ans qui allait se faire rougir les fesses, sans trop savoir comment, ni nous deux non plus …

 

Une fois assise, Valérie fit signe à Patricia de s’approcher d’elle et une fois à sa portée, la renversa sans trop de mal sur ses genoux, retroussa la courte jupe de la « perdante » sous laquelle elle portait heureusement un collant foncé, mais Valérie ne s’arrêta pas à ce détail et saisissant ensemble collant et culotte, déculotta généreusement Patricia jusqu’aux genoux, laquelle poussa un « oh » de surprise, suivi d’un « oh !!! » d’indignation, avant de promettre, de jurer, de ne plus jamais jouer à des jeux d’argent.

 

V -  « Il fallait y réfléchir avant ma petite ; je propose donc que tu reçoives de suite une douzaine de claques par jouer … nous étions quatre … j’arrondis donc à cinquante les claques que tu vas compter en cadence !!! ».

 

P – « Mon pauvre derrière ne va jamais supporter cela … je ne peux pas garder mon collant et ma culotte ? »

 

Et pour toute réponse, les claques se mirent à tomber sur le derrière nu, placé face à nous deux, Nathalie et moi, derrière qui bien que musclé et ferme, tressautait sous les impacts, tandis que de l’autre côté nous pouvions voir Patricia grimacer, serrer des dents, appréhender cette fessée s’éternisant, Patricia comptant de 1 à … si bien qu’à partir de 20 claques, non seulement les fesses de Patricia se dodelinaient, ses jambes battaient l’air, ainsi que sa queue de cheval, Patricia serrant à deux mains les pieds de la chaise sur laquelle officiait Valérie. Attendant que la « punie » annonce le chiffre et si elle tardait, une claque plus sèche s’abattait sur sa croupe, l’incitant à ne pas perdre de temps et à ne pas se tromper … Patricia prononça 50 et Valérie cessa … Patricia se releva rapidement, jupe froissée, jambes empêtrées dans le collant et la culotte baissés pour disparaître vers sa salle de bain, les fesses rouges comme des tomates bien rouges.

 

Valérie nous rejoignit entre nous deux sur le canapé, se frottant les deux mains comme si elle était satisfaite de l’ouvrage bien fait.

 

V – « Patricia sait maintenant qu’il vaut mieux rembourser ses dettes avec ses fesses surtout quand elles sont mieux rembourrées que son porte-monnaie !!! ».

 

Nous ne fîmes aucun commentaire encore surpris et ravis de la scène à laquelle nous venions d’assister. Depuis la salle de bain, nous entendions couler de l’eau et je pense sans me tromper que Patricia devait prendre un bon bain de siège, fesses à l’air dans le bidet rempli d’eau fraîche. Enfin, au bout de longues minutes, Patricia réapparut, ayant remis de l’ordre dans sa tenue, ayant abandonné son collant, la jupe sagement lissé sur ses hanches et jambes, les pommettes des joues rouge.

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Samedi 30 octobre 6 30 /10 /Oct 10:40

Début de l’histoire

 

…à force de chercher une vrai fessée, on finit par la recevoir !!!

suite et fin  des mésaventures claquantes et cuisantes de Martine et Dominique

Episode 5 : à force de chercher une vrai fessée, on finit par la recevoir !!!


Je pensais que cette fessée calmerait Dominique, mais c’était bien mal la connaître car cette adorable nantaise, avait de la suite dans les idées … et quelques semaines plus tard, profitant de la durée tardive d’une étude de dossiers, avant de nous séparer, elle renouvela son expérience de me mettre en colère en renversant tout ce qui se trouvait son bureau, ce qui me lui fit dire ce commentaire :

 

A – « Inutile de perdre ton temps ma petite … puisque la fessée de la dernière fois ne semble pas t’avoir totalement convaincue, je vais renouveler l’expérience !!! ».

