Il n’y a pas de signes physiques à ma connaissance qui trahissent un faible pour la fessée. Il suffit de se regarder dans une glace.
Y pas marqué en gros « fessée » sur le front, dixit Monsieur
Des amoureux de la fessée sont des gens comme vous et moi, le plus souvent banals avec une vie sans histoires.
Répertorier des attitudes propices me parait un terrain délicat dont je me méfie un peu. Il en est de même pour la présentation. Un petit short moulant, une jupe écossaise plissée ou collier en cuir autour du cou ne signifient pas forcement un goût pour la fessée.
Par contre j’ai découvert une certaine corrélation avec le vocabulaire qui offre des précieux indices. J’ai une longue liste dans ma tête, basée sur l’expérience et non sur mes idées. Je suis prudente avec des interprétations hâtives.
Quant aux métiers, pas de généralités non plus, mais une plus grande probabilité de viser juste, notamment quand il s’agit de vocations/sublimations de la petite enfance qui concernent un goût pour ce qui est manuel/artistique, l’écriture, amour du savoir, l’enseignement, les chiffres…
Je porte beaucoup d’attention aux traits de caractère : ordonné, méticuleux, méthodique, sens aigue de la propreté, contrôle de soi…
Quand aborder le sujet ?
Au lieu de se fier à une réflexion du pour et contre chez une personne, il me parait plus simple de me baser sur le feeling, la fameuse intuition (féminine).
L’instance compétente en nous qui s’occupe de notre désir c’est l’inconscient qui travaille et enregistre sans qu’on s’aperçoive. Quand on « sens bien une personne » concernant le fantasme de la fessée, c’est que notre inconscient a déjà fait une analyse judicieuse et la confiance (en soi) avance bien les choses.
Comment aborder le sujet ?
Cela dépend bien entendu de notre tempérament.
Je parle donc de mon approche qui rejoint assez la position Elodie Frège: ouverte de l’esprit et sans honte ni fausse pudeur. Cela rassure l’autre qui nous offre plus facilement ses confidences.
Et même si nous nous sommes trompés, notre « aveu » ne détériore rarement la relation.
Pour jouer ce « petit jeu avec dextérité » il est important de connaître le mode de fonctionnement d’un inconscient. En effet il ne possède pas de notion de temps. Une personne qui a chérie à un moment un autre de sa vie le fantasme de la fessée et qui l’a oublié/refoulé pour des raisons diverses est susceptible sur un plan fantasmatique de retourner à l’époque lointaine si un événement déclencheur la rappelle. Cela explique pourquoi certaines personnes se découvrent en passionnées de la fessée à n’importe quel âge.
Quand on connaît ce mécanisme il suffit de troubler certaines personnes par des allusions et comportements en douceur.
On obtient parfois des réactions spontanées, c’est-à-dire on nous raconte des souvenirs liés à la fessée ce qui est le but du jeu.
D’autres ont besoin du temps pour que l’idée fasse son chemin et il n’est pas rare qu’ils reviennent à la charge quand on s’attend les moins…
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