Vendredi 1 octobre 5 01 /10 /Oct 21:24

Début de l'histoire

 

Décidément mon ami Zerte est très en forme en ce moment. Cela tombe à pic. Trainant une sinusite carabinée, j’ai la tête trop prise ces jours-ci pour continuer mon feuilleton. Je vous laisse donc découvrir les deux premiers épisodes.

 

R2.jpg

 

R3.jpg

 

Suite    


Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Zerte - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 1 octobre 5 01 /10 /Oct 21:18

Petite intro du roman-dessin de mon ami Zerte.

 

R1.jpg

 

Suite

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Zerte - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 23 septembre 4 23 /09 /Sep 23:38

 

Début de l’histoire

 

Le martinet n’est pas un instrument particulièrement sonore. Il me semble impossible que la voisine puisse l’entendre. Même en se plaçant derrière la haie. Par contre Monsieur quand il trouve que mes abus dégénèrent trop, il recourt à des méthodes encore plus archaïques. C’est par sa main qu’il m’apprend comment marcher au bon pas. Inspiré par Johann Strauss Père qui composa la fameuse Marche de Radetzky, opus qui dure environs trois (très longues) minutes, il y trouve la bonne mesure pour remédier à ce qui lui fâche en moi.

 

Entrée en matière de vive allure, comme ce moreau de musique entrainante, il suit sa cadence sans s’essouffler. Et comme cette marche militaire est sensée de réveiller aussi les soldats au dernier rang, elle s’accompagne d’un niveau sonore qui est considérable. Largement de quoi pour attirer une voisine en manque de compagnie humaine et de distraction à la même occasion.

 

Quand je la croise plus tard, au passage du facteur, les jours d’une manuelle fessée matinale, toujours particulièrement cuisante, elle est d’une humeur exubérante. Depuis un bon moment, il lui arrive dans ce cas de m’inviter systématiquement à boire le café chez elle. C’est un rituel qui s’est installée après ma première correction en plein air.

 

Spectaculaire parce que ma faute était de taille et parce que Monsieur avait sous-estimé la résonnance en zone montagneuse.

 

Le facteur parti, la voisine m’a embarquée d’abord dans un bavardage de longue durée. De fil en aiguille, elle m’a parlé de l’importance de la lune rousse sur le comportement humain. Au début j’ai cru qu’elle se moquait de ma mésaventure qui n’a pas dû lui échapper. J’ai suivi son exposé d’une oreille distraite en me posant bientôt des questions sur l’exactitude de l’observation humaine. Quand enfin j’ai cru entendre quelques piques concernant les êtres têtus qui ne changent qu’avec la lune toute rouge. Alors j’ai commencé à me méfier sacrement de cette voisine qui prend un malin plaisir pour me déconcerter.

 

Elle poussa le vice de me proposer un café entre voisines de bonne entente et je me suis retrouvée dans son salon sur un canapé moelleux et réconfortant pour mon fessier encore tout chaud de son traitement de discipline. La première fois seulement.

 

Par la suite, je n’avais plus que droit à la cuisine. Chef-d’œuvre de mobilier et de vieilleries d’antan. La gentille vieille dame comme elle aime s’appeler, me réserve avec un sourire radieux une place sur un banc en chêne massif qui ne convient pas vraiment à des fesses en quête de récupération.

 

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 22 septembre 3 22 /09 /Sep 22:37

Il fait un temps magnifique ce dimanche. Monsieur a eu la maudite idée d’inviter la voisine pour se joindre à notre ballade dominicale. De plus elle n’est pas venue seule. Sa sœur est de passage et souhaite se joindre à nous. Cette sœur reflète à mes yeux la caricature de la citadine. Outre son petit air hautain, elle a déjà profité pour nous exprimer généreusement son indulgence pour les mœurs de nos campagnes. C’est comme se promener au de  temps de non grands-parents quand le monde tournait encore rond. Quand le mari était encore le chef de la famille et surveillait étroitement son épouse.

 

Petit regard amusé, lancé à mon égard qui parle en long et en large de fort probables discussions entre sœurs. Discussions se portant sur moi, mon couple et nos « habitudes ». Sur les détails qu’un voisinage plus qu’attentif, arrive à espionner par ses yeux ou oreilles sur un jeune ménage.

 

Mon chéri et moi, nous vivons dans cette jolie maison à la campagne depuis quelques mois. Mon bonheur sera parfait s’il n’y avait pas la voisine. Je déteste cette femme. Elle est curieuse comme tout et semble passer sa journée à pister le moindre de mes pas. Et mes faux pas aussi par la même occasion.

 

Quand mon comportement laisse vraiment trop à désirer mon homme a pris l’habitude de me corriger par beau temps sur notre terrasse.

 

Rien de mieux qu’une bonne fessée en plein air pour remettre en place les idées d’une grande fille mal élevée.

 

Cul nu, cela va de soi. Nous sommes respectueux envers une longue tradition qui a livré d’excellents résultats sur d’autres « grandes filles », aussi récalcitrantes que moi.

 

Evidement, tradition oblige, il y a un martinet à la maison. La patine de ses lanières n’est pas due à une exposition prolongée au soleil qui rentre dès l’aube par les portes fenêtres de la cuisine, rejoignant ainsi notre martinet, suspendu à côté d’autres indispensable de la parfaite ménagère.

 

Non, la patine est due à un emploi fréquent sur la peau de mes fesses et il est facile à deviner la place du martinet dans le mécanisme de cause à effet qui est sensé chez nous de rendre justement la ménagère parfaite.

