Dimanche 3 novembre 7 03 /11 /Nov 10:03

Bonne nouvelle ! Mon ami Georges a transmit en images les deux versants de mon fantasme de l'inspection au bureau. Alors pour aujourd’hui voyons un peu comment cela se passe avec l'inspectrice. L'inspecteur fera sa rentrée dans le 4ème volet.

 

inspectrice1.jpg

Puis, moment culminent de la semaine quand arrive l’inspecteur ou l’inspectrice pour me demander le bilan. Jamais content, je dois répondre par la peau de mes fesses en réajustant les objectifs encore plus vers le haut. Je suis déculottée en présence de l'équipe complète et avant de recevoir ma correction, je suis amenée à exprimer un mea culpa sincère sous les discrets ricanements de mes filles.

 

Étant la supérieure, je reçois une discipline exemplaire correspondant à mon statut. Il me semble inutile d'insister sur le fait que pour le reste de journée je suis de très mauvaise humeur et à pendre avec les pincettes, sévissant pour un oui ou un non. Sachant que de retour à la maison, mon mari, prévenu de me pitoyables prestations selon ses propres mots, se chargera pendant le week-end de réviser avec moi de manière particulièrement pertinente et spectaculaire mes objectifs. Et ma réputation de passer les lundis matins toujours debout, faire rire aussi tout les autres services de la boite.

inspectrice2.jpg

 

Voila donc mes deux familles de rêveries. Dans le prochain volet je raconterai comment certains éléments du fantasme de la parfaite secrétaire ont pu se glisser dans ma vraie vie.

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges - Communauté : La fessée
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Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 09:57

LaparfaiteSecr--taire-Le-Bureau-des-Filles-2-Miss-Deloseil.jpg

 

Le bureau des filles; un fantasme

 

Voila un nouveau volet de mon « fantasme de secrétaire » et la manière comment certains éléments s'installent dans ma vie réelle. Aujourd'hui nous sommes à l'adolescence, voir jeune adulte quand j’explore différents facettes qui expérimentent la rivalité féminine atour du sujet actif/passif. Mon ami Georges a bien capté avec son dessin l'aspect double de la situation. Afficher mon autorité devant la punie et devant une personne qui observe. Notons mon penchant tout particulier pour le paddle, petite instrument redoutablement précis, élégant et surtout facile à manier. Et c'est parti pour mes aventures au bureau des filles.

 

Dans cette variante, la redoutable chef de bureau c'est moi. Cela se passe exclusivement entre filles (désolée pour les messieurs!) et il vaut mieux ne pas faire partie de mon service quand on manque le sens ou le goût pour le travail dans une structure de plus hiérarchique.

 

Les tenues et présentations sont imposées jusqu'à la couleur du vernis à ongles. La cadence de travail est soutenue et gare aux fautes. Les petites sont sanctionnées dans mon bureau par une claquante remise à niveau. Il m'arrive souvent « d'oublier » de fermer la porte pour que le service entier profite des corrections à l'ancienne que j'applique avec un solide paddle en cuir qui est accroché à porté de ma main.

 

Concernant les grandes fautes cela se passe devant tout le monde, la jupe et la culotte enlevées pour servir d'exemple. Il en va se soi que la fautive travaillera pour le reste de la journée les fesses à l'air, exposant une rougeur proportionnelle à la gravité de son manquement.

 

Et quand on me demande comment je fais pour assurer un travail d'une qualité irréprochable, je pointe tout naturellement vers le paddle en vantant les méthodes traditionnelles.

 

Toutefois l'ambiance au travail est agréable. Les filles sont loin d'être terrorisées. Même si elle ronchonnent à la vue du paddle , personne ne met en doute le bien-fondé du système punitif.

 

On y trouve de la rivalité féminine toute mignonne. Des filles qui se dénoncent entre elles pour la satisfaction de voir passer leur vilaine collègue sur mes genoux. Par exemple parce que au lieu d'enfiler une culotte réglementaire, elle a essayé de me duper avec un string.

 

A suivre...

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Dimanche 27 octobre 7 27 /10 /Oct 19:14

Parfaite-secretair-1.jpgPetite réédition d'un de mes anciens textes en cinq parties. Cette fois-ci illustrée. J'aime beaucoup découvrir le reflet de mon univers dans les dessins de mon ami Georges. J'aime la richesse des détails et sa manière inimitable de mettre la fessée en image. Je vois des facettes qui m'échappent et qui collent parfaitement à ce qui se passe dans mon imagination. Je crois que mon faible pour le métier de la secrétaire date depuis mon enfance quand je voyais mon papa travailler derrière son grand bureau. Alors j'ai compris qu'une secrétaire occupe une place de choix, car elle a le droit de rester, tandis que les petites filles doivent laisser leur papa tranquille. Plus tard en m'approchant des hommes, j'ai compris également l'impacte du mot secrétaire sur l'imagination masculine. Quasiment aussi efficace que le souhait de disposer d'une soubrette. Je ne considère pas mes expériences comme représentatives, car j'ai toujours eu un faible pour un certain type d'homme. D'où peut-être cette correspondance fantasmatique. Et d'où aussi mes envies de jouer à la petite secrétaire guindée qui cache bien son jeu sous des apparences sages. Assez de bavardage, c'est parti...

 

Au niveau de ses fantasmes, mon homme est parfois … souvent d'une banalité à toute épreuve. C'est ce que j'aime en lui et ce qui me rassure en lui.

 

(Je prépare mes fesses pour ce manque flagrant de respect? )

 

L'envie d'une secrétaire très particulière à sa disposition a dû déjà trotter dans sa tête bien avant de me rencontrer. Il m'a suffit simplement de regarder son étude pour savoir comment lui faire plaisir.

 

Il ne te manque qu'une secrétaire dévouée...

 

Ses yeux se sont aussitôt mis à briller comme chez un petit garçon. C'était beau et touchant à la fois. Puis en discutant un peu j'ai appris autant les « aptitudes » requises pour postuler à un tel poste, autant les exigences vestimentaires à respecter. Et également sur quel ton à parler à mon futur patron :

 

Parfaite-secretaire-2.jpgTu ne saurais pas me donner une formation vraiment sérieuse un de ces jours, chéri ?

 

Mais avant de raconter quelques anecdotes indiscrètes, d'abord un petit échantillon de mes propres fantasmes à ce sujet.

 

Le bureau fantasmatique a hanté très tôt de manière fort agréable mes rêveries. Il en existait deux variantes principales.

 

Dans l'une j'étais employée chez un patron exigeant qui gardait dans le tiroir de son bureau un bandeau en cuir, un strap comme disent les américains pour sanctionner mes fautes professionnelles de manière insolite. J'imaginai mille et une situations pour passer sur ses genoux et l'idée de me faire trousser par lui ma jupe et baisser ma culotte me procurait d'intenses frissons. J'envisageai mes punitions d'une sévérité exemplaire, me laissant pendant des jours avec un derrière strié. Ceci dit, il est bien mignon de voir dans ses fantasmes perdurer des larges striés rouges sur son postérieur. Dans la réalité par contre, à un tel dosage cela ne reste pas rouge longtemps et vire facilement vers des … vilains hématomes !

 

Quant aux tenues particulièrement étudies pour stimuler l'imagination masculine, elle ne faisaient rarement, voir pas du tout partie de mes rêveries d'adolescente.