 

Et joignant le geste à la parole, je me levais, reculais mon siège de bureau, fixait cette jeune trentenaire qui pour une fois ne s’était pas habillée en jeune fille de bonne famille, mais portait un pull col roulé, une jupe kilt assez courte, les jambes gainées de nylon clair et chaussée d’escarpins à talons, avant de lui saisir le poignet, de l’attirer vers moi, derrière le bureau où je reprenais place en m’y asseyant et sans perdre de temps, la couchais allongée en travers de mes cuisses, la maintenant par la taille d’un bras  et retroussant la courte jupe qui par la position était déjà remontée à mi-cuisses et d’avoir la surprise de découvrir que Dominique en cette fin de journée, portait des bas style « Dim-Up » au lieu d’un collant virginal !!! Me remémorant ses paroles :

 

« je suis un peu déçue car je m’attendais à la recevoir déculottée !!! »

 

sans la moindre hésitation, je lui affirmais :

 

A – « Puisque tu pense qu’une bonne fessée se donne et se reçoit déculottée, je ne veux pas te décevoir … »

 

et saisissant la minuscule culotte blanche, je la lui baissais, non pas à mi-cuisses, mais juste sous les fossettes des fesses, Dominique m’exposant en plein visage, son derrière nu entre le tissu de sa jupe froissée et la lisière dentelée de ses bas … sans me faire le moindre commentaire, sans ajouter la moindre réticence, comme soumise !!! ce qui m’encouragea sans hésiter, à la fesser méthodiquement, en cadence, d’une fesse à l’autre, fesses peu larges et peu potelées, plutôt plates, dont la résistance me surprit, ainsi que celle de leur ravissante propriétaire, tête en bas et fesses en l’air et à l’air …

 

Depuis ce jour, j’ai constaté que ce ne sont pas toujours celles qui possèdent une magnifique paire de fesses larges et potelées, qui sont les plus résistantes à la fessée car les plus menues sont bien souvent plus résistantes, mais parfois au lieu que leurs rondeurs passent par tous les tons du rouge, elles ne rougissent pas, mais gardent trop souvent des marques, des traces de bleus, virant parfois au violacé … même en modérant, contrôlant l’intensité des claques … mais cet inconvénient, je ne le découvris quand arrêtant momentanément de la fesser pour admirer mon ouvrage … ce qui devant l’étendue des dégâts me décida à arrêter la « punition » qui avait quand même duré plusieurs minutes !!!

Relâchant ma force au niveau du tour de taille de Dominique, cette dernière se releva pour me faire face, tout en rabattant sa jupe sur ses hanches, sous laquelle elle glissa ses deux mains pour remonter discrètement en se contorsionnant, sa minuscule petite culotte sur ses hanches ; une fois rhabillée, mi-figue, mi-raisin, tout en se frottant le fond de la jupe à deux mains, elle me fit ce commentaire :

 

D - « Je ne m’attendais pas à ce qu’une fessée déculottée fasse autant de bruit et me picote et me chauffe autant le derrière ! »

et s’approchant de moi, elle me chuchota à l’oreille :

D – « Quand tu veux, tu recommences quand tu veux !!! »

 

Mais le lendemain matin, dans un moment d’intimité, elle me confia :

 

« Lorsque je suis rentrée chez moi hier soir, j’ai regardé mon derrière dans ma glace d’armoire … bonjour les dégâts … j’ai dû étaler de la crème d’arnica sur mes fesses pour faire disparaître les bleus ».

 

Mais ceci ne l’empêcha pas de renouveler l’expérience et je ne me fis pas prier pour recommencer presque une fois par mois et fus toujours surpris de constater que depuis Dominique, hiver comme été, portais toujours des bas.

 

(Merci Alain !)

 

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Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Jeudi 28 octobre 4 28 /10 /Oct 11:02

Début de l’histoire

 

L'art de bien prendre en main une secrétaire qui ne veut qu'en faire à sa tête !!! 

 

Episode 4 : fessée pour jalousie … 

 

Quelques semaines après que Martine eut reçue une magistrale fessée robe retroussée et culote baissée, un soir d’hiver, Dominique, alors que Martine était absente,  vint à aborder le fait que cette dernière ne fumait plus au bureau et me demanda quelle méthode j’avais pu utiliser pour la convaincre aussi efficacement, vu que tous mes précédents essais avaient échoué ???

 

Je lui remémorais le fait que j’avais promis à Martine en cas d’échec d’utiliser une bonne vieille méthode, d’user et d’abuser de la fessée pour la convaincre et comme il y avait eu échec, j’avais tenue ma promesse et avait donné quelques bonnes fessée à Martine.