 

La voisine l’a vu un jour quand elle est passée sous prétexte de manquer une pincé de sel. Son regard s’est attardé, puis m’a valu un sourire de confirmation. Confirmation, car l’épaisse haie entre les deux terrains, ne laisse passer aucun regard indiscret sur la maison. Par contre je doute de son efficacité au niveau de sonorité. Monsieur ne veut rien entende à ce sujet. Il a adopté le langage de campagne.

 

Après tout, nous sommes chez nous, isabelle et les éventuels bavardages du voisinage ne nous regardent pas. Tu n’as qu’à te tenir au carreau si tu veux éviter tes punitions.

 

Logique implacable que j’approuve en troussant ma robe ou jupe selon les jours et en baissant ma culotte pour mon entretien avec mon coach perso, le martinet qui est toujours selon mes expériences de très bon conseil. Rien de mieux qu’un fessier brulant pour adopter des bonnes résolutions. Je me rends compte à quel point je suis en phase avec les points de vu de mon homme.

 

A suivre…

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 20 septembre 1 20 /09 /Sep 20:41

rohrstock20092010.jpg

 

Dessin : ©Zerte

 

Je n’ai malheureusement pas d’aussi jolies bottines comme la dame sur ce dessin. Tiens, petite idée de cadeau à me faire offrir par mon homme. Comme moi, il adore le retro…sur moi.

 

Juste, en ce qui concerne l’attribution d’une punition, il ne peut toutefois s’empêcher de petites piques qui l’accompagnant. C’est un mélange de joie maligne (tiens j’en connais une qui passera dans quelques instants un mauvais moment)  et de plaisir pur (Je vais te faire la fête à tes fesses, isabelle !) de m’appliquer mon châtiment.

 

Je ne lui connais pas l’attitude du mari peiné qui hante parfois les écrits sérieux sur la discipline domestique. Celui qui semble souffrir de devoir encore sévir et qui se dit gravement déçu par le comportement de sa dame. Qui va chercher la canne avec un air de morgue et qui insiste à quel point cela lui coûte de recourir encore à la dure pour un comportement qu’il croyait éradiqué. Ma foi, chacun son truc. Mais je ne supporterais pas d’être prise à ce point pour une idiote. Comme si le monsieur agissait lui-même sous l’emprise d’une force majeure qui lui dicte la suite des événements. S’il était un peu plus « humble », au lieu de lever les yeux vers le ciel, il lui suffira de les baisser au niveau de son caleçon oui slip qui lui aussi est un endroit de prédilection où se cache parfois la vérité humaine.

 

Bref pas de litanies de bonne morale à la maison. La lecture de ma faute se fait dans un contexte de moquerie. Ce qui me semble bien adapté à la DD telle que je la conçois. Cette pratique exprime des incohérences humaines à l’état pur. Pourquoi pas alors que chacun se laisse aller à la manière qui correspond le mieux à son ressentir.

 

You can leave your hat on !(Tu peux garder ton chapeau avec le non-dit : par contre déculotte toi ; au cas que je porte un chapeau)

 

Ces petites phrases, accompagnant un acte très désagréable pour moi et très agréable pour mon homme, canalisent le flux des émotions. Elles permettent de garder la distance critique nécessaire pour que la punition ne se transforme pas dans un acte qui explore les limites du soutenable. Mon homme n’est pas là pour tester mes résistances. Il est là pour me punir à la hauteur de mon méfait. Ce n’est pas par une douleur insensée que l’on apprend le mieux sa leçon, mais par une action qui marque une limite à ne plus franchir. Le dosage de la douleur doit donc atteindre un juste milieu.

 

A vous deux !  Cambre bien ton dos isabelle et mets ton popotin en valeur.

 

L’autre dont fait allusion Monsieur, c’est dans ce cas notre tonton jaune, la canne.

 

Mieux encore. Faut donner envie au tonton jaune. Aguiche le bien avec tes fesses, isa.

 

Il est surprenant dans un tel contexte à quel point le langage véhicule et déplace bien les émotions. Combien de fois je me suis prise de colère contre le tonton jaune. Qui lui seul était responsable à mes yeux pour des heures de brûlure intense dans mes fesses.

 

Je me souviens une fois, demandée par une copine, pourquoi je ne tenais pas assise en place deux secondes, d’avoir répondue sérieusement :

 

Je me suis disputée avec mon oncle !

 

Evidement, je sais à quel point il est vicieux ce tonton. Et je n’ai pas vraiment envie de l’aguicher.

 

Monsieur ne me donne pas beaucoup de coups avec la canne. Plutôt ancré dans la tradition continentale que britannique avec un peu de chance je m’en tire parfois avec cinq coups sensés et des chaudes larmes. Il n’y a pas un truc spécial qui provoque à coup sûr des larmes. Chaque fessée est unique. Mais la douleur n’y est pas pour grand-chose. Dans les longues pauses entre chaque impacte mon fessier frétille de manière involontaire.

 

Voila qui est mieux pour aguicher le tonton !

 

J’entends son contentement par des sifflements à blanc dans l’air.

 

Quand ma punition est finie, je passe un long moment à me masser mes fesses. Surtout quand je fais du coin. La magie de la fessée commence à opérer. La brûlure qui devient sensation plaisante et je ne regrette plus d’avoir aguiché le tonton jaune. Il m’a bien rendu la pareille. Dommage qu’on ne puisse pas se passer de la fessée elle-même pour éprouver de la même manière. Encore un de ses secrets. Non pas psychologique, mais purement physiologique.

 

Une bonne fessée fait du bien à celle qui la reçoit !

 

C’est tout-à-fait cela, elle mérite pleinement le qualificatif « bonne » à cause du « bien » qu’elle me procure à tout niveaux.

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Zerte - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 13 septembre 1 13 /09 /Sep 22:52

 

DDR28112010.jpg

Dessin : ©Zerte

 

Les dessins de Monsieur Zertes, j’adore.