 

Je ne suis pas gênée pour enfiler des tenues les plus extravagantes dans l'intimité. L'idée d'aller ainsi vêtue dans un endroit spécialisé pour me montrer ne me dérange pas, mais ne m'attire pas non plus. Je préfère rester discrète en public. A moins d'être en excellente compagnie.

 

Ce sont mes rencontres réelles avec un petit (et adorable !) échantillon de la gente masculine qui m'ont enseignées l'emploi de tenues spécialisées et le plaisir que je pouvais partager avec un monsieur en train de perdre toute retenue.

 

A suivre...

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Jeudi 10 octobre 4 10 /10 /Oct 15:09

(Voici un fantasme qui comble autant mon voyeurisme que mon sadisme ! Inspiré par une impressionnante ceinture qui servait dans le temps à corriger mon chéri quand il n'était pas sage. Par ce fait je l'ai baptisé « la ceinture de ma belle-mère ». Ce texte est extrait d'un long récit qui s'appelle donc par la logique des choses: La ceinture de ma belle-mère. Je réédite ici le troisième volet parce que mon ami Georges vient de m'envoyer une jolie illustration pour cet épisode.)

 

La-ceinure-de-Bell-Maman1.jpg

 

J’ai pris mon temps pour inspecter cette ceinture marron foncé sous toutes ses coutures. D’une largeur de 5 cm environ, elle correspondait à la mode de l’époque.  Faite en épais cuir rugueux d’excellente qualité, elle est agréable à toucher et son impacte sur la peau dévoile une belle souplesse.

 

Il ne faisait aucun doute que son usure n’était pas causée en retenant les pantalons, mais par la conséquence de les baisser.

 

Comme m’a dit mon homme, cette ceinture est plus dissuasive par le bruit qui accompagne son usage sur les fesses que par la douleur qu’elle cause.

 

Ma foi, là je suis un peu sceptique, car le :

 

Même pas mal

 

c’est bien un truc des garçons.

 

Sachant la ceinture de ma belle mère à la maison, une multitude de rêveries mes passaient par la tête. J’imaginais d’assister à une punition de mon homme, le voir baisser son jean puis son caleçon en dévoilant ce qui m’attire particulièrement chez lui :

 

Son derrière qui ne craint aucune comparaison avec certains acteurs !

 

Puis je commençais à évoquer dans ma fantaisie une superbe fessée par ma belle-mère, moi à côté en me moquant à haute voix de mon homme.

 

Voila, cela t’apprendra à courir les filles !

 

La ceinture de BellMaman 2En lui tirant ma langue.

 

Mon plaisir augmente dans la même mesure que rougissent les fesses de Monsieur et quand il doit aller au coin, bien gêné dans sa démarche par le jeans et le caleçon aux chevilles je suis aux anges que pour une fois il y a inversion des rôles (Même si je ne le souhaite pas du tout dans la réalité).

 

On m’imagine souvent bien sage à cause de mon discours en faveur de la fidélité en couple. Hein oui je n’ai rien d’une libertine, mais pour moi fidélité ne rime nullement avec absence de séduction et de désir.

 

Alors dans ma rêverie, je me sens très ado, en guettant l’homme au pantalon baissé dans le coin. Au contraire de ce qu’on pourrait imaginer je ne guette pas ses fesses. Moi, j’ai bien envie de voir ce qui se passe par devant, comment l’augmentation sanguine dans le postérieur commence à faire effet sur les parties limitrophes. Et bingo, il y a de quoi à observer. Monsieur au garde à vous. Pour le moins qu’on puisse dire, elle est salutaire cette fessée.

 

Mon fantasme ne s’arrête pas à la pure observation. Il inclut également le droit de balader mes mains sans que mon homme ait le droit de bouger dans son coin. Bien que cela parle de « verges », nous avons déjà quitté le terrain de la fessée…alors rideau et place à la discrétion..

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges
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Mardi 1 octobre 2 01 /10 /Oct 23:21

martinet 1(Voili, voilà, encore un de mes textes qui a inspiré mon ami Georges. Je réédite donc ici un texte, illustré cette fois-ci de mon autre blog. Merci Georges! )

 

A chaque couple son romantisme, non ?

 

Le petit déjeuner, c'est sacré chez nous. Des fruits, des céréales et des produits laitiers et plus particulièrement du « bon fromage », expression qu'affectionne mon chéri, comme base d’une alimentation saine. J’en mange avec grand plaisir depuis que je vis avec lui. Pourtant ce n’était pas du tout un acquis quand j'étais encore célibataire. Notamment les fromages français, dits de caractère qui dérangeaient sacrément mon odorat, élevé dans la pure tradition allemande. Un à priori vraiment bête que j’ai dû vite dépasser.

 

On mange ce qu’on a dans l’assiette, isabelle.

 

Comme il sait bien me parler mon homme. Même à table il réussit à me donner des frissons. Donc effectivement, je ne savais pas de quoi je me privais. Idem pour les fruits ! Et mon corps constate que c'est mieux que le café, les cigarettes (je fumais beaucoup dans le temps) et le manque de sommeil. Jusque là nous restons dans une discipline domestique de bon sens dont un des piliers consiste à punir toute action nocive à la santé. Certes, il semble quelque peu aberrant que de nos jours une femme adulte reçoive une fessée parce qu'elle ne finit pas son assiette. Mais ce fantasme n'est pas aussi rare que l'on ne l'imagine. Pour ma part j'aime beaucoup que mon homme me propose une journée structurée et encore plus qu'il surveille mes négligences. Par conséquence chez nous, le martinet sert dans son sens primaire, comme sanction pour un écartement du bon chemin.

 

martinet 2Je ne suis pas contre le fait d'inclure dans la discipline domestique quelques éléments fantaisistes, pourvu qu'il n'y ai pas rapport avec la douleur ou la contrainte, pour faire plaisir au monsieur. Au contraire, je pense que le but de cette pratique est justement d'être mutuellement au petits soins pour son partenaire. Alors – petit élément sexy – mon chéri aime parfois me voir toute nue à table en face de lui pendant notre premier petit déjeuner, très tôt le matin. En me disant que cela va à la merveille avec un mode de vie bio. Là je trouve qu’il exagère un peu. Mais il a une façon d'argumenter qui me fait rire. Donc en été ou quand la maison est super bien chauffée, pourquoi pas. Sans que cela devienne une obligation non plus. Parce que moi, j’aime passer à table toute pomponnée. Nous prenons le temps. Je parle beaucoup. Monsieur m’écoute. Il m’écoute vraiment. Il s’intéresse à mes réflexions. Il revient à ce que j’avais dit un autre jour et me fait part de ses idées sur le sujet.

 

Monsieur regarde la table que je viens de préparer.

 

Il manque le martinet, isabelle !

 

Tiens. Je m’en doutais. A la base l’idée ne vient pas de lui. C’est un de ces amis de longue date qui lui a sifflé le truc. En racontant des anecdotes des années 60 dans une campagne française. J'ai aussitôt vu comme cela faisait tilt dans la tête de mon chéri. Ses yeux étaient tellement pétillants. Je pense que le monde des fantasmes n’est pas forcement d’une rigidité de toute épreuve qui reproduit toujours la même histoire. C’est comme pour le reste. Il y a des adeptes du « crac-crac boum-boum » et il y a ceux qui sont imaginatifs et évoluent au fil de leur découvertes.