 

Dominique devant ses aveux, éclata de rire et insinua que pour ne pas paraître idiot et tenir mes promesses, que j’avais du seulement donner quelques tapes sur les fesses à Martine, à raison d’une par fesse et que cela s’était arrêté là, alors qu’elle Dominique, avait une autre et haute opinion de la fessée.

 

A - « Et comment conçois-tu la fessée ? » lui demandais-je ?

 

D - « De la façon la plus classique ; quand la dame ne tient pas compte des observations reçues, qu’elle soit épouse, maîtresse ou secrétaire, elle doit finir plaquée sur les genoux du monsieur, jupe retroussée et culotte baissée pour y recevoir une magistrale fessée !!! »

 

A – « Et que à ton avis qu’est-il arrivé à Martine ? »

 

D – « Non !!! J’y crois pas !!! Tu as donné une telle fessée à Martine ??? »

 

A – « Et pas qu’une … trois minimum pour qu’elle arrête de fumer et cela semble être efficace depuis l’été dernier car je ne l’ai pas encore surprise avec une cigarette en bouche au bureau. »

 

D – « Allez … raconte-moi comment cela s’est passé … »

 

A – « Tu n’avais qu’à être présente et puis vis-à-vis de Martine, c’est quand même plus sympa pour elle de recevoir ses fessées en privé, sans témoin, un petit entretien particulier où ses fesses ont été à l’honneur … »

 

D – « N’empêche que si j’avais assisté à cela, j’aurais été morte de rire de voir sa bonne paire de fesses danser sous tes mains en forme de battoir … (éclats de rire) ; c’est vraiment pas juste car ce sont toujours les « rondes » qui sont fessées, les « menues » comme moi, même si de temps à autre on aimerait recevoir une petite fessée, nous n’avons jamais cette chance … pourtant moi aussi tu m’as vu fumer au bureau !!! »

 

A - « Peut-être, mais tu n’as jamais demandé d’être prise en main si j’ose dire … il fallait de manifester la première !!!  et puis Martine, n’est pas si grosse que cela ; je reconnais bien là la jalousie féminine. »

 

D – « Martine n’est peut-être pas grosse, mais elle m’a dit mettre une taille 40 en jupe … elle a donc un bon derrière et ne devrait pas porter des jupes courtes et moulantes !!! Et moi qu’est-ce que je dois faire pour mériter et recevoir une fessée ? »

 

Et Dominique s’approcha de mon bureau avec une frimousse de chipie, vêtue de façon classique et jeune fille de bonne famille, avec son gilet bleu marine, son chemisier blanc, sa jupe longue style kilt, son collant bleu marine et ses trotteurs. Et joignant le geste à la parole, elle commença à renverser des trombones sur mon bureau, à mélanger des dossiers qu’au fur et à mesure je remettais en ordre … malgré des tentatives répétées, jusqu’à ce qu’elle balaie d’un coup avec son bras tout ce qui se trouvait sur le bureau et le renverse par terre.

 

Cela en était trop ; je ne l’en avais jamais menacée, mais puisqu’elle voulait, qu’elle réclamait une fessée, elle allait la recevoir et de suite. Je me levais, enjambais le tas de dossiers éparpillés sur la moquette, prenais Dominique par la main, l’entraînait vers le bureau inoccupé de Martine, m’asseyait sur la table de décharge, vide de dossiers, basculait Dominique en travers de mes cuisses et puis tant pis pour elle, retroussais amplement le kilt, découvrant son collant nylon bleu marine et la ceinturant par la taille, je fis crépiter sur son modeste fessier de taille 36/38 plusieurs dizaine de claques d’une fesse à l’autre que Dominique reçut sans la moindre plainte, sans le moindre cri, le moindre « aïe ou ouille », mais cherchant quand même à se dérober sous les claques, mais trop maintenue fermement pour y parvenir.