 

Ils mettent aussitôt mon imagination en route. Rien d’étonnant quand on connait un peu mon univers. Mon faible pour les uniformes, les chapeaux et casquettes, les bas et les porte-jarretelles, le martinet comme ici. La discipline qui s’érotise quelque part en arrière fond sans tomber dans l’explicite et qui joue sur l’ambigüité de la situation.

 

Puis, celle qui est sensée d’imposer de la discipline à autrui par ses gallons, tombe sous la main d’un plus haut gradé pour être rappelée pour sa part à l’ordre. Peut-être se montre-t-elle d’habitude odieuse ou intraitable quand elle instruit des nouveaux recrus ?

 

La collègue s’étonne, en même temps qu’elle est prévenue.

 

Zut, ne  fallait pas m’engager dans ce truc. Ils ne plaisantent pas ici avec la discipline. Faudrait que je me tienne bien au carreau.

 

J’ai montré les dessins de Zerte à quelques personnes de mon entourage proche (qui n’est en aucun cas représentatif !) et pour le moins qu’on puisse dire, il y a un « truc » qui se passe. Même chez ceux et celles qui ne sont pas adeptes de la fessée. Simplement curieux ou curieuses. Phénomène surprenant. J’ai creusé un peu pour mieux comprendre.

 

La thématique de base est simple :

 

Une fessée pour faute professionnelle !

 

Fantasme politiquement incorrect, mais ô combien inspirant pour bien de personnes.

 

Pas étonnant qu’on trouve des récits dans ce sens en abondance sur le net. Seulement, à moins que l’auteur soit extrêmement habile et en ayant du recours à l’humour, ce genre de textes ne passe pas. Avec moi non plus dans la majeure partie. Ni sur les forums de fessée, pourtant dotés de personnes potentiellement susceptibles d’y éprouver du plaisir. A quelques exceptions près peut-être, personne n’a envie de vivre cela en vrai. Plus que le récit est réaliste, le plus il froisse. Pourtant dans un fantasme le contraire semble le cas. Plus que la construction devient réaliste, plus l’émoustillement monte. Tout un art alors d’aborder ce sujet…techniquement !

 

Je passe sur l’aspect juridique d’une telle fessée en vrai.

 

L’argument est indispensable dans l’absolu, mais n’apporte aucune information supplémentaire quand on aborde le monde des fantasmes. Des discussions stériles qui ne font pas une certaine abstraction du réel quand on aborde le fantasmatique ne manquent pas.

 

Chez Zertes, le fantasme passe bien. Pourquoi ?

 

Je précise qu’il y a certains dessins d’autres illustrateurs qui passent également très bien devant un public non initié. Par contre il vaut mieux éviter des images ou clips (hors grand cinéma) pour recueillir des confidences.

 

Je serais surpris/surprise moi aussi dans une telle situation!

 

Voila, l’ancrage avec la réalité dans ce dessin. C’est la spectatrice sur la droite qui établit le lien. Tout le monde peut se retrouver (comme première réaction) dans sa surprise. Adepte de fessée ou pas.

 

Apparaissent à la suite des notions de curiosité et d’amusement. A mon avis, un dessin plus qu’une photo, incite pour se projeter. L’abstraction avec la réalité est déjà faite. Pour en savoir plus, il a suffit de ma part d’un petit :

 

Alors tu trouves rigolo que cette pauvre dame se chope une fessée par son supérieur ?

 

Mais, ce n’est qu’un dessin, isa !

 

Ben, voyons.

 

Voila un ou une, non seulement troublé (e) par sa propre réaction envers ce dessin, mais qui doutera désormais sérieusement sur le politiquement correct de sa propre profondeur.

 

Prédisposition d’un fantasme de fessée ?

 

Pas systématiquement. Et dans l’affirmative, pas évident qu’il soit érotisé ou qu’il s’érotisera un jour. L’inconscient humain ne me semble pas comme une bombe à retardement, mais plutôt la belle au bois dormant. Il faut savoir réveiller la princesse au bon moment comme sait si bien faire le prince charmant…

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Zerte - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Jeudi 29 juillet 4 29 /07 /Juil 19:49

 

Ce petit texte me plait beaucoup. C’est frais et ne tombe à aucun moment dans les clichés que j’ai déjà lus maintes fois sur le net. En plus l’auteur a accompagné son récit par ses jolis dessins. A priori je ne publie pas de textes de fessée donnée par une dame à un homme. Mais ici je fais une exception avec grand plaisir.

 

isabelle183

 

o29072010.1  


 

Que doit faire un néophyte de la fessée lorsqu'il ne connait rien à rien de cette divine punition ? Et bien chercher à se renseigner !

 

Etant innocent, je regarde donc sur le dictionnaire. Fessée = " Série de coups ou de claques données sur les fesses." Ah ! Il ne parle pas de jupe ou de pantalon, mais de fesses. Donc, je cherche le mot Fesses : " Les deux parties charnues de notre anatomie."

 

 Logiquement j'en déduis que cette fessée a lieu sur les fesses toutes nues. Pour vérification je regarde Déculottée et je vois : "Synonyme de fessée." Ah ! Donc lorsqu'on reçoit une fessée, on montre ses fesses ? C'est humiliant cette punition ! De plus une claque sur les chairs nues, même rembourrées, çà fait mal ! Mais que vois-je ? " SERIE de claques sur les fesses..." Dictionnaire à nouveau : Série = " Plusieurs... succession de..." Aïe ! Une répétition de claques sans savoir son "terminus" ? Une douleur renouvelée et régulière ?

 

 Et puis c'est pas bon pour l'humiliation non plus ! Si je me mets une claque sur le bras, je remue celui-ci pour éliminer la douleur.