 

martinet 3Après cette mémorable soirée, nous avons eu assez souvent le martinet comme compagnie à table. Et cela nous arrive encore de temps en temps.  Quand Monsieur a besoin de calme. Notamment, parce qu’il a un truc important à faire. On s’y habitue. J’aime beaucoup cette ambiance « interdiction de parler à table » et devoir écouter le « chef de la famille ». (Car d'habitude c'est moi qui blablate.) C’est rétro à bloc et coïncide merveilleusement avec certains de mes fantasmes d’adolescente. Il m’arrivait même de jouer avec les lanières en écoutant.

 

Ne touche pas au martinet, isabelle !

 

Oh pardon, mon chéri.

 

Monsieur adore mon rire. Et il a le sens de l’humour. Et moi, ce que j’aime en mon homme, c’est son sens de détail. De son soucis de récréer une authentique ambiance d’antan. Sans m’infantiliser et en transposant le cadre de la DD sur un niveau d’adulte. C’est à s’y croire. Avec lui la fessée punitive se glisse dans l’univers d’adulte comme une pratique de plus naturelle qui fait intégralement partie de la vie.

 

Un jour je me suis amusée de faire une petite tresse avec les lanières du martinet. Pendant que Monsieur recevait un long coup de fil. J’ai reçu une bonne fessée pour mon manque de sérieux et après avoir dû défaire mon œuvre d’art. Pas bien méchante la fessée. Mais très sonore et brûlante pour me faire réfléchir. En guise d’avertissement de ne plus recommencer. Dans des telles situations je me sens plus proche d’une taquinerie que de la punition pour « vraie faute ». Et, cadre vielle France oblige, j’ai dû passer un petit moment au coin. Du romantisme ? A mes yeux oui !

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Dimanche 30 juin 7 30 /06 /Juin 22:10

Une petite bande dessinée de mon ami Georges. Inspirée - comme c'est flatteur - par un de mes textes. Je trouve un très bon reflet de mon univers, autant pour les dessins que pour les dialogues. Enfin peut-être la robe et le chemisier sont un peu trop sages pour moi...

 

fessée à la pantoufle 1

 

Saloperie de pantoufle

 

Heureusement que mon chéri ne traîne pas dans les parages. Sinon gare à mon derrière qui risquerait de chauffer. Il n'aime pas les vilains mots dans la bouche d'une dame et me voilà réconfortée ou devrais-je dire strictement éduquée pour me promener au beau milieu du droit chemin. N'étant ni une personne révoltée, râleuse ou tourmentée je prends même beaucoup de plaisir de travailler sur mes bonnes manières. Dans une ambiance cocooning avec des petites habitudes qui s’installent au fil du temps dans un couple. Un jour j'avais décidé (notons ma formulation qui est révélatrice !) d'offrir à mon homme une nouvelle paire de pantoufles pour la maison. Quoi ? Moi aussi j’en ai. En un joli rose. Je ne peux tout de même pas me balancer sur des talons aiguilles à longueur de journée. Il faut que je pense aussi un peu au repos de mes jambes. Pour surprendre mon chéri j'ai demandé un paquet cadeau. Et hop le lendemain matin je l'ai mis sur la table du petit déjeuner. Visiblement ravi, il l'a attentivement examiné. Heureusement il n'a pas de tendance « blasé et cool » se manifestant par des remarques comme : les pantoufles c'est pour les... pantouflards! Au contraire, avant même que le soleil ne se levé (nous sommes très petit matin!) un petit déclic et une lueur dans ses yeux qui parle en long et en large. En tapant en même temps avec une de ces pantoufles, en un excellent cuir ceci dit, sur la paume d'une de ses mains.

 

Fessee-a-la-pantoufle2.jpg

 

T'entend cette sonorité, isabelle ? Ça donne envie !

 

Ah ces hommes. Des grands gamins ! Et aussitôt je me sens trahie par mon inconscients qui m'a suggéré un tel achat. Il est vrai que ces pantoufles ressemblent beaucoup à un paddle et on dirait même qu'elles ont inspiré ces redoutables instruments de correction d'un autre âge. Bien évidement Monsieur dans son élan souhaite faire une essai de discipline ludique. Avant même que j'aie fini mon café et ma tartine du matin. Je rouspète un peu pour la forme. Quelle vexation après tout ! Pour moi, l'emploi de la pantoufle, c'est l'opposé d'un rituel joliment mis en scène. L'expression de la flemme à l'état pur de chercher ou de faire chercher par moi un instrument digne de ce nom. De la déculottée sur le champ. Du spontané qui change de la main de Monsieur et donc... du repos pour mes fesses en quelque sorte. Étant (presque) toujours de bonne humeur je ne vais pas priver mon chéri d'un petit plaisir. Il prends son temps pour soulever ma jupe et de me baisser la culotte. Sans oublier de tirer mes jarretelles et de les relâcher subitement causant un petit son caractéristique qu'il adore. Chose que je fais d'ailleurs aussi en toutes discrétion sous la table quand je me sens quelque peu stressée. Elle est toujours édifiante la sensation de se trouver avec les fesses en l'air. Ce n'est pas une question de froid. Nous chauffons bien ! Me présenter mon derrière tout nu, non pas pour séduire mon homme par mes rondeurs, mais pour une situation qui me miroite un contexte éducatif, me procure à chaque fois des intenses émois. Et c'est ainsi que je m'installe sur les genoux de mon chéri. Le son de la pantoufle ressemble étrangement à un paddle. C’est donc du très bruyant et il vaut mieux ne pas s’en servir quand des oreilles indiscrètes sont à proximité. Dans un immeuble peu insonorisé, à coup sûr, le voisin ou la voisine sont vite au courant de ce qui se passe. Sans même être un amateur de la fessée, le son laisse trop bien deviner l’activité. Encore une de ces petites dames, inspirée par les 50 nuages de gris, dirait-on de nos jours d'un air bienveillant et moqueur. Et plus personne ne penserait à une vraie correction, censée d’améliorer un comportement qui laisse à désirer. Ah comme notre société est en train de se « perversifier ».

 

Niveau sensation, la pantoufle c'est du remarquable sans excès. L'effet amoindri est certainement dû au dosage de mon chéri qui n'a rien d'une brute. (Ni d'un simplet d'ailleurs en imaginant que plus que c'est fort, plus que je vais apprécier. Genre de comportement que l'on trouve aussi dans la vanille avec un partenaire occasionnel qui essaye de concurrencer les messieurs qu'il a vu dans de films spécialisés et en lâchant pour couronner le tout un : Tu prends ton pied ?) Je dirais que je trouve la pantoufle plus doux que le paddle, mais néanmoins on s’en souvient une fois passé par là. Pas de traces disgracieuses. Un joli rouge uniforme qui s’en va assez vite.

 

fessee-a-la-pantoufle3.jpg

 

Envie d’intégrer la pantoufle comme petit truc de plus dans notre ménage punitif ?