 

Quand je la relâchais et la reposais sur terre, je remarquais qu’elle avait les joues rosies, quant aux fesses, je ne pouvais me prononcer, le collant étant trop opaque …

 

D – « Pas trop mal, mais je suis un peu déçue car je m’attendais à la recevoir déculottée !!! »

 

A – « Je ne fesse jamais déculottée une femme qui porte un collant, car vous êtes peu sexy mesdames les jambes empêtrées dans votre collant baissé aux genoux, la culotte à mi-cuisses …

 

D – « Martine portait des bas ou des collants quand elle a reçu la fessée ? »

 

A – « Qu’est-ce que ça te regarde … tu n’as qu’à lui demander demain quand elle rentrera. »

 

Martine rentra le lendemain, mais jamais Dominique n’osa lui poser la question … mais quand elle me proposa et me conduisit en voiture jusqu’à la gare pour que j’y prenne mon train et rentre chez moi, en ce soir de décembre, elle me fit ce commentaire :

 

D – « J’ai toujours aussi froid aux pieds ce soir, mais ce que j’ai chaud aux fesses. »

 

 

.

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Mercredi 27 octobre 3 27 /10 /Oct 11:35

Début de l’histoire


L'art de bien prendre en main une secrétaire qui ne veut qu'en faire à sa tête !!! 

 

Episode 3 : la recette pour une vraie bonne fessée classique : jupe retroussée et culotte baissée !!! 

 

Deux saisons, hiver et printemps, s’étaient donc succédées, avec deux fessée saisonnières … et l’été arriva. Au retour des vacances, nous nous retrouvâmes et même si Martine avait ralenti sa consommation de cigarettes, du moins au bureau, elle essayait toujours de fumer en cachette, sans se faire surprendre durant nos déplacements. Ce même matin, quelques jours après la reprise, tandis que Dominique était à son tour en vacances, je l’avais complimentée sur son bronzage et l’avait taquinée en lui demandant s’il était intégral, ce à quoi elle m’avait répondu que le bronzage chez les femmes, c’était comme le rôti chez les poulets, seul le blanc était le meilleur !!!

 

L’après-midi même, je la surprenais allumant une cigarette au bureau, à croire qu’elle le faisait exprès et qu’elle devait aimer recevoir la fessée !!! Connaissant la punition qu’elle encourait, elle ne fit aucune objection et se retrouva comme les fois précédentes en position couchée en travers de mes cuisses, bien installée, mais cette fois, après avoir retroussé, en prenant mon temps sa robe d’été, tout en la maintenant plus fermement par la taille, que les deux fois précédentes, je pris l’initiative, que jusqu’à ce jour j’avais réservé à ma femme, de déculotter Martine pour la fesser. Alors qu’elle se préparait à la fessée en serrant les fesses fortement, je sais l’élastique de sa culotte type « brésilien » et la lui rabattis jusqu’aux genoux, déculottant et dévoilant un derrière nu dont la pâleur tranchait sur le bronzage des cuisses de sa propriétaire, laquelle fit ce commentaire d’une voix angoissée :

 

« Oh … non … pas comme ça !!! »

 

Mais elle eut beau contester, se débattre, essayer même de remettre en place sa petite culotte, rien n’y fit et Martine apprit à 40 ans qu’il n’était jamais trop tard pour recevoir une bonne fessée, robe retroussée et culotte baissée, comme une sale gamine ; je pris tout mon temps pour la fesser, soignant mon ouvrage, m’appliquant à donner aux fesses un hâle rougeâtre pour rapprocher leur teinte du hâle des cuisses et jambes bronzées battant l’air, tandis que Martine hurlait, menaçait, suppliait, promettait tandis que ses rondeurs si fermes dès les premières claques, essayaient de se serrer, de se contracter, mais tressautaient dans tous les sens sous l’impact des gifles qui les claquaient, y laissant gifle après gifle, sur chaque fesse, l’empreinte de ma main, empreinte qui rosissait, rougissait au fur et à mesure du temps qui passait sous forme de longues minutes rythmées par le bruit sec des claques sur la peau nue !!!

 

A la fin, Martine resta prostrée en travers de mes cuisses, les fesses toujours à l’air, écarlates, avant qu’elle se redresse, se relève et se reculotte en grimaçant, les yeux embués de larmes, son maquillage ayant coulé sur ses joues, sanglotant … à genoux sur la moquette du bureau, les mains sous la robe, se frottant à deux mains le derrière, elle me demanda ce qui pouvait lui arriver de pire qu’une telle fessée robe retroussée et culotte baissée, ce qui ne lui était pas arrivée depuis l’âge de quinze ans, suite à de mauvais résultats scolaires, et de la main de sa mère, si elle persistait à fumer.