Alors les fesses c'est pareil ! On les remue au visu de la personne qui les corrige. On les tortille ou on les crispe. Et elles rougissent automatiquement. Plein la vue pour la sadique attitrée au châtiment...

   

 Pour parfaire mon savoir sur ce sujet, je suis allé poser des questions à une dame sévère sur l'éducation.

-" Dis madame, pourquoi doit-on recevoir une fessée ?"

-" Parce qu'on a pas été sage ou qu'on a commis une grosse bêtise !"

Ah ! çà tombe mal parce que je ne suis pas vraiment sage et je fais souvent des bêtises.

-" Alors après tu donnes plein de claques en poursuivant le ou la punie ?"

Elle rigole !

-" Non, je m'assois sur une chaise et je couche la personne méritante sur mes cuisses, côté face pour avoir le côté pile bien à ma portée.

 

Puis je déculotte et je flanque une bonne fessée jusqu'à ce que les fesses soient toutes rouges !"

 La peau toute rouge, je sais ce que veut dire : Beaucoup bobo !

-" Mais s'il n'y a pas de chaise, alors pas de fessée ?"

-" Que si ! je ploie cette personne sous mon bras, bien serrée contre ma hanche, ce qui me permet de déculotter plus bas et de claquer bien fort !"

Ah ! Pas bonne mon idée!

-" Et... çà dure longtemps ce... claquement fessier ?"

-" Tu veux dire la correction en elle-même ? Pas longtemps; pour une bonne petite fessée, environ une minute !"

Mentalement je calcule. A raison d'une claque toutes les deux secondes, çà donne trente claques ! C'est à dire quelques 15 "Aïe", 1O "Ouille" et 5 "Ahou..."

 

  Mais l'enquêteur néophyte se doit de continuer sa thèse ! Après l'oral, la pratique ! Courage !

-" Bon, alors madame, après ces propos il faut tester n'est-ce pas ? Tu vas donc venir sur mes genoux pour que je puisse voir l'effet de la fessée !"

-" Ah non ! Pas dans ce sens là !"

-" Mais dans l'autre sens ce ne sont plus les fesses que je vais claquer ?"

-" Je veux dire que c'est TOI qui vas subir le test ! Afin de connaitre les sensations d'une fessée !"

Euh... que répondre ? Surtout qu'elle s'est assise, qu'elle triture ma braguette, et que j'entends le "Zippp..." classique d'une fermeture éclair descendante.

  En tant que bon chroniqueur j'essaie d'analyser la situation.

 

o29072010.2

 

  Elle me tire par le bras et je bute contre ses cuisses ! La logique de l'équilibre instable veut que je m'affale sur les cuisses sus-nommées. Je sens son pouce qui s'infiltre sous mon pantalon et, dans ma tête, je suis la trajectoire qui l'amène à mi-cuisses ! Même trajet pour le slip ! Sur, j'ai le postérieur bien à l'air !

  La première claque cingle affreusement ma fesse droite ! Suivie aussitôt d'une seconde sur la fesse gauche ! Et re-belotte sur la droite sans oublier la gauche. Des fois qu'elle soit jalouse ! Puis cinq, six....

 Là, je sens bien qu'une fessée est prévue pour faire mal ! ce ne sont pas des caresses !

  Mais curieusement, passée la dixième claque, un échauffement particulier s'empare de mon fessier et, sans diminuer l'impact de la claque, donne une impression de cuisante habitude.

  C'est ma première impression.

Lorsqu'elle termine enfin mon supplice, j'ai vraiment le derrière en feu ! Mais là, je m'aperçois que la chaleur qui envahit mon fessier est sublime !

  Je pose mes mains sur chacune des rondeurs et je la sens cette chaleur ! Hum...

  C'est ma deuxième impression.

  Et puis la troisième impression : D'un coup la honte ! J'ai le cul à l'air tout rougi, j'ai reçu une fessée par une dame, qui, elle, se trouve dans une position décente, et qui a ce sourire satisfait du travail bien fait.

  La honte ! Surtout quand elle dit :

-" Maintenant tu vas au coin les mains sur la tête !

-" Ah non ! Pas çà !"

 

o29072010.3.jpg  


-" Tu veux une autre fessée ?"

Eh ben je vais au coin !

  En final, elle me dit : -" Maintenant tu peux donner la fessée à quelqu'un d'autre car tu en connais les effets !"

Exact ! C'est comme un cuisinier qui ne s'est jamais brulé les doigts en goûtant sa tambouille ! Comment peut-il dire à son apprenti :" Tiens, goutes à ce plat sans prendre de fourchette !" Avec ce sourire sadique sachant qu'il va morfler des papattes et se trouver tout honteux.

  Bon ! Comparaison idiote je l’admets ! Mais maintenant, je sais fesser !

 

Il est évident que ce texte est fictif ! Mais quoi de mieux que de réviser ses leçons ?

 

Pour contacter l’auteur

 

rezette50@yahoo.fr

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 12:11

 

J’adore les chapeaux, surtout à voilettes qui rapportant au mystère de la femme ou très hollywoodiens pour leur esthétisme.  Et…j’affectionne les casquettes militaires pour leur pouvoir érotique. Selon le couvre chef le but est donc différent.

 

C’est encore un de ces fantasmes qui accentue l’aspect phallique de la femme. Ce qui ne se cache pas dans la culotte est transposé sur l’ensemble de la personne. Les conséquences sont multiples. En me regardant dans la glace je comble mon narcissisme primaire. En étant regardée je renforce mon narcissisme secondaire qui rejoint plus ce qu’on appelle communément l’amour propre. C’est du tout bénéf.

 

Dans les magasins « farces et attrapes » on trouve facilement des casquettes en cuir. Quand on combine un tel achat avec une cravache, il se crée facilement l’illusion d’une dominatrice.