 

Certainement pas une pantoufle que Monsieur porte à la maison. Cela traîne par terre et on ne sait jamais. Puis il arrive à mon homme de sortir la poubelle ainsi chaussé. Étant très maniaque avec ma peau et je préfère du « fait pour ». Nous n’avons pas des tonnes d’instruments, car un martinet usé par exemple passe tout simplement à la poubelle. Hein oui, pas de sentimentalisme à ce niveau. Alors un petit choix oui, sans tomber dans une collection hallucinante qui prend tout un mur dont on trouve parfois des images sur le net. Et quant aux pantoufles elles garderont leur emploi primaire. Nous n’allons tout de même pas acheter des pantoufles « spécial correction conjugale »…

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges
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Samedi 18 mai 6 18 /05 /Mai 23:28

 

Fessée champêtre1

 

« Fessée au bois, tendres émois »

 

Voici une jolie contribution de mon ami Georges. Je me sens très flattée, déjà parce qu'il me propose gentiment une œuvre originale à la publication sur mon blog, mais de plus parce qu'il la dit inspirée par un de mes textes. Bien évidement je n'ai pas la prétention d'inventer quoique ce soit de nouveau avec mes petits récits. Mais j'adore l'idée d'inspirer d'autres personnes.

 

 

Fessée champêtre2

 

 

 

Et voici une réédition de mon texte !

 

 

Il est bien connu que certaines filles aiment faire pas mal de choses en compagnie de leur meilleure copine. Par exemple quand elles disparaissent au petit coin, «justement pour filles» en laissant les messieurs entre eux. Comme c'est glamour ! Et en prenant un temps fou avant de revenir. Ce qui agace d’ailleurs prodigieusement certains hommes et ce qui intrigue d'autres. Deux réactions masculins qui vont dans le même sens. Je pense que la nuance se trouve dans la différence du tempérament.

 

Que peuvent bien faire deux filles pendant un si long moment ?

 

Enfin les belles sont de retour. C’est l’été et les deux couples décident de profiter du beau temps pour une balade sur un petit chemin en forêt. Rien que d'y penser, il y a toute une panoplie de sensations qui se réveille en moi. D’abord la légèreté du tissu des robes. Leur texture si agréable, les jolis imprimés fleuris, les petits boutons nacrés qui vont de haut en bas. Leur coupe qui rend le soutien gorge superflu. Le plaisir des jambes nues, caressées à chaque pas par la fine étoffe. Le plaisir de sandales à semelle compensé, m'agrandissent instantanément de 15 centimètres et qui me donnent impression de marcher sur un nuage.

 

De leur côté les hommes abordent des sujets « d’hommes ». Sans vraiment savoir comment définir la signification de cette expression, fait est que certaines filles se sentent exclues de telles discussion. Puis le sujet les ennuie franchement. Alors pour attirer l’attention de messieurs, elles font des niaiseries qui culminent en rires « bêtasses », comme aime dire mon homme. Au début les messieurs sont bien patients. Font comme s'ils ne remarquent rien. Continuent stoïquement à s’entretenir. Mais les filles ne se laissent pas décourager. Elles deviennent plus hardies en poussant le bouchon de plus en plus loin avec leur plaisanteries et allusions.

 

Plus haut dans la foret souffle un petit vent qui se perd sous les robes, remonte le long des jambes. Le genre de vent qui plaît aux messieurs, car il soulève parfois les robes pour des aperçus tout mignons : de petites culottes, strings ou … rien du tout comme ce jour-là !

 

Oh les vilaines !

 

Voila ce qu'elles ont manigancées en cachette. Et vu qu'il s'agit d'une histoire de fessée, personne n'a intention de s'adonner à une partie de jambes en l'air de manière classique. Certes, il y a aura des jambes en l'air, mais autrement. Exaspères par tant de mauvaises manières et un harcèlement de plus insolent, en un mot outrés, les hommes décident de se comporter en homme. De mettre une fin à ces gamineries. Alors se lèvent soudainement deux voix masculines, fermes et décidées pour un rappel à l'ordre qui pourrait ressembler à ceci :

 

Assez ! Ça se passera pas comme ça. Si vous arrivez pas à vous comporter en adultes, il faut recourir à d’autres moyens.

 

Se sentir prise... sous les bras de son homme. Sa main qui trousse ma robe. Voir ma copine à côté de moi qui subit le même sort. Pas besoin de descendre les culottes aux chevilles. Il n'y en a pas. Les fesses maintenant vraiment à l'air, échange d'un regard avec ma copine, une envie d'éclater de rire, se sentir prises... sur le fait. Sentir pris les hommes dans nos filets. Sentir pris les hommes par deux belles paires de fesses.

 

Et la fessée commence. Sentir un homme restaurer le respect par des claques vigoureuses de sa main sur un fessier nu. Il y a de la résonance dans cette forêt. Des oiseaux qui s’envolent effrayés par ce bruit inhabituel. Se faire claquer le derrière et entendre la copine se faire claquer en même temps. Un concert improvisé, la discipline orchestrée par un duo, à quatre mains. De la compétition masculine qui flotte dans l'air. Le son qui monte. La peau de mes fesses commence à brûler. Sur ma copine je vois, ce que je ne vois d'habitude jamais. Un fessier qui rougit et qui gagne une apparence « bonne mine ». Un duo des petits cris. La correction ne se veut pas récréative, mais punitive. Puis une main d’homme possède une sacrée force.

 

L’envie d’être sage commence à surgir. La discipline fait de l’effet. Deux grandes filles implorent le pardon de leurs hommes. Jurent de se comporter désormais en femmes adultes en se demandant tout de même si « l'oublie de la culotte » ne serait pas justement un comportement pleinement adulte. Et que le comportement de gamin se trouverait peut-être du côté des messieurs. Dans le fait de passer par un jeu qui leur donne l'idée de contrôler que dis-je de maîtriser pleinement une situation sans stresser sur la performance ou éventuelle contre-performance de leur conjoint dans le caleçon. Et peut-être que la poésie et l’attirance pour l'homme-bricoleur se trouve moins dans ses capacités manuelles, apprécies certes, mais dans sa polyvalence de passer d'un instrument à l'autre. De la main au martinet, à la cravache, au paddle ? Ouiiii , enfin non ! Il n'y a pas d'autres instruments ?

 

Mais si ma poule. Tu veux voir ce que j'ai dans mon sac ? La plus belle collection d'instruments que tu puisses imaginer.

 

Je me dépêche pour mettre une fin à ma vision apocalyptique du fesseur aveugle. Cette après-midi ensoleillée est trop belle pour la gâcher. Aperçu de ce qui doit être un échange de regard complice entre hommes. Le plaisir de corriger une dame, dévoilé sur le visage de l’ami de mon homme. Constater ce que doit être mon expression de visage pendant une punition sur le visage de la copine. Complicité entre hommes décidés et femmes contrites. Le monde tourne bien rond. La vie est belle.

 

Puis la balade continue. Comme rien n’y était. Et comme mentionné plus haut, nous ne sommes pas dans un registre libertin pour finir en part...ze sur un chemin pédestre. Les messieurs ont repris leur conversation. Le fin tissu de ma robe apaise la douleur dans mes fesses. Le vent aussi ajoute le sien. Les filles ne parlent plus, chacune perdue dans ces rêves. Chacune secrètement fière de son homme qui ne se laisse pas faire. Qui ne passe pas sur les caprices. Qui sait prendre les choses en main quand il le faut. L’envie aussi de se retrouver seul avec son homme. Se faire consoler sur ses genoux. Lui montrer aussi qu’après tout que je suis une femme. M’enivrer de l’effet viril que la fessée procure sur un homme...