 

Sans hésiter, je lui affirmais que les prochaines fessées seraient toutes semblables à celle qu’elle venait de recevoir, mais que si jusqu’à présent, elle avait été fessée dans l’intimité et la discrétion, entre elle et moi, il se pourrait à l’avenir que Dominique le sache et assiste aux prochaines fessées … et qu’il ne fallait pas qu’elle attende de la part de Dominique à de la solidarité féminine, car quand la fessée est en jeu, il n’y a pas de solidarité entre « filles » et que le spectacle de la fessée la ferait bien rire, sauf bien sûr, elle, Martine !!!

 

Martine ralentit sa consommation de cigarettes, ne fuma plus jamais au bureau ou ne se fit jamais plus surprendre à le faire et depuis quelques années, elle ne fume plus une seule cigarette !!!

 

 

 A suivre…

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Blogs de filles - Communauté : La fessée
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Mardi 26 octobre 2 26 /10 /Oct 10:10

Début de l’histoire

 

L'art de bien prendre en main une secrétaire qui ne veut qu'en faire à sa tête !!!

 

Episode 2 : la première on la cherche, la deuxième on la regrette !!!

 

Je pensais que cette fessée la ferait réfléchir et considérais cette affaire comme classée, mais quelques semaines plus tard, en cours de matinée, je la surpris à nouveau, au bureau, alors qu’elle allait allumer une cigarette. La sermonnant à nouveau, je lui annonçais, sans sourire cette fois, qu’elle avait gagné encore une fessée recevable sur l’instant et cette fois, dans mon bureau, où par chance pour elle, j’étais seul, Dominique assurant à son tour les déplacements.

 

Je la recouchais en position en travers de mes genoux, retroussais sa jupe rouge cette fois ci sur ses hanches, découvrant un collant chair et des dessous gris perlé et à nouveau la fessais, aussi fermement que la première fois, mais beaucoup plus longtemps. Martine se débattit plus énergiquement que lors de sa première fessée, battant des jambes dans tous les sens, tentant des d’une main de protéger ses fesses, main que je saisis et lui rabattis dans le dos, criant des « aïe », « ouille », « maman », mais rien n’y fit et je ne m’arrêtais que lorsque la paume de ma main droite était brûlante, tandis que les fesses de Martine sous son collant étaient aussi rouges que sa jupe !!!

 

Martine se releva se massant cette fois, les fesses à deux mains sans même prendre le temps de rabattre sa jupe, regardant par-dessus son épaule l’étendue des dégâts et se tournant vers moi, de dos, toujours jupe retroussée à la taille, m’invita, à constater l’ampleur des rougeurs, ce que je fis, constatant la rougeur de ses fesses sous le collant et me certifia que ses fesses brûlaient, chauffaient et cuisaient et qu’elle n’allait pas pouvoir s’assoir de suite … ce qui ne l’empêcha pas se joindre quand même à moi pour aller déjeuner, mais durant le repas elle s’assit du bout des fesses sur sa chaise et plusieurs fois tantôt sérieusement, tantôt sous le ton de la plaisanterie, elle m’annonça qu’elle sentait ses fesses, malgré l’épaisseur de la jupe, du collant et des dessous.

 

Notre travail et notre collaboration dans le travail  continuèrent et parfois, en souriant, Martine évoquait ses deux fessées, les commentait et m’affirmait qu’elles renforçaient notre amitié car elle avait entièrement confiance en moi et pensait que ce « jeu » qu’elle qualifiait d’érotique ne pouvait se pratiquer qu’entre adultes consentants et confiants.

 

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Mardi 26 octobre 2 26 /10 /Oct 09:56
Par isabelle183 - Publié dans : Editorial - Communauté : La fessée
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Mardi 26 octobre 2 26 /10 /Oct 09:13

L'art de bien prendre en main une secrétaire qui ne veut qu'en faire à sa tête !!!