 

Je me souviens d’une petite anecdote à ce sujet :

 

Après avoir choisie une jolie casquette en cuir à ma taille, puis une cravache que j’ai faite siffler en l’air pour évaluer son potentiel punitif, nous étions en train de passer en revue le rayon collant fantaisie.

 

Mon homme n’aime pas du tout les collants. Normal, c’est un gentil Pygmalion avec sa vision bien définie de son idéal féminin. Sauf qu’il ne s’intéresse pas à une statue ou des photos, mais à moi. Ce qui fait toute la différence.

 

Pour le taquiner je lui ai montré un collant après l’autre et son air devenait de plus en plus désenchanté.

 

Intervenait alors la vendeuse pour demander si nous avions besoin de conseil et en demandant à mon homme si les collants, c’était pour lui. Il a mal pris (sans le montrer) et moi j’étais pliée de rire.

 

Erreur fatale. On ne se moque pas de son homme en public. Clause important dans notre règlement de discipline domestique que j’approuve pleinement. Quand je vois certaines femmes ridiculiser leur homme en public ou à lui faire une scène, je pleins le monsieur pour sa faiblesse. Dans ce sens il ne mérite pas mieux.

 

De retour à la maison j’ai eu droit à une séance éducative qui se distingue de la simple fessée punitive. Ceci rejoint plus ce que j’appellerais l’éducation anglaise en complément de la discipline domestique. Dans ces séances nous travaillons durement sur mon comportement.

 

Il m’est inadmissible que je manque du respect à mon homme, peu importe la situation.

 

Ce qui en suit peut ressembler à un rituel S/m. Il y a une composante érotique qui me fait apprécier la chose, mais je vois aussi le but utile : me faire des belles jambes.

 

J’ai dû me vêtir de très hauts talons et de ma nouvelle casquette avant de commencer mes exercices qui se passaient de façon très militaire. Garde à vous et marche au pas cadencé imposé par la voix qui porte de Monsieur. Puis parader dans la pièce sous un œil vigilant, en levant à chaque pas mes jambes très haut.

 

Et quand je dis façon militaire, il ne s’agit pas de faire semblant par un jeu gentillet, mais d’un drill sérieux qui ferait honneur à un cours de caserne. Chaque mouvement est travaillé à la perfection et à force de m’exercer de cette manière je pourrais rejoindre n’importe quel bataillon  de parade sans démarquer.

 

Nous n’avons ni l’un ni l’autre l’esprit militaire dans le sens d’y attribuer une philosophie qui concerne des notions aussi vagues que la patrie ou la défense armée de valeur quelconques. Nous aimons la discipline pour la discipline. C’est monsieur le chef à la maison et ne pas moi. Et à vrai dire je ne supporterais pas un homme faible ou laxiste.

 

Quand il exige un garde à vous pour me sermonner (ce qui est très rare quand même), je m’y exécute en claquant mes talons et sans contester.

 

Bref la casquette chez nous n’a aucun rapport avec une dominatrice. Elle donne un relief visuel à une mise en scène punitive qui au fond n’est rien d’autre qu’un jeu apprécié par moi et mon homme.

 

Au cas où l’habit ferait le moine et je me sentirais des élans de dominatrice, il suffit que monsieur me renverse sur ses genoux. Au plus tard à ce moment les fausses apparences tombent comme la casquette, vu ma position. Et ma longue chevelure cachée en dessous se déverse devant les yeux émerveillés de monsieur. Puis le son de claques envahit la pièce, son si familier chez nous…

 

Par isabelle183 - Publié dans : Souvenirs
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 11:35

 

J’ai révisé ce blog entièrement ce week-end pour une meilleure lisibilité.

 

Chose qui me démangeait depuis longtemps, mais trop occupée ailleurs je ne suis pas passée à l’acte.

 

Pas mal de pages supprimées et il faudrait un peu de temps avant que les moteurs de recherche prennent les modifications en compte.

 

 

Je rassemble ici mes récits, romans et réflexions qui sont éparpillés un peu partout sur le net. J’alimente ce blog très épisodiquement et il se peut que pendant des longs mois, il n’y a aucun message. Mon but n’est pas de faire dans la quantité…

 

Les rares illustrations sont des copyrights de dessinateurs qui m’ont accordé le droit de reproduction.

 

Je remercie dont JPC/Escobar et Waldo pour leur gentillesse.

 

Les récits de mes ami(e)s du net sont également publiés avec l’accord de leurs auteurs.

 

Ce blog s’adresse aux personnes qui aiment lire du érotique atypique. Je ne fais pas dans le cul et le grossier…

 

Vison peut-être quelque peu intellectuelle, mais je ne sous-estime pas les lecteurs. Et ma formule semble me donner raison. Plus de 770 000 pages  visitées  et plus de 200 000 visiteurs à ce jour. J’estime que c’est une très belle réussite pour un blog de ce genre.

 

Et même sur le portail d’erog mon blog se tient en excellente place autour de la 200ème  position. Sur environ 40 000 blogs hébergés par cette plateforme dont la quasi-totalité concerne le hard, voire très hard.

 

C’est encourageant et montre à mes yeux que l’érotisme peut trouver sa niche.

 

 

Pour ceux qui aiment les images rares et même très rares concernant la fessée, je vous conseille un tour…

 

…sur mon blog illustre !

Par isabelle183 - Publié dans : Editorial
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 11:06

 

Monsieur aime jouer à la poupée avec moi et il sait bien s’y prendre. Au fond je ne suis pas compliquée. Il suffit de me demander gentiment.

 

Il me regarde avec émerveillement dans ma jolie tenue de soubrette pendant que j’effectue mes taches ménagères.