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges
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Dimanche 14 avril 7 14 /04 /Avr 11:35

éducation anglaise fessée

 

Un grand merci à mon ami Georges pour ce magnifique dessin qui incarne à la merveille l'éducation anglaise. Petite touche troublante, le monsieur en Kilt. A vrai dire j'ai déjà parlé de ce petit détail à mon homme qui le considère avec beaucoup de bienveillance. Contrairement à ce dessin cela se passera de manière moins pudique et je serai donc déculottée en présentant mon derrière tout nu aux yeux de mon homme. Mais il y a aura ce sensuel contact entre ma propre nudité et celle des jambes de mon homme. Quant à la fessée pour arrêter de fumer à la maison je suis entièrement partisane. Heureusement j'ai pu me débarrasser entièrement de ce vice, il y a plus de deux ans, mais avant les modalités de ma consommation étaient strictement réglementes. Sur ma propre demande. Je connais donc bien la situation présentée sur le dessin quand je me suis faite choper par exemple dans l'arrière cuisine par exemple en plein hiver en train de m'en griller une sans compter sur la vigilance de mon homme.

 

J'ai les yeux partout, isabelle !

 

Hélas, soyons clairs, la fessée comme moyen pour arrêter de fumer me semble parfaitement inefficace. Par contre cela permet de diminuer la consommation et c'est déjà cela de pris. Mais en fait, c'est quoi exactement l'éducation anglaise ? Au lieu de me perdre dans la théorie, j'ai envie de raconter un peu mes propres expériences à ce sujet ! J'étais partie sur un fantasme de pertes de privilèges...

 

Ah ce grand classique pour donner une dimension supplémentaire à la discipline domestique !

 

L'idée de perdre une partie de mes privilèges de dame, pour reprendre un rang d'une demoiselle dont l'éducation reste à (par)faire, sans toutefois trop savoir ce qu'implique cette dernière notion, a hanté mes rêveries de célibataire. Pas uniquement celles sous ma couette ou dans ma baignoire, tiens, mais aussi celles à yeux ouverts au cours la journée. Pendant la pause déjeuner avec mes collègues. En attendant le bus et pendant le trajet. Dans une interminable file d'attente. Bref à chaque occasion où j'avais envie de m'évader un peu. Où il fallait faire présence de corps et non de l'esprit. Et bien entendu dans mes petits films je ne manquait ni de sévérité, ni de vice avec moi-même. Il est d'ailleurs bien connu que les punitions imaginaires ne vont pas de main morte. Et le fait que quelqu'un décrive des déculottées qui ne résistent pas à la épreuve de la réalité (ou devrais-je dire plutôt des vraies fesses qui ne résisteraient pas à une telle épreuve réelle sans importants dégâts ?) n'est pas forcement synonyme d'une personne avec des fantasmes extrêmes. Chaque chose en son temps.

 

Mais disons que cette histoire de privilèges vit avant tout de l'émotion que procure un changement radical de la tenue de la dame.... imposé par le monsieur avec une voix ferme et décidée ! L'interdiction de porter pendant un temps tel ou tel autre vêtement. Et adopter à la place une tenue de rigueur avec un lourd sous-entendu symbolique. Une tenue pour me remettre à ma place, dans laquelle je suis sensée d'être gênée, voir honteuse et qui par ce fait devrait m'inciter à réfléchir pour changer mes mauvais comportements. Tout un programme ! Ne rigolons pas, la discipline domestique se veut sérieuse. Et c'est justement là que réside son charme. En essayant de rétablir des valeurs qui n'ont plus cours depuis belle lurette. Grande émotion et spectacle à chaque fois que Monsieur me demande de ranger jusqu'à nouvel ordre mes jolis habits de séductrice (y compris et surtout mes bas et porte-jarretelles!) pour remettre mon uniforme d'étudiante Et par uniforme je n'attends pas un accoutrement tirée par les cheveux, c'est-à-dire provenant d'un magasin pour améliorer le côté récréatif du couple, mais une tenue dans laquelle on peut sortir de la maison sans offenser la pudeur publique. Quelque chose calquée sur la grande époque des internats pour filles de bonne famille, style années 50. Du moins comme j'imagine l'ambiance de cette décennie. Et de l'expérience, ceux et celles qui me regardent ainsi vêtue ne savent pas vraiment non plus si s'agit d'une allure ultra-branchée de ma part ou si je fais réellement mes études dans un établissement avec des telles exigences vestimentaires. Au début c'est un peu inhabituel de sortir ainsi avec son homme, mais cela devient vite du tout naturel. Notamment quand on a que 24 ans comme moi à l'époque, il y a un grand effet rajeunissement au point que mon homme étais pris parfois pour mon papa. Ce qui n'était pas pour me déplaire et le risque de déraper sur un jeu de sale gamine n'est pas négligeable.

 

Retournons maintenant un peu à l'automne 1998. Quelques jour auparavant monsieur m'avait confié - un peu gêné - son goût pour la rigueur des uniformes scolaires. Les petites jupes plissées, grises, bleu marine ou écossaises avec des culottes en coton en dessous. Voila que retient un monsieur en parlant du fantasme de l'écolière. Du basique à l'état pur. Je n'ai pu m’empêcher d'éclater de rire. Alors monsieur un peu vexé, n'a oublié de rajouter :

 

Ça va de paire avec l'emploi du martinet !

 

Achat un commun, effectué au cours d'une agréable journée ensoleillée. J'avais déjà pu goûter à quelques reprises à cet instrument si traditionnel et si étroitement lié à la culture française. Aucune discussion sur la fessée où le martinet ne fait pas surface et devint le principal acteur de savoureuses anecdotes. En fait, il y a avant tout son non-dit. Il semble plus méchant quand on en parle que de le subir. Une fessée au martinet est certes douloureusement désagréable, mais en aucun cas assimilable à une séance de torture. Cela rejoint le registre « même pas peur, même pas (trop) mal » évoqué parfois dans ce contexte et résumant parfaitement mes propres impressions. Reste après acte un fessier brûlant, joliment strié, plaisant à regarder dans une glace et qui donne envie de devoir l'exposer... tiens...devant quelques bonnes copines. Ou encore la belle mère dans mes fantaisies les plus hardies.

 

...et des longues chaussettes blanches  qui s’arrêtent juste en dessous du genoux !

 

Tu plaisantes chéri ?

 

Hein non, il ne plaisantait pas. Et à sa voix j'ai compris à quel point ce petit détail le troublait.

 

J'adore le shopping !

 

J'ai passé une excellente journée pour trouver ce dont j'avais besoin pour faire la surprise à mon homme. Puis la perspective de vivre une situation en rapport avec mes rêveries d'internat m'a mise dans un état quasi secondaire. C'était dans le tout nouveau, tout beau. Et à vrai dire je n'ai pas changé depuis. Quand il s'agit de faire plaisir à mon homme je suis toujours partante. Il m'arrive également de lui prendre des petits trucs pour le plaisir de mes yeux et il ne dit pas non pour les mettre. Même si cela lui coûte comme pour...

 

...ces ridicules strings en cuir !