 

Episode 1 : quand il faut donner ce qui est promis

Pendant cinq années, à rennes, j’ai partagé le même bureau que Dominique, mon associée (la trentaine) et Martine, notre secrétaire commune (a quarantaine). Dominique passait les contrats, tandis que j’effectuais des mises en place et des contrôles de sécurité informatique sur tout le Grand Ouest ; à chacun de mes retours, Martine dactylographiait mes rapports.

Martine était parfaite comme dactylo, mais avait quelques défauts ; elle arrivait régulièrement en retard et partait aussi en avance et portait régulièrement des jupes si courtes que lorsqu’elle s’asseyait en croisant les jambes, on pouvait apercevoir la lisière de son collant en hiver ou de ses bas à l’automne.

Entre autre, elle possédait un très gros défaut : elle fumait cigarette sur cigarette, profitant de mes absences pour enfumer le bureau, parfois en compagnie de Dominique. Nous en avions déjà parlé et Martine nous avait demandé de l’aider à ralentir sa consommation de tabac et devant le peu d’empressement de Dominique d’aider une collègue féminine, j’avais tenté de la faire et tout essayé :

-          lui faire calculer ses dépenses en tabac pour lui prouver l’argent qu’elle perdait ;

-         lui confisquer soit les cigarettes, soit le briquet, mais rien n’y faisait ;

-          

En plaisantant un matin, alors que tous trois prenions un café, je lui affirmais, en présence de Dominique qu’il ne restait qu’une solution, la fessée si je la surprenais encore avec une cigarette dans le bureau, ce qui la fit beaucoup rire et elle se vanta même que j’aurais mal aux mains avant elle aux fesses car avec les séances de gymnastique qu’elle pratiquait, elle n’hésiterait pas à serrer ses fesses musclées !!!

Les jours et les semaines passèrent et au retour en soirée d’un contrôle, je surpris Martine, assise au bureau, fumant une cigarette, attendant mon retour pour évaluer son travail de dactylo pour le lendemain, le tout dans une ambiance enfumée. Je lui donnais quelques explications sur son travail du lendemain et au moment de nous séparer et de fermer le bureau avant de rentrer chacun chez soi, je lui rappelais les termes de notre contrat sur sa cure anti-tabac et lui annonçais, sérieusement, mais avec le sourire, qu’elle venait de franchir une étape et de gagner en prime une fessée en sursis depuis  plusieurs semaines, ce qui ne sembla ni l’impressionner, ni la surprendre.

Ce soir là, Marine portait un pull émeraude, une jupe noire assez courte, un collant noir et escarpins. Je m’asseyais sur une des chaises, lui fis signe de s’approcher, ce qu’elle fit sans la moindre peur et une fois à portée de main, je la renversais couchée sur mes genoux, ce qui la fit basculer vers l’avant, le derrière et les jambes en l’air, tandis qu’elle posait ses deux mains à plat sur la moquette, pour rester en équilibre ; la maintenant par la taille de la main et du bras gauches, à la fois pour lui éviter de tomber, mais aussi de s’échapper, je posais ma main droite sur ses cuisses gainées de nylon, puis remontais la courte jupe moulante le long de ses jambes, jusqu’au dessus de la cambrure de ses reins, découvrant la paire de fesses rondes qui allait mériter une attention particulière, sonore, claquante et cuisante, révélant sous le gousset noir du collant, une ravissant petite culotte dans les mêmes tons et sans attendre lui claquais à la fois énergiquement et alternativement les fesses, avec la régularité d’un métronome,  pendant quelques minutes.

Martine, tout en se trémoussant et se débattant entre chaque gifle claquant sur son derrière, me demanda de m’interrompre un peu car dit-elle avait le « rouge au front » ; Comme elle était placée, je ne voyais pas son front, mais avais une vue magnifique sur ses fesses et malgré le collant et les dessous opaques, le rouge commençait à poindre sur ses rondeurs ; je concluais de quelques dernières claques, avant de rabattre du mieux que je pus, la jupe que j’avais retroussée et de l’inviter à se redresser.

Martine se releva, les joues aussi rouges que les fesses, mais ne fit aucun commentaire et nous quittâmes tous deux le bureau.

 

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A suivre 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Jeudi 21 octobre 4 21 /10 /Oct 22:39

 Nous n’étions mariés que depuis deux mois Sylvie et moi quand nous fûmes invités au mariage de deux de nos meilleurs amis, Marc et Christiane. Sylvie avait prévu et promis depuis de nombreuses semaines d’acheter les fleurs, si bien que le samedi matin du mariage, je pensais que nous n’avions plus qu’à les récupérer et rejoindre les futurs mariés à la mairie. Absent toute la semaine par mon travail, j’arrivais à notre appartement où Sylvie m’attendait déjà habillée pour la cérémonie d’un tailleur gris, les jambes gainées de nylon du même ton, chaussée d’escarpins.

 

Pendant qu’à mon tour, une fois douché et rasé, je me préparais, Sylvie devint grognon, se mit à trépigner, m’incitant à me dépêcher et finit par m’avouer qu’elle ne s’était pas occupée des fleurs. Finissant de me préparer, j’entendais Sylvie continuer à tempêter, jusqu’à ce que je l’entende m’accuser d’avoir négligé d’acheter les fleurs. Je sortis de la salle de bain et une fois dans le salon, j’y trouvais Sylvie trépignant des deux pieds sur la moquette, colérant comme une gamine capricieuse.

 

Sans lui laisser le temps de trop réfléchir, je lui pris la main pour l’entraîner vers notre chambre, et m’asseyant sur le bord de notre lit, sans hésitation je la renversais allongée en travers de mes genoux, bien qu’elle ne se laissait pas faire car devinant ce qui allait lui arriver, du moins à ses fesses, se trémoussant dans tous les sens, ruant des jambes, cherchant même à me pincer ; une fois que j’eus fini de lui saisir les deux poignets, je les lui rabattais dans le dos et pouvais enfin retrousser généreusement la jupe du tailleur, une fois le galbe de ses rondes franchi, rabattant le tissu froissé sur sa taille, découvrant dessous une paire de bas gris du plus bel effet, assortis, pour une fois, à la culotte et au porte-jarretelles qu’elle portait ; sans perdre de temps, de ma main libre, saisissant l’élastique de sa ravissante petite culotte gris perlé, je la lui rabattais jusqu’à mi-cuisses, posais ma main droite sur l’une de ses fesses comme pour en prendre la mesure … instinctivement, Sylvie serra fortement les fesses, les crispa, les durcissant comme du marbre, pressentant la bonne fessée qu’elle avait cherchée et qu’elle allait recevoir !!!

 

« Ma chérie, depuis que nous sommes ensemble, c’est à croire que toutes les fessées reçues jusqu’à présent ne t’ont pas servi de leçons … aussi je vais te fesser encore une fois et crois-moi, tu vas regretter d’avoir une bonne paire de fesses potelées !!! »

 

Je levais la main et la fessée crépita dans la chambre, arrachant des cris de rage et de douleur à ma chère jeune épouse, serrant du plus fort qu’elle pouvait ses fesses rondes qui tressautaient sous les gifles, alternant d’une fesse à l’autre, variant aussi parfois en une série rapide sur une fesse, puis sur l’autre, reprenant ensuite alternativement d’une fesse à l’autre. Sylvie criait, suppliait, menaçait, tout en battant des jambes ; les yeux fixés sur les globes fessiers qui tressautaient sous les claques, je ne perdais rien du spectacle offert par Sylvie et si je ne voyais que ses fesses passer du rose au rouge, jusqu’à prendre la couleur de tomates bien mûres, je suis sûr qu’il grimaçait, serrant à la fois les dents et les fesses, retenant par fierté ses larmes de douleur et de rage, mordant à pleine bouche l’oreiller dans lequel elle avait enfui son visage.

 

Enfin après de longues minutes rythmées par le battant de la paume de ma main, mais aussi plusieurs dizaines de paires de claques sur le fessier dénudé de ma chère épouse, vu la couleur, mais aussi la chaleur de ses fesses, je décidais de m’arrêter car il fallait quand même aller chercher des fleurs. Relâchant mon étreinte, Sylvie se releva, fesses et joues écarlates, des larmes au fond des yeux et disparut dans la salle de bain, pour y remettre de l’ordre dans sa tenue. Finissant de me préparer en nouant ma cravate, je retrouvais Sylvie dans le salon, repassant en chemisier, bas et escarpins, la jupe de son tailleur, les fesses écarlates, tranchant sur le gris de ses dessous et de ses bas.

 

Nous trouvâmes des fleurs et le mariage eut lieu, ainsi que les photos des mariés avec nous. Quelques années plus tard, en soirée, nos amis nous projetèrent les photos du mariage et nous apparaissions tous deux sur l’une d’entre elles, Sylvie me tenant par l’épaule, ma main lui enserrant la taille et les hanches. Durant cette projection, elle se pencha à mon oreille et me murmura :

 

 « Tu te souviens de la fessée que tu m’as donnée ce matin là ? Mes fesses en frémissent encore !!! 

 

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Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Jeudi 21 octobre 4 21 /10 /Oct 15:58

Début de l’histoire

 

Voici la fin de mes mésaventures publiques. Merci Zerte pour tes jolis dessins !

 

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Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Zerte - Communauté : La fessée
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Samedi 9 octobre 6 09 /10 /Oct 18:38

Début de l’histoire

 

 

Quelle bougeotte cette jeunesse. Elle  ne tient pas en place,

 

décrit-elle fidèlement, je dois l’admettre, l’impression que lui donne. Sans oublier de se renseigne un peu sur tout. Comment je m’y plais dans le coin. Comment je fais pour marcher sur mes hauts talons au jardin. Pourquoi je ne mets jamais de jeans

 

comme les autres filles de votre âge.

 

A quel point il est rare de trouver une si jeune femme qui est toujours bien coiffée. Sur le joli vernis de mes ongles. Si cela ne me gêne pas pour faire la vaisselle.

 

Et moi je déplace mon poids à chaque question d’une fesse sur l’autre, car j’ai vraiment très mal. Je me jure de ne plus recommencer à embêter mon homme qui est sous toutes ses facettes un être adorable. Avec des avis volontairement tranchés sur bon nombre de questions, certes, mais je sais que c’est lui, l’homme que j’ai cherché depuis mon adolescence. Il a ressenti mon besoin vital de discipline au quotidien et se charge de mon programme éducatif de rattrapage. Objectif fille modèle en tout circonstance.

 

En fait partie bien évidement un comportement irréprochable envers le voisinage et en particulier …

 

…envers la vielle dame d’en face. Une isabelle prévenue en vaut deux !

 

Me voila donc dans une situation délicate. Surtout quand la voisine prend visiblement beaucoup de plaisir à me questionner en long et en large. Avant, je l’aurais envoyée sur les rose. Vite fait, bien fait.

 

Pour montrer bonne conduite je réponds à ses questions avec le sourire forcé. Je sais que cela me donne une allure niaise, un peu attardée. C’est un effet secondaire d’une éducation hyper stricte au martinet qui commence à porter ses fruits. Visiblement il n’y a pas d’âge pour s’y faire. Je constate depuis quelque temps que me dérapages en public se font rares. La bonne mémoire de mon fessier emporte sur mes impulsions. Comme remarque mon homme :

 

Le martinet t’a rendue plus aimable envers tes prochains, isabelle.

 

Incontestablement. Je m’entends avouer :

 

Depuis que je vis avec mon homme je suis pomponnée dès sept heures du matin. Il a su me rendre matinale.

Se lever tôt est  une hygiène de vie très saine

 

, confirme notre voisine.

 

Votre mari respire le sérieux. Vous pouvez être fière de lui.

 

Certes, je suis fière de mon homme. Seulement mes pauvres fesses n’en peuvent plus sur ce banc si étroit et si dur. Il y a un petit soupir qui m’échappe, accompagné de gigotements en conséquence. La voisine n’est pas dupe.

 

On dirait, que vous avez encore mal au  postérieur, isabelle !

 

Elle me sort cette petite pique d’un air triomphant en mettant joyeusement l’accent sur le mot encore.

 

A suivre… Un dimanche, une promenade, une fessée devant les voisines 4 (Petit feuilleton fantaisie)

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
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Samedi 9 octobre 6 09 /10 /Oct 13:42

Début de l'histoire

 

Voila la suite de ma petite mésaventure publique !

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Suite

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Zerte - Communauté : La fessée
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