 

J’ai pris les devants dans cette aventure. J’aimerais lui prouver que ses envies avec leurs multiples méandres, n’aient que peu de secret pour moi ; comme si je lisais dans son âme.

 

Puis, mes yeux légèrement baissés, exprimant une docilité parfaite et une moquerie perverse à la fois, je lui parle. Je n’ai pas besoin de changer le timbre de moi voix. Elle est parfaite en ce contexte, juste ce qu’il faut pour insinuer une employée de maison à l’écoute du moindre désir de son maître.

 

Au cas où Monsieur ne serait pas entièrement satisfait de mes prestations, je tiendrai mon fessier à son aimable disposition.

 

Mon culot le dépasse. Il oubli presque qu’il s’agit d’un jeu. Pour marquer son autorité il fait siffler la cravache dans l’air pour me prévenir.

 

Retourne-toi un peu isabelle. J’aimerais examiner ta tenue.. 

 

Je dois le troubler par mes apparences. Il semble chercher un prétexte pour me donner une première leçon. Souvent dans ce genre de jeux la couture des bas est le sujet le plus sensible. Il observe le trait noir sur mes jambes qui est d’une « droiture » irréprochable en alignement harmonieux avec mes talons aiguilles.

 

Cela l’intrigue.

 

Je t’ai dit que je ne veux pas des bas autofixants dans cette maison isabelle.

 

Il me croit vaincue. Je me penche bien avant, ma courte jupe et mes jupons remontent pour qu’il puisse voir les attaches de mes jarretelles.

 

Si Monsieur voudrait contrôler par lui-même.

 

Il me semble déçu. Il ne s’y connaît pas trop en trucs de filles. Il suffit d’enfiler un porte-jarretelles à six rubans et de choisir (parfois selon les modèles) ses bas une taille plus grande pour un résultat impeccable.

 

Pour ma robe de soubrette je suis restée bien sage. J’aime les tenues de vinyle de temps en temps pour provoquer.

 

Mais j’ai préféré pour ce dimanche une allure plus classique. Je voudrais me restreindre sur d’autres formes de provocation : par mes mots, mes gestes, mes mouvements et attitudes. Je trouve cela plus évocateur, plus sensuel, bon enfant quoi. La cybermaid ce serait plutôt pour une soirée animée.

 

Il me fait marcher dans la pièce. Il a un faible pour les hauts talons. Il me fait souvent des compliments sur ma façon de marcher.

 

Tu as une grâce naturelle isabelle qui me fait rêver.

 

Mon homme possède plein de qualités et j’en découvre tous les jours des nouvelles. Mais parfois il n’est pas dans le coup. La grâce naturelle, tu parles. Cela se travaille et se mérite durement. Pour arriver à ce résultat je me suis servie de Tolstoï, "Guerre et paix". Pas pour le contenu du livre, mais pour son poids. Je l’ai mis sur ma tête et je me suis entraînée à marcher sur des hauts talons en imitant des tops models quand j’étais adolescente.

 

Il m’arrive encore de refaire cet exercice, surtout quand le moral me manque. Des soucis se reflètent facilement sur l’allure générale. Ce n’est pas bon pour la vie sociale. Alors le matin avant d’aller au travail je m’entraîne un peu et personne ne se rend compte de rien. Mes états d’âme ne concernent que mon homme (et encore !) et moi. Je suis une adepte de la discipline en tout genre, de la vraie discipline domestique si j’ose dire. J’aime que Monsieur me surveille étroitement, qu’il soit exigeant avec moi, qu’il ne passe jamais sur mes fautes, qu’il me pousse quand il le faut.

 

Monsieur a fini son inspection ? Puis-je retourner à mes occupations ? J’ai le repas à préparer.

 

Il ne peut s’empêcher de soulever ma jupe et de m’appliquer quelques tapes sonores sur mes fesses. Il est très doué pour ce genre de manœuvre. J’ai bien su choisir l’homme qui s’occupe de mon postérieur. Quand nous nous sommes rencontrés il m’a séduite par son charme, son humeur, son expérience de la vie et son savoir.

 

Pour lui faire plaisir je ne me contente pas uniquement de lui préparer un repas raffiné. Cela va de soi quand je cuisine. Je voudrais aussi lui livrer en bon spectacle et bien sur de lui fournir des prétextes pour une bonne fessée. Cela est facile à improviser. Ceux qui me connaissent savent à quel point je suis maladroite. C’est plus fort que moi. Je n’y peux rien. Mes grands classiques sont les plats en sauces, les mousses et bien naturellement la crème fouettée. J’en mets toujours un peu partout. Monsieur le sait bien. Et comme par hasard il arrive toujours au coin cuisine quand je prépare la crème. Je sais ce qui va se passer. Il attend derrière moi, puis au bon moment il me passera un doigt sous ma jupe entre mes jambes. C’est peu original, mais cela marche à tous les coups. Je n’ai jamais pu m’habituer à ce geste. Je fais toujours des bonds comme si c’était la première fois.

 

Sachant mon homme derrière moi je me sens un peu tendue. C’est un peu comme l’attente d’une fessée. J’aime cette tension.

 

Il se met carrément à côté de moi. Je suis surprise, mais continue ma crème. Puis il fait un geste brusque et inattendu envers moi. Il ne fait jamais ce genre de chose. Il sait que je panique facilement dans une situation pareille. L’inévitable arrive, le bol me glisse de mes mains pour rebondir sur le plan de travail. Il y a même un peu de crème sur mon homme. Je veux saisir une éponge mais il retient ma main.

 

Tu n’as pas de langue isabelle ?

 

Si, si et je sais bien m’en servir. Je ne suis pas pressée quand je m’applique, lentement et avec sensualité je m’occupe des tâches. Mon jeu lui plaît, il prend plaisir et attend plus de ma part. Mais là je m’arrête et retourne à mes plats.  