 

(Passons sur l'effet stimulant d'un certain ridicule ! C'est un sujet à part entière.) Le plus dur à trouver ce fut la veste à écusson. Je n'avais pas vraiment envie de m'endimancher. Je voulais quelque chose ne manquant pas d'élégance. J'ai opté pour un blazer mode et j'ai acheté un écusson à part. Et voilà le tour joué pour un aspect trompe l’œil d'un authentique. Quant à la jupe plissée - pas trop courte toutefois  - et autant pour le chemisier blanc le choix ne manquait pas. J'avais décidé de soigner les détails. Alors j'ai pris aussi une petite cravate noire et un lot de culottes style petit bateau. Concernant ces dernières j'aime beaucoup l'effet sur un pubis dépourvu de poils. Cela donne un aspect en quelque sorte sage et impudique à la fois. Et comme j'ai pu constater par la suite, mon homme résiste difficilement la tentation de glisser ses doigts sous le fin coton. Et aussi de me caresser par dessus de la culotte. Enfin, restait le choix des chaussures et des bas. Hors de question pour moi de mettre de chaussures sans talons. Personnellement je ne me vois pas dans des ballerines. J'ai hésité pendant un long moment sur des bas-up avant « d'oser » les chaussettes longues. Blanches, cela va de soi et s’arrêtant en dessous du genoux selon les souhaits de mon homme. Pour moi, cela évoque un comble de ridicule sur une femme. Et pourtant je ne suis pas facilement à effrayer en matières de tenues. Pendant un moment j'avais compté sur le « bon goût de mon homme » et ses préférences pour les bas. Mais bon, une fois appris qu'il aimait s'extasier devant la nudité de me genoux, je me suis dit :

 

Pourquoi pas ? Après tout nous sommes dans un registre de punition.

 

Me voilà donc parfaitement équipée pour ma rentrée scolaire. J'ai essayé de me familiariser un peu avec cette tenue en absence de mon homme. Je sais qu'il a un faible pour le naturel, alors justement il faut de l’entraînement que cela paraisse vraiment naturel. Petite phase bénie de jolis rêveries. Le tout agrémenté par la présence de notre martinet. Je ne dirais pas que je sentais en mettant cette tenue un retour vers mon adolescence. Je n'ai pas vécu des châtiments corporels outre que dans mes fantaisies. Je n'ai pas été dans une institution privée qui préconise les uniformes pour les jeunes filles. Et je n'ai pas été une ado timide ou pudique envers les garçons. Ma nouvelle tenue ne correspondait à aucun élément de mon passé. Je m'étais donc préparée pour vivre autre chose. Du nouveau, tout compte fait.

 

Je n'ai pas attendu longtemps la bonne occasion pour passer à l'acte. Un retour de Monsieur après un déplacement de quelques jours. Il me passe un coup de fil pour m'annoncer l'heure exacte à laquelle il rentre en finissant par :

 

Pas de harcèlement ce soir. J'aimerais te voir dans une tenue apaisante, isabelle !

 

Bien sur mon chéri, tu fais bien de me le rappeler !

 

Intérieurement je suis pliée de rire. Il doit être sacrement claqué pour manifester un tel désir. Bon, je suis une petite dame disons ... très active... avec l'homme que j'aime. Notamment après une séparation de quelques jours. Étant d'une excellente humeur, je profite pour me préparer. Malheureusement mes cheveux sont trop courts pour une coiffure avec une tresse. Du maquillage oui, mais très discret. Puis j’attends en buvant mon café.

 

Que dire de nos retrouvailles ? Les yeux de mon chéri pétillent. Il me demande maintes fois de me tourner pour qu'il puisse me contempler sous toutes les coutures. Puis petit bonus, je lui fais voir l'effet de la jupette plissée qui se lève en me tournant et dévoilant ainsi ma culotte petit bateau. Ah comme il est facile parfois d'émerveiller un homme.

 

Contrairement à nos habitudes, retrouvailles vanille acrobatique, ce soir-là la fessée était au programme. C'était une évidence pour nous deux. Évidence qui n'avait pas besoin de faute, ni de prétexte. Envie d’entendre la sonorité de mes fesses. Pas besoin de martinet non plus. Parfois les choses les plus simples sont le plus agréables. Moi allongée sur les cuisses de mon homme, mon derrière en l'air. Tout nu, car ma petite culotte en coton est descendu autour de mes chevilles. Dans le feu de l'action elle n'y restera pas longtemps. J'ai tendance à gigoter fortement et ainsi me libérer aussi mes chevilles. Et quand mon postérieur affiche déjà un magnifique rouge, ma culotte se trouve par terre. Oubliée et abandonnée. Comme mes chaussures.

 

J'aime beaucoup le classicisme de la fessée à la main. La vigueur masculine qui s'exprime d'une manière fort pertinente. Plaisir de sentir le monsieur faire sa loi. Sensualité quand tu nous tiens. On comprend aisément pourquoi l'emploi du martinet s'impose pour les très grandes filles en cas de punition. Éviter une trop forte excitation sur le champs. Notamment quand c'est un monsieur aimé qui applique la punition. Dans ce cas, il y aura toujours cette agréable ambiguïté qui approche la fessée d'un pur acte charnel. Même sans suite « pénétrante ».

 

Quand Monsieur se sert de sa main, hors contexte de correction, j'aime beaucoup lui souffler des petits :

 

Plus fort s'il tu plaît !

 

Je sais bien à quel point cela augmente ses ardeurs. Et quant à moi, j'ai envie que cette fessée reste gravée dans dans mes fesses pendant des très longues heures. Qu'elle nécessite un bon coussin pour m'asseoir à la maison ou qu'elle me procure des terribles gigotements (encore!) quasi involontaires dans un lieu public, comme le bon restaurant après l'acte.

 

Ce soir-là nous ne sommes pas allés au restaurant. Nous avons profité pour une balade nocturne en amoureux. C'était en automne, mais il faisait encore bon. Car n'oublions pas que j'étais en jupettes avec mes jambes nues à partir du genoux. Une balade extrêmement romantique. C'est là que j'ai commencé à apprécier vraiment ma tenue. Elle est idéale pour se faire corriger et idéale pour faire prendre l'air à un popotin brûlant.

 

La suite de cette histoire se trouve sur mon blog principal sous ce lien :

 

Besoin de discipline domestique – La fessée en couple

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Dimanche 6 janvier 7 06 /01 /Jan 22:11

(Vers le début de l'histoire)

 

 

Je suis pliée de rire entre ce qui me pend au nez et ce qui se dresse devant mes yeux....

 

...tandis que mon chéri desserre le nœud de sa cravate encore un peu plus.

 

Oh là là, il a chaud, très chaud le pauvre...

 

Il respire profondément et essaye de se donner un air sérieux. D'après tout, il est sensé de représenter l'autorité à la maison. Et il est décidé de me le prouver. Je n'essaye pas de le divertir, par exemple en m'ajustant un des mes porte-jarretelles. C'est un geste qu'il adore, mais dans cette situation précise il considérerait cela comme une provocation supplémentaire. Alors je risque gros, des punitions à la hauteur de mon insolence. Style révision de mes connaissance de majorette avec des musiques allemandes de carnaval.

 

Maintenant c'est moi qui s'amuse...

 

Je reste donc bien sage devant lui en attendant le verdict. A partir de ce moment, il a des différentes possibilités. Parfaitement imprévisibles, ce que j'aime par dessus tout avec mon homme.

 

Il me menace :

 

A chaque fois que je mets une cravate le matin, tu me fais ton cirque isabelle. Soit tu te calmes, soit j'en mets plus.

 

Terrible sa menace. Je me retiens pour ne pas exploser d'un autre rire encore plus bêtasse.

