Jeudi 3 avril
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/Avr
23:18
Tu les verras plus,
les poils de mon c…,
j’en ai fais des brosses
J’aime beaucoup cette petite chanson rigolote…
Par contre ce que je n’aime pas ce sont les poils qui se cachent sous le boxer de mon
homme. A ce niveau il ne connaît pas trop le terme égalité. Pour lui chez les filles c’est filles beurk, chez lui on ne se pose pas la question.
J’ai trop envie de déclarer la guerre à ses poils depuis longtemps. En découvrant qu’il
existe des hommes qui cèdent à l’épilation avec plaisir, je me suis enfin lancée. L’empire contre-attaque…
Samedi soir les poils de monsieur vont vivre leur dernière heure.
Pour lui décider ce n’était pas gagné d’avance. Il n’aime pas trop quand je suis trop
directe pour ce genre de question. Il préfère que j’applique la méthode romantique. C’est un petit jeu entre nous, notre forme de complicité. J’ai donc employé une petite mise en scène pour
arriver à mes fins. Il n’est pas dupe, mais bon joueur.
Il y a un truc qui me met en rage quand j’y vais aux toilettes. Que monsieur n’abaisse
pas le couvercle, ce n’est pas le pire. Par contre que je trouve des poils sur la cuvette, ça me dégoûte franchement. Inutile de lui en parler, c’est un acquis pour lui. Il doit éprouver le
besoin de marquer son territoire. Faut alors changer les mentalités de force.
Je lui ai donc posé un ultimatum.
-La prochaine fois que je trouverais des poils sur la cuvette, on enlève tout ce qui se
cache sous ton slip. Table rase, net, lisse et ceci de manière permanente.
Il aime beaucoup mes grands airs de femme autoritaire. Ca n’a pas d’impacte sur sa
libido, mais ça le fait rire de bon cœur.
Bien sur je trouve des poils le lendemain. C’est donc parti pour un petit jeu érotique.
Je précise bien érotique et non esthétique. L’idée que mon homme soit tout lisse m’excité beaucoup sexuellement.
Une petite blouse blanche ne fait pas une esthéticienne, mais j’ai envie que mon homme
passe un moment agréable autant que cela soit possible. J’aurais préféré qu’il passe chez une professionnelle, mais il a refusé. Pour les hommes de sa génération, cela ne semble pas
évident.
Je l’attends donc en blouse blanche très courte, nue en dessous bien évidement. Manière
de le faire rêver un peu.
L’idée du « désormais ce sera sans tout le temps mon coco » le chagrine un peu.
Il tient qu’on fasse quelques photos de souvenir. Avec une belle érection c’est plus joli. Je me charge de la mise en scène.
Puis c’est parti. Je sais bien épiler à la cire par expérience personnelle. Avant le
définitif je m’en servais. Quand j’avais 20 ans on ne trouvait que très rarement des esthéticiennes qui pratiquaient ce genre d’opération. Alors fallait faire soi-même.
J’avais déjà épilé une fois monsieur à la cire, du moins en parti. Il sait ce qu’il
l’attend. Je me sers de la cire divine de chez Nair qui sent très bon et qui très facile à manier pour un résultat impeccable.
Je commence par ses fesses. Là c’est enfantin et peu douloureux. Je lui talque son
popotin bien ferme, objet de ma convoitise depuis notre rencontre. Il y a pas mal de boulot. J’ai prévu plusieurs pots de cire.
Après un petit moment une belle lune glabre s’offre à mes yeux.
J’aime beaucoup quand il se met en position d’autruche dans un contexte coquin. Parfois
quand j’étais infernale avec lui, pour me faire pardonner, je deviens très lèche cul. Dans ces moments j’éprouve un plaisir très cérébral.
Qu’elle est belle cette rosette sans poils. Il ne s’est pas plaint une seule fois. Je
m’occupe un peu de lui avant d’affronter les parties vraiment douloureuses.
Je me souviens de mes premières épilations à la cire, il faut vraiment en vouloir. Ca
fait très mal. Heureusement mon masochisme naturel facilitait la tache.
Monsieur pour sa part n’est pas maso autant que je sache, mais il est résistant à la
douleur.
Pour la première fois de ma vie je découvre mon sadisme envers un homme
consciemment.
Je procède par petites applications de la cire pour ses testicules. Je ne veux pas que
cela devienne une torture non plus. Il trouve les applications sur grande surface trop hard. J’avance très lentement on lui donnant le temps de souffler. Il ne bronche pas
trop.
C’est en entamant la base de son engin que les choses se gâtent. Il préfère que je retire
la cire très lentement, par petits coups.
Après plus d’une heure émerge un phallus sans le moindre
duvet qui a largement mérité sa pause fellation.