 

Il est confus, déçu. Cela se voit facilement sur son visage.

 

Pourquoi tu t’arrêtes ? J’attends tes justifications isabelle.

 

Cela m’émoustille beaucoup de vous rendre furieux Monsieur.

 

Pour un instant il est vraiment en train de perdre ses moyens devant moi. Est-il fâché pour de bon ? Mon insolence, est-elle plus cinglante qu’un coup de cravache. Quand et comment me fera-t-il payer la note ?

 

Il décidé de punir mes fautes sur le champ. Je dois me présenter à genoux devant lui. Deux êtres humains face-à-face, un homme et une femme, qui se fixent des yeux.

 

Puis je remarque à nouveau cette complicité ludique dans ses expressions.

 

Il me fait lever et me guide vers le salon. Il me renverse sur ses genoux pour me préparer minutieusement à la correction. Cette cérémonie lui prend beaucoup de temps et il semble la savourer. Il adore quand je suis déguisée en paquet cadeau. Sa main remonte mes bas vers la jupe, occasionnant un léger grésillement de l’électricité statique. Il retrousse ma jupe entièrement. L’épais jupon blanc en dentelle lourde, légèrement plus long que la jupe manque de transparence, ne dévoile pas ma lingerie noire. Tout est dans le sous-entendu. À nouveau sa main glisse le long de la couture des bas, se faufile sous le tissu du jupon pour le relever doucement. Le haut de mes bas se dessine, l’attaches des jarretelles, des rubans noirs froncés et élastiques, tendus au maximum. La naissance de mes fesses passe en vue et mes globes ronds et charnus émergent. Je pense qu’il est ému à la vue du fessier dénudé de sa bonne, mis en valeur par les fines jarretelles. Il les dégrafe délicatement une par une. L’élastique se détend par un son caractéristique.

 

Pour dégager au mieux le chantier il range les rubans méticuleusement roulés sous mon porte-jarretelles. Ensuite il baisse mes bas en dessous de mes genoux, finissant ainsi la préparation. Pour vérifier mon état d’excitation il passe deux doigts entre mes jambes le long de mon intimité et de ma raie fessière.

 

Il commence à malaxer mes globes en pinçant tendrement la chair. Connaissant ma peau, petit à petit sa blancheur habituelle se transformera en un ravissant rose très clair. Et bientôt j’ai la confirmation.

 

 Voila qui est appétissant !

 

Il affectionne particulièrement pour la punition à venir une cravache en cuir rouge avec son beau manche tressé, sa tige courte avec un embout de la taille d’un demi paquet de cigarettes, épais mais pas trop rigide, causant un impacte singulièrement sonore sans gros dégâts apparents.

 

Puis il m'applique une claquante et percutante fessée sans se presser. Dans la pièce règne un silence total, la cravache siffle dans l’air avant de s’abattre, suivi d’un impacte bruyant, rougissant de plus en plus mon malheureux postérieur. Pour rajouter du piment je gigote autant que je peux, sachant que mes parties intimes parfaitement lisses, aussi glabres que mes fesses, se dévoileront. J’essaye de me débattre, mais il me tient fermement. Ma résistance s’estompe vite. Je respire fortement, commence à pousser des soupirs qui dégénèrent vite en cris de volupté. L'élan de mon homme s’estompe, il arrête la punition. Nous somme essoufflés tout les deux. Nous n’attendons que nos respirations mutuelles.

 

Il me garde sur ses genoux en me caressant les fesses avant de m’agrafer les jarretelles. Ensuite il me met debout devant ma lui.

 

Soulève ta jupe ma chérie.

 

Je lui expose mon intimité encore luisante par les secrétions corporelles.

 

 Je constate que cette correction t’a fait beaucoup de bien, isabelle.

 

Cela nous a fait du bien à tout les deux. Tu as une force inouïe. J’ai les fesses en feu. Je ne pense pas que je puisse m’asseoir avant demain matin. Mais j’ai adoré comme tu as pu t’apercevoir.

 

Voudrais-tu je que je prépare la table ou préfères-tu que nous passerions dans la chambre ?

 

Pour l’instant ni l’un, ni l’autre isabelle. C’est moi qui s’occuperai de la table tandis que tu iras sagement au coin en gardant ta jupe et ton jupon relevée que je puisse me réjouir de tes belles fesses rouges.

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 10:47

Il n’y a pas de signes physiques à ma connaissance qui trahissent un faible pour la fessée. Il suffit de se regarder dans une glace.

 

Y pas marqué en gros « fessée » sur le front, dixit Monsieur

 

Des amoureux de la fessée sont des gens comme vous et moi, le plus souvent banals avec une vie sans histoires.

 

Répertorier des attitudes propices me parait un terrain délicat dont je me méfie un peu. Il en est de même pour la présentation. Un petit short moulant, une jupe écossaise plissée ou  collier en cuir autour du cou ne signifient pas forcement un goût pour la fessée.

 

Par contre j’ai découvert une certaine corrélation avec le vocabulaire qui offre des précieux indices. J’ai une longue liste dans ma tête, basée sur l’expérience et non sur mes idées. Je suis prudente avec des interprétations hâtives.

 

Quant aux métiers, pas de généralités non plus, mais une plus grande probabilité de viser juste, notamment quand il s’agit de vocations/sublimations de la petite enfance qui concernent un goût pour ce qui est manuel/artistique, l’écriture, amour du savoir, l’enseignement, les chiffres…

 

Je porte beaucoup d’attention aux traits de caractère : ordonné, méticuleux, méthodique, sens aigue de la propreté, contrôle de soi…

 

 

Quand aborder le sujet ?