 

Il est susceptible ce jour-là à la ruse féminine :

 

Il est bien connu que certains garçonnets se calment quand on leur propose une sucette. Pour certains grand garçons c'est pareil. Et quoiqu'il en dise, le mien, il bosse bien mieux après une petite récréation.

 

Il se comporte en homme...tout court :

 

Sois sur le canapé de son étude, sois penchée sur son bureau, soit sur un des tapis etc. J'ai pu constater dès le début de notre relation à quel point son étude est bien...étudiée. Mais oui, il n'y a pas que la discipline dans notre vie.

 

Il recourt ce jour-là à la intransigeance masculine :

 

Le martinet en main, il me demande de me préparer. Bon, ma faute, pour le moins qu'on puisse dire minime, dans l'échelle punitive de notre ménage, va entraîner une toute petite séance d'échauffement de fessier.

 

Toutefois cela tangue vers le punitif – et il m'importe beaucoup que mon homme me montre de cette façon qui porte le pantalon à la maison.

 

Mais avant, un moment particulièrement...délicieux  de gêne concernant mon déculottage :

 

Par curiosité, j'aimerais bien voir la tête d'une séductrice chevronnée qui s'engage dans cette voie et qui comme moi doit remonter sa jupe et baisser sa petite culotte pour présenter aux yeux amusés du Monsieur son derrière dans sa nudité paradisiaque. Pas de guili-guili, mais du pan-pan cul cul. Et après au coin, les fesses bien exposées.

 

Et là, je boude sérieusement...

 

Par contre je sais que Monsieur quand il a eu l'occasion de me corriger dans la journée, se montre particulièrement ardent le soir. Ce qui tombe bien. Moi aussi je me languis de cette réconciliation...

 

Ah oui, je me pose souvent la question si mon homme ne me provoque pas intentionnellement en mettant une cravate le matin...

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Vendredi 4 janvier 5 04 /01 /Jan 16:37

(Vers le début de l'histoire)

 

Pour mieux montrer à mon chéri que ce petit accessoire de rien du tout, dit phallique à juste titre, me procure des forts émois, il m'arrive de lui servir des repas en tête à tête, habillée uniquement en escarpins vernis et avec une de ses cravates. Outre le plaisir pour la bouche, préparé de A à Z par mes soins, j'offre en même temps le plaisir pour les yeux. Et Monsieur apprécié beaucoup. Non seulement ma cuisine, mais aussi ma présentation.Et inutile de dire qu'il ne sait pas trop où mettre ses mains. En grand gamin, il s'amuse parfois de me soulever ma cravate qui par la loi de la pesanteur bloque justement l'endroit qui distingue les filles des garçons. Il aime également me mettre un doigt sous la cravate en explorant les secrets de mon anatomie. Inutile aussi de dire que je me chope quelques savoureuses claques sur mon derrière pendant mon service. Ce que je me défendrais de qui que ce soit, devient un puissant stimulant quand c'est mon homme qui s'applique. Bref il s’intéresse pleinement à moi et de le voir aussi heureux me va droit au cœur.

 

On s'en doute un peu de la nature du dessert que je lui propose. A petit coups de langue et en prenant mon temps. J'ai aimé ces petits câlins dès mes premières expériences quand j'étais encore adolescente. A l'époque hélas les hommes ne s'épilaient pas et le fameux poil entre les dents me procurait des sensations bien désagréables. Puis génération sida oblige, il faillait s’accommoder au préservatif. Rigoureuse pour éviter les risques, j'ai patiemment attendu ma première relation stable pour enfin goûter ce qui se cachait sous l'emballage en latex. Cruel jeu pendant des années qui nous met devant les yeux ce qui est défendu de déguster. C'était un peu comme dans le temps d'attendre le mariage pour avoir accès au plein plaisir.

 

Mes efforts concernant les cravates ont porté leurs fruits. Quand je lui en offre une (« le pauvre » selon ma Maman), ce n'est pas pour faire de la déco. Il les mets vraiment. Pas tous les jours, mais souvent ...le terme convient bien. Et aussi à la maison pour me surprendre au petit déjeuner.

 

J'aime beaucoup les situations quand mon homme sous l'emprise de l’alchimie hormonale commence à desserrer le nœud de sa cravate...parce que j'ai encore pris - en toute innocence - des poses indécentes qui perturbent sa concentration (il travaille à la maison). Par exemple en faisant la poussière de notre immense bibliothèque qui se situe dans l'étude de Monsieur et qui va jusqu'au plafond. Plumeau en main aucun grain me résiste. Et nous avons même une échelle -mon chéri est soucieux du détail - qui lui permet de son bureau une vue directe ...sous mes jupes.

 

Tu fais encore la vilaine isabelle....pas de culotte ?

 

Ma foi, ce n'est pas très original ce qu'il a à me dire. Seulement là, il faut le comprendre. Il mène un dur combat intérieur entre sa conscience professionnelle qui est de taille, ses ambitions d’éducateur intransigeant pour grandes filles et une foulé de désirs pervers...

 

Vilaine, mais ouiii, je sais être terriblement vilaine !

 

Il arrive même à mon homme de pointer sur son pantalon pour me faire constater les ampleurs du dégât causé. Et moi insolente comme pas permis, je commence à ricaner...

 

...bêtement. Arrête isabelle, sinon je sors le martinet !

 

Oh oui, oh oui !

 

Et je suis pliée de rire entre ce qui me pend au nez et ce qui se dresse devant mes yeux....

 

A suivre...

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Mardi 1 janvier 2 01 /01 /Jan 23:25

Ce n'est pas une simple réédition, mais une version plus charnelle d'un de mes anciens textes. J'ai envie d'aller plus loin, de quitter un peu mon cliché trop sage. Fiction et réalité s'en mêlent...

 

 

Monsieur, moi et les cravates, c'est toute une histoire. Quand je l'ai

rencontré, il en avait déjà. Étant bien « classique » sur ce point, je me suis dit:

 

Excellent signe!

 

Et - comble de surprise – il y en avait des jolies. Selon mes critères, cela va de soi.

 

Chouette ! Un homme de goût.

 

Il en mets pour aller au restaurant ou faire du shopping avec moi sans que je sois obligée de lui rappeler que rien ne va aussi bien avec une femme en bas et porte-jarretelles qu'un homme portant une cravate.

 

Mais oui, on n'a rien sans rien  !

 

Et j'adore quand il me trousse sur le chemin de retour dans un coin discret. Et Dieu sait que cela ne manque pas en allant vers les Pyrénées. Parce qu'il n'arrive pas à attendre. Parce que son pantalon le serre. Parce que je vois bien cette grande bosse dû à ma présence, dû a mes charmes, dû à un long jeu de séduction tout au long de nos courses. Quand je réajuste une jarretelle dans un ascenseur. Quand je lui demande de vérifier la couture de mes bas. Quand je lui dis en passant à côté d'une esthéticienne que - hors épilation définitive - rien ne vaut la cire pour être parfaitement lisse dans le moindre recoin. Quand je lui dit que je n'ai jamais été aussi épanouie depuis que je reçois une éducation au martinet par ses soins. Des mots , des allusions, des chuchotements. Et il suffit d'un petit déclencheur en toute innocence pour que Monsieur perde de ce qui reste de sa retenue :

 

Chéri, je te trouve terriblement tendu. Une petite pause te fera du bien...

 

Mon string sur mes chevilles, penchée en avant mes fesses en l'air en attente que Monsieur ouvre enfin sa braguette pour sortir l'instrument des instruments pour me montrer quel rôle dame nature réserve à chacun de nous deux . Pas besoin de faire dans la sophistication. J'aime beaucoup un Monsieur qui a attentivement suivi les cours d'éducation sexuelle. Qui s'y prend de manière conventionnelle et qui livre une solide prestation. Qui m'écoute d'une oreille attentive pour bien cerner au son de mes gémissements où j'en suis. Je n'aime pas m'expliquer pendant des heures sur ces choses-là et j'ai une préférence pour les scouts : toujours prêt et surtout capables de suivre un jeu de piste sonore.

 

 

Il m'est agréable de sentir l'haleine de mon homme dans mon coups. De sentir ses bras autour de moi. De le sentir passer une main vers l'avant pour me caresser ma peau toute lisse. Il m'est agréable aussi quand il me claque sur mes fesses. Par surprise et surtout vigoureusement. Dans ces moments-là, il n'y a plus de sensation de douleur.

 

Plus fort...

 

Cette envie qu'il me mette le derrière en feu. Que j'aurais dû mal à m'asseoir plus tard dans la voiture. Que je garde pendant des heures une vivre brûlure comme souvenir de nos galipettes. Et comme il sait s'y prendre avec moi mon chéri. Il arrive si bien à me laisser pantelante, pleinement satisfaite et bien disposée pour d'autres aventures à la maison. Parfois je me dis, le pauvre, cela lui apprendra d'avoir souhaité partager sa vie avec une femme qui aime les joies de la chair...

 

A suivre...

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Lundi 31 décembre 1 31 /12 /Déc 18:50

J'aime quand mon homme me fait des confidences. Quand il me parle de ses désirs, ses petites envies, des trucs qui le titillent.

 

C'est parce que tu l'aimes isabelle !

 

Cela va pas la tête. C'est parce que je sais ce qu'il me demande ne va pas bien loin. Parce que cela reste toujours à mes yeux du bon enfant. Ma liste des « non » est très longue. Tiens, aller en club par exemple. Faire des jeux de société à deux couples. Sortir chacun de son côté. Alors oui, heureusement mon chéri adore la monogamie.

 

J'ai un truc infaillible pour que mon chéri se lâche ! (Pour me raconter tout, tout...tout aussi, mais bon cela je le garde pour nous.)

 

Je sais à peu près à quelle heure il finit son travail. Alors je vais le voir tac, tac, tac sur des très hauts talons qui font tac et je m'assois sur son bureau en soulevant ma robe. Mes fesses plaquées sur le bois, je croise mes jambes qu'il voie bien le haut de mes bas et je commence à ajuster mes portes-jarretelles. Ben quoi, je n'ai jamais dit que j'étais originale moi !

 

Et hop, son attention est captée et moi j'attends...pas longtemps !

 

Tu sais, ce qui me ferait plaisir, isabelle...

 

Non mon chéri, mais je t'écoute attentivement !

 

...que tu sortes avec moi un des ces jours sans rien sous ton imper.

 

Pour aller où ?

 

Cris du cœur ! Sans panique. Non , non ce ne sera pas bien méchant.

 

Une promenade en amoureux autour du lac !

 

Il suffit de me demander ! Je réfléchis. Tout compte fait, pourquoi pas ? Hors saison touristique c'est un endroit de toute tranquillité. Mais... tout de même...

 

...avec mon vieux imper ?

 

Il me regarde, il sourit, puis il ajoute :

 

Justement je compte de t'en offrir un tout nouveau, tout beau.

 

Waoh, comme il sait parler aux femmes mon chéri.

 

Je me pose la question du fantasme inverse. Existe-t-il des dames qui rêvent de sortir avec leur homme, lui nu sous un imper ? Passons.

 

Alors quelques jours plus tard, au coucher de soleil, comme c'est romantique, nous faisons notre tour du lac. Monsieur dans un élégant costume et moi sans rien sous mon imper, m'enfin on se comprends, il y a quand même une jolie guêpière, des bas couleur havane et des escarpins. Tenue dans toute sa banalité de celles qui aiment se montrer.

 

Seul un détail dénote. La couleur de mes fesses ! Rouge vif.

 

Mon homme n'en pouvait plus. Un jour en entier pour choisir ce maudit imper. Des heures de marche dans la ville et je ne sais plus combien de magasins dont certains à plusieurs reprises.

 

Première mise ne garde vers le début de l'après-midi.

 

Tu abuses, isabelle !

 

Colère de Monsieur en fin de l'après-midi, décision très rapide alors de ma part pour choisir mon imper. Puis retour à la maison, me voilà déjà prévenue d'une petite rectification de mes manières avec le paddle tout cuir que Monsieur affectionne tant. (Fait chez un cordonnier sur mesure pour mon derrière ; Monsieur ne me refuse rien)

 

J'essaye de calmer la situation :

 

Tu veux que je le fasse briller un peu plus avant que tu ne t'en serves, chéri ?

 

Tu te payes ma tête isabelle ? Sur mes genoux et vite !

 

Ce n'est pas une fessée plaisir, ce n'est pas non plus une fessée angoisse.

Je paye pour les longues heures de conseil, pour l'accompagnement en ville et mes abus à répétition le prix fort. Je sais bien que mon homme, sa patience épuisée se délasse le mieux en m'infligeant un claquant concert de paddle sur mon... cul nu. Et il ne se prive pas que la séance soit mémorable. Et quand je me lève j'ai vraiment très mal, mais je pense :

 

Lui, il ne se laisse pas marcher sur les pieds comme les mecs de mes copines. Quelle perle rare !

 

C'est cela qui est jouissif, sa détermination et sa fermeté de me remettre à ma place.

 

En marchant je sens la main de mon homme se glisser sous mon imper.

 

T'es fesses sont encore chaudes, isa. Tu devrais enlever ton imper pour qu'elles refroidissement mieux. Mets toi à l'aise, il n'y a personne.

 

Tu parles, me mettre à l'aise. Nous sommes loin de la discipline domestique. Il n'y a pas d'obligation. On est, je dirais dans la séduction pure. Je sais à quel point mon homme aime que je fasse -la tête haute et on balançant mes hanches comme dans un défilé de mode - ce qu'il appelle entre autres la marche honteuse , celle de la femme qui vient de recevoir une sacrée fessée cul nu. Alors je continue cette promenade avec mon imper sur mon bras. Mes fesses au grand air. En présentant les traces de ma punition au bon plaisir de mon homme.

 

Cette parade de la punie a fait parti de maints de mes fantasmes quand j'étais encore célibataire. Punition, puis marche au travers de la ville pour présenter mes excuses à la personne offensée.

 

Ce n'est pas pour cette mignonne parade alors que je trouve que mon homme a le vice dans sa peau. En fait tout s'est passé comme dans son fantasme de base qui comportait aussi une fessée de taille avant que je ne m'enfile mon imper. Il n'a pas jugé nécessaire de me parler de ce détail, me connaissant trop bien et notamment mon comportement inacceptable pendant certaines courses.

 

Mais j'ai compris l’étendu de son vice quand il m'a dit :

 

J'adore les courses avec toi, isabelle !

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : Ecritures Sensuelles
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