 

Au lieu de se fier à une réflexion du pour et contre chez une personne, il me parait plus simple de me baser sur le feeling, la fameuse intuition (féminine).

 

L’instance compétente en nous qui s’occupe de notre désir c’est l’inconscient qui travaille et enregistre sans qu’on s’aperçoive. Quand on « sens bien une personne » concernant le fantasme de la fessée, c’est que notre inconscient a déjà fait une analyse judicieuse et la confiance (en soi) avance bien les choses.

 

Comment aborder le sujet ?

 

Cela dépend bien entendu de notre tempérament.

Je parle donc de mon approche qui rejoint assez la position Elodie Frège: ouverte de l’esprit et sans honte ni fausse pudeur. Cela rassure l’autre qui nous offre plus facilement ses confidences.

Et même si nous nous sommes trompés, notre « aveu » ne détériore rarement la relation.

 

Pour jouer ce « petit jeu avec dextérité » il est important de connaître le mode de fonctionnement d’un inconscient. En effet il ne possède pas de notion de temps. Une personne qui a chérie à un moment un autre de sa vie le fantasme de la fessée et qui l’a oublié/refoulé pour des raisons diverses est susceptible sur un plan fantasmatique de retourner à l’époque lointaine si un événement déclencheur la rappelle. Cela explique pourquoi certaines personnes se découvrent en passionnées de la fessée à n’importe quel âge.

 

Quand on connaît ce mécanisme il suffit de troubler certaines personnes par des allusions et comportements en douceur.

 

On obtient parfois des réactions spontanées, c’est-à-dire on nous raconte des souvenirs liés à la fessée ce qui est le but du jeu.

 

D’autres ont besoin du temps pour que l’idée fasse son chemin et il n’est pas rare qu’ils reviennent à la charge quand on s’attend les moins…

Par isabelle183 - Publié dans : Réflexions autour de la fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 09:51

 

Au printemps en Allemagne dans la région du Bas-Rhin fleurissent les fêtes foraines. D’ici, il est un peu difficile pour imaginer l’impacte de ce genre d’amusement sur mes compatriotes et surtout l’affluence du public. Il n’est pas rare que le nombre de visiteurs le week-end dépasse quelques centaines de milliers de personnes.

 

Il est très difficile d’avancer au milieu de cette foule pour faire le tour. Je n’aime pas les manèges à grande sensation. J’adore plutôt les manèges d’antan avec des belles boiseries et ses chevaux blancs. Une course hippique à la Mary Poppins en robe blanche sur un cheval de bois me fait encore rêver aujourd’hui.

 

Alors quand nous sommes à la bonne saison dans notre pied à terre en Allemagne (ce qui n’arrive quasiment plus), je ne rate pour rien au monde la fameuse « Kirmes de Düsseldorf ». Mon souvenir que j’aimerais raconter est lié à une de ces visites.

 

Ce-jour là avant de partir j’avais été particulièrement odieuse avec mon compagnon. Cela ne m’arrive pas souvent, mais tout le monde fait des petits écarts de conduite je pense.

 

Mon compagnon ne me punit pas pour un oui ou un non. C’est un homme juste qui ne se laisse pas emporter par ses émotions. Plus que j’abuse, plus il devient calme pour enfin me rappeler à l’ordre.

Il décida donc, vu mon insolence injustifiée, d’une punition de taille. Le Rohrstock, nom allemand pour la canne, est réservée pour des grandes occasions avec la consigne pour moi de visiter le coin pour « Kleine Mâdchen » (petites filles) avant.

 

Je redoute particulièrement cet instrument qui n’a rien d’érotique pour moi. Je suis corrigée « auf de nackten Arsch » (cul nue). Je devais donc me dévêtir en partie, en pliant soigneusement mes habits avant de tendre la canne à Monsieur. En gardant seulement mes bas, mon porte-jarretelles, ainsi que mes chaussures.

 

Ce qui s’en suit n’a rien de burlesque. Nous ne sommes pas dans un amusement, mais dans une véritable correction qui a pour but d’améliorer mes comportements.

 

C’est le Rohrstock qui me siffle la marche !

 

Bref, ça fait très mal et je suis « sage comme une image » pendant des jours après un rendez-vous avec la canne.

 

Il en va de même que la mémoire de mon postérieur n’est pas pour rien dans cette affaire et je me sers d’un coussin pour m’asseoir pendant un ou deux jours. Heureusement à force d’éducation anglaise j’ai la peau dure.

 

Une fois la punition finie, nous reprenons le cours de la journée. Mis à part le coin pour aérer mon fessier brûlant, il est rare que j’aie droit à une punition supplémentaire. Nous passons l’éponge ou plutôt monsieur me passe de la crème apaisante.

 

Ce jour-là donc on sortait visiter la fête foraine. J’avais particulièrement mal aux fesses, mais je n’ai pu m’empêcher de faire un tour sur un manège  à la Marie Poppins. Erreur fatale. Mon cheval avait une selle très dure, puis en accomplissant un mouvement de haut en bas et de bas en haut, j’ai dégusté un calvaire mémorable. Je n’ai jamais trouvé un tel amusement aussi long, moi qui hâte d’habitude que cela dure, dure…

 

Mon compagnon sait se montrer ferme avec moi quand il le faut. J’aime particulièrement ce trait de son caractère qui ne se laisse pas amadouer par mes ruses coquines, accès de colères et refus d’obéir à me plier littéralement à la sentence.

 

Mais il a bon cœur. Touché par ma double punition, il m’a offert un « Lebkuchenherz », cœur en pain d’épice qui se porte autour du coup, décoré de sucre glacé avec l’inscription :

 

 Je t’aime

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Syndication

  • Flux RSS des articles

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés