Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 09:35

 

Voici un texte qui me touche beaucoup. Une jeune femme exprime ses désirs avec des mots simples. Rareté à une époque qui pratique la langue de bois en matière de fantasmes. Du crédible de A à Z.

 

 

Ma première fessée punitive, je ne sais pas comment je la vois.

 

On se serait déjà rencontrés pour dîner tous les trois afin de faire plus ample connaissance. Le jour J, tu viens à la maison aux alentours de 14h avec un sac que tu gardes fermé. Dark m'a choisi des vêtements.

Moi je suis sur le bureau à faire une punition. Nous avons échangé nos numéros de portable, tu en profites pour téléphoner et demander que je sois les mains sur la tête à ton arrivée. En jeune fille désobéissante, à ton arrivée, j'ai les mains dans le dos. Tu t'approches de moi après avoir salué Dark, me mets toi- même les mains sur la tête que tu tiens avec une main et de l'autre tu me mets une mini fessée afin que je les garde comme tu le souhaites. Ce que je fis. Tu me demandes alors la punition que je devais te rendre. Elle consistait à recopier plusieurs mots ainsi que leurs définitions. Tu vérifies qu'il n'y ait pas de faute. Dark te propose une bière que tu acceptes tout en restant derrière moi.

 

J'ai l'interdiction de bouger jusqu'à ce que tu me le dises. J'obéis, je suis intriguée par le sac que tu as ramené, je me demande ce qu'il contient. Si le martinet dont tu m'as parlé se trouve à l'intérieur. Tu me demandes d'aller contre le mur à côté de la porte du salon, là où la punition sera exécutée. Dark a déjà mis la pièce dans la configuration souhaitée pour qu'il puisse voir et que tu puisses oeuvrer à ta guise.

Je suis là, contre le mur à attendre que vous décidiez que la punition doit être accomplie.

 

Je patiente. Je ressens dans le bas de mon ventre de drôles de sensations. Je sens que vous m'observez, que vous vous demandez à quoi je pense. Je me sens partir, je suis ce que je ressens. Les sensations me mènent dans un univers que je ne connais pas, celui de la honte que je sens monter, de l'humiliation à venir quand je me retrouverais telle une enfant sur les genoux d'une femme qui est venue pour la punir. Je sais que je peux arrêter le jeu quand je le souhaite et qu'il est encore temps de dire stop, mais je suis curieuse de savoir, de ressentir, de découvrir de nouvelles sensations. J'entends qu'on se lève derrière moi, que quelqu'un vient de quitter la pièce, mais je ne regarde pas de qui il s'agit. La musique se lance, une musique douce, une chanson connue passe en ce moment. L'heure est venue pour que la punition commence.

Pour moi la délivrance arrive, la délivrance de ces sens dont j'ignorais l'existence. Tu te lèves à ton tour avant de t'asseoir sur la chaise.

 

Tu m'appelles, je m'approche. Je suis en jupe en jean avec une chemise a

Dark. Tu remarques que la jupe est boutonnée comme un jean. Tu la détaches, mais la garde en place. Tu me fais m'allonger sur tes genoux.

J'ai honte, j'ai hâte que tu commences afin que cela se finisse. Je sais qu'il y aura plusieurs étapes avant la fin, que tu prendras ton temps afin que je la ressente bien. Je suis en position et j'attends que tu commences mais l'humiliation que tu m'imposes me fais bouger je voudrais que tu commences, mais tu continues à me flatter. L'attente de la première claque me semble interminable.

 

Tu commences enfin, lentement, mais je sens bien chaque claque que tu fais atterrir sur mes fesses. Tu augmentes la cadence tout en gardant la même force de frappe. Je commence à bouger un peu, je commence à avoir vraiment mal. Tu t'arrêtes, flattes à nouveau avant de m'enlever ma jupe. Je réalise que je suis en culotte à présent et que la prochaine fois que tu t'arrêteras ça sera pour me l'enlever. J'ai les fesses bien roses, une caresse dessus avant que la pluie de claque ne reprenne. J'ai mal, je bouge, j'essaie de mettre une main pour s'interposer mais rien n'y fait, tu continues. J'ai les larmes qui me montent aux yeux, j'essaie que ça ne se voit pas, mais tu le sais, tu le sens. Tu t'arrêtes à nouveau. Tu te saisis de ma culotte que j'attrape de justesse avant que tu l'envoies rejoindre la jupe sur le sol. Je ne veux pas que tu me l'enlèves, le dernier rempart avant que mon intimité ne soit dévoilée. Tu me regardes et me demandes si je sais comment se donne une fessée. Tu n'attends pas ma réponse, tu me remets quelques claques bien appuyées afin que je lâche prise. Ce que je fais pour éviter que tu continues. Tu me repositionnes et m'annonces que la prochaine fois que j'interviens de la sorte, je découvrirais ce que tu caches dans le sac.

 

Maintenant je sais que tu l'as avec toi, que si je continue, tu sortiras le martinet. Dark s'approche pendant ce temps et te demande s'il peut vérifier quelque chose. Je le sens me toucher, il sait l'effet que ça me fait. Il s'arrête, vient me prendre dans ses mains le visage afin de me déposer un baiser sur le front. Il s'éloigne à nouveau, je sais que la fessée va reprendre. J'attends et essaie de penser à la fin. Tu reprends, j'essaie de ne pas bouger, mais je ne tiens pas en place, je danse sur tes genoux, mais tu me tiens. Tu sais ce que tu fais. Tu t'arrêtes enfin pour de bon. Je pleure, je reste ainsi exposée le temps de me calmer. Tu me caresses les fesses pour apaiser un peu. La punition est finie, j'ai reçu ma première fessée punitive. Je me relève afin de me blottir dans les bras de Dark.

 

J'apprendrais plus tard que dans ton sac, le martinet n'y était pas, mais que tu avais ramené de la crème que Dark se chargea de me passer sur les fesses.

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 00:00

Je me souviens de vous Monsieur et de notre première rencontre. Vous m’aviez abordée sur un site de fessée avec des compliments classique du genre « j’aime bien ce que vous écrivez ». Je vous ai répondu sur le même mode et je me suis faite vertement tancer. Alors j’ai repris vos derniers posts, un par un à la recherche d’une jolie phrase que je vous ai citée. Vous souvenez-vous de ce jour là ??? C’était le premier mai 2001.

 

Vous avez émis une convocation le lendemain, impatient que vous étiez. A l’époque je travaillais de nuit en réanimation et ne pouvait me déplacer qu’en fin d’après-midi. Rendez-vous fut pris pour le 4 mai. Il me restait peu de temps pour me préparer. Chaque mail échangé contenait de nouvelles exigences. Vous vouliez des bas… mais pas n’importe lesquels, il fallait qu’ils ne plissent pas. Pas question de DIM up non plus. Ces trois jours ont filé comme l’éclair, passés à écumer les magasins à la recherche du bas idéal. Vous vouliez aussi un rouge à lèvre très rouge, très vif. Une nouvelle tournée des magasins. A chaque mail vous tentiez de me soumettre, à chaque mail je tentais de me démettre. Vous souvenez

-vous ?

 

Je me souviens moi de ce 4 mai. Je suis arrivée en avance, convoquée pour 17h. J’ai eu du mal à me garer, j’avais l’estomac retourné. J’avais eu une expérience très soft de fessée trois jours avant. Et là je tentais à nouveau le diable, dans un projet de fessée plus dure, dirons-nous. Je suis arrivée sur cette place ou vous m’aviez convoqué.

Il faisait beau. Des quidams se prélassaient à la terrasse d’un café. J’aurais bien voulu les imiter. Le temps passe et je ne vois personne arriver. J’admire le plan du quartier en long large et travers (faut bien se donner une contenance). J’attends. Je vous attends, vous ou votre appel. Je sors mon portable de ma poche pour découvrir que vous aviez appelé mais que le bruit ambiant a fait que je n’ai pas entendu.

J’enrage. Surtout quand j’entends votre voix ironique me dire que mon répondeur prétend que je ne m’appelle pas Karine. Et un motif de fessée, un ! ! (J'apprendrai plus tard que pendant que j'admirais le plan du quartier, vous sirotiez au café en me regardant)

 

Vous souvenez-vous quand vous m’avez rejoint, comment vous m’avez fait rougir en passant l’inspection ? Le rouge à lèvre n’est pas assez rouge selon vous. Vous passez même la main sur mes fesses, les laissant glisser sur mes cuisses pour vérifier que je portais bien des bas. Vous me proposez un verre et je vous suis dans un pub très sympathique. Nous avions pris un kir je crois. Là, je subis un feu roulant de question sur mes motivations, envies et désirs de fessée. Puis vous m’emmenez chez vous, dans votre appartement, votre intimité, et je vous découvre. Vous me proposez un verre, de vodka cette fois. Je l’accepte. Il est 18h30.

 

Je me souviens de ces instants éternels ou tout peut s’arrêter, où la fessée n’a pas encore eu lieu. Ce moment où j’avais envie de fuir. Mais j’étais curieuse aussi. Je vous cherche et vous provoque. Nous luttons, à coup de petites phrases. Et chaque fois que je gagne, j’ai un petit rappel à l’ordre, c’est vous le Monsieur qui a le pouvoir. Pour finir, vous me donnez une feuille de papier et un crayon et vous me demandez d’écrire les raisons pour lesquelles je vais être fessée. Je me souviens des raisons faciles (le rouge à lèvres, le prénom, ne pas avoir répondu au téléphone). Je vous tends ma copie mais vous me la rendez en me disant que ce n’est pas assez, qu’il en faut plus. Je réfléchis intensément et longuement et j’arrive enfin à trouver quelques raisons.

 

Vous souvenez-vous alors que vous étiez assis sur une chaise devant votre bureau ? Vous souvenez-vous que vous m’aviez fait approcher pour vous rendre cette fameuse copie ? Vous souvenez-vous que vous l’aviez critiqué ?

A ce moment là, je tremblais, prise au piège de cette situation, moi qui n’aime pas les scénarios, mais vaincue par l’imminence de cette fessée attendue. Le dernier instant où je peux dire stop et partir. C’est trop tard, vous venez de m’ordonner de me coucher sur vos genoux. Vous m’accompagnez même dans cette descente aux enfers.

 

Je me souviens alors de votre main sur mes reins. Qu’elle était chaude! Je me souviens de l’autre remontant lentement sur mes cuisses, vérifiant que mes bas étaient doux au toucher. Je me souviens de ces petits tapotis sur mes fesses, comme pour en prendre la mesure. Je me souviens qu’à ce moment là, je voulais vraiment que vous commenciez enfin. Vous remontez ma jupe et me remerciez. C’est vrai, j’avais mis une jolie culotte blanche, vous n’aimiez pas la lingerie de couleur m’aviez vous dit.. Vous assenez quelques claques dessus avant de la descendre tranquillement jusqu’à mes genoux.

 

Vous souvenez-vous Monsieur, combien alors je respirais vite ? Combien je frissonnais d’anticipation ? Vous souvenez-vous ? Vous avez commencé alors à claquer puissamment, lentement, vous aviez tout votre temps. Vos mains étaient beaucoup plus vigoureuses que celle du seul fesseur que j’avais connu. Chaque claque faisait résonner en moi, un sentiment de sérénité. Vous frappiez lentement, cherchant le meilleur endroit, comme un artiste travaille sa toile. Je me sentais bien.

 

Je me souviens aussi de vos salves plus rapides. Je ne pouvais alors m’empêcher de mettre mes mains pour me protéger. Vous vous arrêtiez alors. Et tout aussi tranquillement m’ordonniez de les enlever pour pouvoir continuer à fesser. Je me souviens aussi que parfois, vous vous amusiez à picorer du doigt la paume de ma main. J’essayais de vous la happer. Un p’tit jeu entre nous. Comme ce jeu aussi qui consiste pour vous à claquer à l’endroit que ma main ne protège pas. Il me faut ruser. Vous vous montrez renard. Nous nous livrons à un duel silencieux, moi la fessée, vous le fesseur.

 

Vous souvenez-vous Monsieur combien cette fessée fut longue ? Vous souvenez-vous que je n’ai pas voulu céder et prononcer ce fameux mot, ce mot qui arrêterait tout et me ferai perdre cette bataille. J’ai reçu une belle fessée ce jour là, une grande, une grosse, une que je n’imaginais pas. Parfois vous vous arrêtiez, juste le temps de caresser mes rondeurs offertes, m’offrant un répit tout câlin. Parfois aussi, votre main s’égarait entre mes cuisses, et j’entendais alors comme un petit rire de gorge. Je suis certaine que vous souriiez à ce moment là. Vous décidez alors que j’ai reçu une belle fessée. Vous m’envoyez au coin. (Peut-être avez vous mal aux mains ??)

 

Je me souviens, de ce coin. Déjà, il fallait fermer la porte pour le trouver, car dans votre petit appartement, les meubles occupaient tous les coins. J’ai admiré la peinture qui s’écaillait. J’étais attentive aux sensations de mon corps, à cette brûlure qui allait se diffusant partout, dans tout mon postérieur, remontant jusqu’à mes reins. Je me souviens aussi de mes mains sur la tête, de ma fatigue, du fait qu’elles glissaient et que vous m’ordonniez alors de les remettre. Je vous ressens, là derrière moi, vous fumez une cigarette, puis une autre, tout cela dans un silence religieux. J’entends aussi les pages d’un magazine qui se tournent. Mes mains glissent. Je me suis trompée, vous me surveilliez, je ne sais à quoi vous pensez. Mais moi, je me sens bien, vidée, comblée… et docile (un comble !)

 

La patience est une vertu. Et je devais approcher la sainteté quand enfin, vous me rappelez près de vous. Vous souvenez-vous que je vous ai demandé la permission de me rhabiller ‘ Permission que vous m’avez donnée. Vous souvenez-vous combien j’ai rougi, en recouvrant mes charmes de tissu ? Car votre regard tenait le mien, vous aviez ce léger sourire ironique qui vous donne des fossettes et que j’aime tant. Ce que je cachais, vous l’aviez admiré tranquillement juste avant.

 

Je me souviens, une fois rhabillée, que je me suis mise à genoux à côté de vous, que vous m’avez offert une autre vodka. Nous avons alors discuté boulot, choix de vie. Nous avons échangé nos idées comme si rien ne s’était passé. Nous regardons l’heure et vous m’invitez au restaurant. Nous nous dirigeons donc vers ce restaurant arménien du quartier. Régulièrement, votre main s’égare en une petite tape complice sur mes fesses, me faisant rougir et me sentir complice de vous. Nous dînons tranquillement lorsque vous me demandez d’enlever ma culotte, là en plein restaurant. J’hésite, je ne veux pas, vous insistez et j’accepte alors mais aux toilettes. Là, c’est vous qui refusez. Tant pis, ma timidité me paralyse, j’ai le sentiment d’être au centre des regards.

 

Vous souvenez-vous quand nous sommes repartis après avoir payé ? Nous étions les derniers, et vous avez raconté au patron du restaurant que vous me fessiez. Il souriait et moi, je tenais la porte pour sortir, n’osant affronter aucun regard. Vous souvenez-vous que vous m’avez invité à boire un dernier verre chez vous ? Vous souvenez-vous que vous m’avez encore fessé pour vous avoir désobéi au restaurant ?

 

Vous souvenez-vous que je ne suis partie qu’à deux heures du matin ??

Nous avons passé neuf heures ensemble pour cette première fessée. Moi, je me souviens, de celle là et de toutes celles qui ont suivi.

 

Merci Monsieur.

 

D’autres récits de Karine

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Jeudi 13 mai 4 13 /05 /Mai 10:51

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Dessin : Waldo

 

Une fois n’est pas coutume je mets un dessin sur mon blog.

 

Voici le Waldo Blog

 

Waldo, c’est un œuvre très vaste et un Monsieur que je lis avec plaisir sur les forums de fessée. Puis une maîtrise du dessin, de la photographie, du Photoshop, du bricolage… et de l’écriture. Il fait de très jolis récits sur le sujet !

 

Mettre à ma façon certaines œuvres de Waldo en mot me tente depuis longtemps. Il y a des dessins qui collent parfaitement à mon univers. Mais c’est délicat quand on se trouve devant une création qui parle pour soi. Alors le meilleur moyen pour en avoir le cœur net, c’est de s’adresser à l’artiste.

 

C’est fait et il a dit oui.

 

J’ai choisi un dessin pour illustrer ce post qui m’évoque une situation perso. Mis à part la coiffure, je me retrouve très bien dans le personnage de la femme qui s’appui légèrement sur la commode. En attendant un beau spectacle. Il n’est pas dans mes habitudes d’aborder ce genre de situation directement et avec plus de détails. Je suis discrète à ce niveau. Mais d’en parler sous forme de récit fictif me plait beaucoup. C’est l’élaboration littéraire qui met la distance nécessaire que j’aime pour me laisse aller dans les confidences…

 

Par isabelle183 - Publié dans : Editorial - Communauté : La fessée
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Jeudi 13 mai 4 13 /05 /Mai 10:35
Par isabelle183 - Publié dans : Indexes de mes romans et récits
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Jeudi 13 mai 4 13 /05 /Mai 10:20
Par isabelle183 - Publié dans : Indexes de mes romans et récits
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Jeudi 13 mai 4 13 /05 /Mai 09:45

Cela fait longtemps que je n’ai plus rien posté sur ce blog. Depuis que je suis maman le temps pour écrire des récits me manque.

 

Toutefois ce petit blog continue bien son chemin et fait toujours des jolis scores de visites. Proche de 700 000 à ce jour. Et ceci sans le moindre « abus » d’illustration. Ce qui prouve bien qu’il existe aussi un public qui aime les histoires.

 

J’ai envie de reprendre ici  un jour ou un autre avec des nouveaux récits. Sans trop savoir quand.

 

En attendant je remercie les personnes qui me lisent (c’est le cas de la dire) et qui aiment mes textes.

 

Je maintiens toujours ma proposition de publier des nouveaux auteurs sous certaines conditions :

 

Pas d’allusion à la fessée enfantine.

 

Pas de vulgarité

 

Pas de récits de fessée mécanique

 

Avec une préférence pour la fessée H/f ou F/f.

 

isabelle183

Par isabelle183 - Publié dans : Editorial - Communauté : La fessée
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Jeudi 13 mai 4 13 /05 /Mai 09:42

Fesseur Français

 

Un site très complet qui mérite le détour pour ses clips, photos, témoignages, récits et surtout pour son forum de rencontre pour ceux qui cherchent la « fessée en vraie ».

Par isabelle183 - Publié dans : Editorial - Communauté : La fessée
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Lundi 30 novembre 1 30 /11 /Nov 10:35

Monsieur et Madame se font taquiner par leurs amis au titre de marathoniens du mariage. Monsieur a initié la fessée coquine, Madame s’y est pliée (!) gentiment  avant d’en devenir friande et d’initier des jeux qui rappellent les vôtres : des frous-frous à la mise garçonne, des confessions réchauffant aux pokers spéciaux en passant par la prolétarienne asservie ou triomphante.  Moins douée pour donner, Madame a su quand même construire d’audacieuses mises en scène, faisant la partie belle au coureur soumis à la question. De grandes occasions où Monsieur ne distinguait plus les feux de l’enfer des extases du paradis.

 

La DD est apparue un jour que Madame, de caractère explosif, poussait une gueulante enflammée suite à un désaccord insignifiant. Monsieur, pourtant coincé dans l’expression spontanée des sentiments, se fâche et dit sèchement « C’est inacceptable...tu serais un mec... ». Madame stop pile, dit « Attend » et sort. Trois minutes plus tard, elle l’appelle.  Monsieur la trouve nue sur le lit, deux oreillers sous le bassin, la strappe sur le derrière avec un post-it où se lit : « AU MÉRITE ». Touché au coeur et ailleurs Monsieur hésite un très court instant : la réconciliation usuelle ou une vraie fessée. Celle-ci l’emporte, mesurée, attentive, mais assez ferme pour un beau carmin, des cris, gémissements et quelques pleurs. Une première jouissive  et, miracle, il n’est pas transformé en tyran épais. Si la punie le traite de brute sadique c’est une fois lovée dans ses bras. 

 

Plus tard, bien relax et d’excellente humeur, ils conviennent que ça ne dois pas rester sans lendemain. Permission de Madame à ce que Monsieur initie, code d’acceptation, quelques motifs clairs : exercices « oubliés » et santé négligée, agression verbale sans mesure, picole exagérée, etc. Symétrique pour Monsieur pour des négligences du genre « je répare ça demain » et qui  traîne des mois, achats intempestifs genres 3 dindes, 6 gigots, 4 pulls parce que « ça me tentait ».  Mais ce qui irrite vraiment Madame ce sont ses implosions, ses transformations en zombie souriant sous le coup des rages rentrées et des difficultés, bref ses absences sans voyage. L’obsession du boulot n’est pas une excuse, il mérite cuisante rétribution. Mais comment faire sans jérémiades répétitives?

 

Madame, inspirée par des fesses encore très chaudes, trouve la solution. Un bel ensemble de poupées russes trône sur la cheminée : une posée à part, c’est l’avertissement; deux c’est la fessée imminente; trois et ça y est. Si, en raisons des contraintes de la vie, elle doit remettre ça et aller jusqu’à la plus petite poupée : une raclée de haut vol.

 

Et tout ça marche! Ajustements faits en route, c’est plus gai et plus souriant qu’auparavant : les fâcheries et les  palabres/discussions sont plus courtes, les réconciliations traditionnelles plus ardentes, le travail des deux plus efficace.

 

Monsieur ne croyait guère au « bilatéral ». Juste pour voir, il laisse filer les poupées russes jusqu’à la dernière. Il trouve plaisir à entretenir une crainte délicieuse mais toute petite : Madame a toujours été impressionnée par le rougissement rapide de sa peau de blond, elle s’arrêtera donc bien vite. Et c’est quoi au juste une « raclée de haut vol »?

 

Trop costaud pour que Madame le maîtrise, elle le courbe sur le dos du fauteuil et utilise 4 de ses cravates pour assurer un maintien de la bonne posture. Et annonce la couleur : « un short rouge pompier sans tache ». Le martinet appliquée des deux côtés, puis la strappe pour combler les vides, un peu de la brosse « à cris » pour le contraste,  le tout fini main pour effacer le blanc qui reste. Et sans se presser. L’interdiction faite aux mâles empêche Monsieur de verser les larmes qui se pressent, non ses cris et suppliques. Le reste de l’univers disparaît, il est certain que son derrière va éclater comme une tomate dans l’eau bouillante. Madame fesse en DDB avec une ardeur appliquée que ses hésitations en mode coquin n’aurait jamais laissé soupçonner. Le « puni », y trouve une réduction de sa tension intérieure qu’il croyait hors de portée. Joyeuse découverte même si le remède est brûlant et commande une utilisation modérée!

 


 

Madame néglige ses nécessaires exercices, rappel léger de Monsieur, front buté de Madame; quelques heures plus tard Madame, défiante, qui dit « 3 jours que je les néglige, et alors? » Comme si elle ne le savait plus : la main, la strappe et un léger rappel à la canne pour prévenir la récidive, le tout en exécution immédiate mais assez lentement pour que ses fesses trépignent bien à loisir. Les exercices semblent plus faciles les jours suivants.

 

Ou encore, éruption qui commence --- soutenue par trop de Pouilly --- avec des amis; lors d’un bref moment d’accalmie, Monsieur lui glisse à l’oreille « tout doux, de l’eau ou tu risques une vraie manuelle ». Réponse : un sourire éclatant, un petit bécot, sa main qui se caresse une fesse et .... le verre vidé d’un trait, le geyser qui entre en éruption. Ce sont de bons amis qui la connaissent bien... pas de dommages durables mais la fessée préférée de Monsieur prend place dès le retour, assez énergiquement pour traverser les vapeurs d’alcool.

 

« Me prendre une bonne fessée pour un retard à rentrer à la maison » : ce fantasme tourne et tourne dans la tête de Monsieur, un spécialiste de la dernière minute. Vous avez brillamment trouvé des codes clairs à ce sujet, nous pas encore. Après travail des méninges, Monsieur part en disant « Je fais l’impossible pour renter pile à l’heure puisque tu fais un rôti de biche » Madame reste perplexe devant cet étrange message : « Pas de problème, j’ai un texte à finir, disons 20.30h sans faute ». Depuis 19.30h il traîne devant une bière, à 20.10h il prévient « J’ai oublié l’heure ... je serai là dans une heure ». Exclamations furibardes, puis avec un sourire dans la voix, « pas d’excès de vitesse, je te veux entier ». A l’arrivée, sourire carnassier et droit au but « On mange, on digère un peu et je t’apprête les fesses avec autant de soin que mon rôti ».  Ce qui fut fait, avec une bande son digne d’un grand Chef : « Saisir à la tawse, mijoter à la pantoufle, assaisonner à la canne, battre solidement à la main pour lier le tout ... et pour le prochain bon dîner en péril, doubler la dose ». Monsieur remise le fantasme .... jusqu’à?

 

Cette DDB reste confidentielle. Monsieur en est convaincu jusqu’à la semaine dernière. Ils dînent en bande chez Marie et Gérard. Monsieur reluque les abondantes rondeurs de Marie depuis des lustres, discrètement croit-il. Bonne humeur, excellents vins et il offre un coup de main à Marie pour débarrasser avant les digestifs. A la cuisine, elle se glisse dans ses bras et l’embrasse langoureusement, ses mains à lui démarrent instantanément et, comme au temps lointain de l’adolescence, c’est un pelotage en règle. Madame entre et s’exclame, Marie et Monsieur rougissent et balbutient. Glissons mortels, la soirée se termine avec grâce.

 

« Quelle immaturité, j’ai l’air de quoi que tu tripotes ma meilleure amie? Tu as joué avec ça quand je te fessais pour le plaisir; ce soir tu vas en prendre une sérieuse. Donne-moi ta ceinture, enlève le reste et sur le bras du canapé. Et vite! » Il est surpris : quelque chose cloche. Elle est furieuse --- trop --- mais il n’utilise pas leur règle du « on se calme d’abord » et il s’exécute, appelant l’ironie à la rescousse : « première fois avec MA ceinture, la diversité y que ça ... bon la jalousie c’est peut-être utile... ».

 

Madame peint avec soin, bande rouge par bande rouge, ça cingle drôlement, il hurle un peu. Pourtant Madame passe plutôt vite à la main, ce qu’il adore en d’autres circonstances. Et la diatribe d’accompagnement sur le mâle avec un pénis à la place de la cervelle n’est pas très convaincante, surtout lorsqu’elle s’esclaffe. Elle le relève, l’embrasse. La consolation déjà, pas dans les moeurs? Entre deux éclats de rire, elle ne fait que répéter « Mon pauvre chéri ».  Monsieur sait qu’il a été roulé dans la farine ... et plus! Mais laquelle?

 

« Chéri, je te raconte une histoire en te consolant, tu ne bouges pas. Marie connaît notre DDB, elle vit en DD avec Gérard. Pas tout de suite les fantasmes, je sais que tu meurs d’envie de lui rougir son gros derrière! Hier elle me dit : « Comment vont tes fesses? Les miennes sont froides, Gérard devient trop indulgent. » « Tu n’as qu’à demander! » « Difficile à faire comme tu sais pour une vraie bonne fessée. Et au fond c’est ce que je veux quitte à le regretter quand je devrai faire gaffe à comment je m’assoit. » « C’est l’inverse pour moi, j’ai une furieuse envie de flanquer une rouste à Monsieur mais pas de vraie raison ».

 

« Tu devines la suite, mon chéri....  Elle a même parié que tu lui sauterais dessus en 60 secondes ou moins, je lui dois 50€. Et en ce moment même, elle crie et pleure sous le martinet et c’est loin d’être fini, Gérard déguste lentement à la main en fin de parcours! Ça te fait de l’effet, adorable pervers, grand naïf! » 

 

« Qui a proposé le piège? »

 

« Ça très cher, je ne le dirai pas! Je ne gaspille pas un si beau matériau pour tes rêves! »

 

Effectivement, dans les brefs instants qui restent à son cerveau opérationnel, il jongle avec des dilemmes : corrections simultanées aux deux coupables ou une après l’autre ou récompenses chaudes offertes aux deux ou ........  

 

Avec l'aimable autorisation de Frank: lacfr666@yahoo.com

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Jeudi 17 septembre 4 17 /09 /Sep 14:04

Ca y est ! Depuis deux jours mon petit blog a dépassé le demi million de pages visitées. Cela fait en moyenne un millier de pages par jour. Avec des pointes dépassant les 2000 pages quand j’ai posté les derniers chapitres de Lucie. Je suis étonnée qu’il soit possible avec un blog « pur texte » d’arriver à des telles chiffres.

 

Sacre Lucie qui est le moteur de ce blog et qui arrive toujours à bon nombre de clics par jour. Je ne puis malheureusement vous promettre une suite de Lucie dans l’immédiat. Il en est de même pour mes récits. L’envie et les idées ne me manquent pas. C’est mon temps qui se fait rare.

 

Entre ma famille et mon blog illustré dont je ne veux pas faire de la pub ici, je suis au max de mes capacités. J’espère retrouver des heures plus tranquilles vers la fin de l’année.

 

En attendant je lance à tout hasard un appel à mes lecteurs qui écrivent des textes. Je publie des récits, éventuellement aussi des témoignages. A certaines conditions. Notamment l’absence d’allusion à la fessée enfantine et l’absence de vulgarité.

 

Pour m’écrire : isabellesrt@yahoo.fr

 

Pour ma part avant que je me remette dans le bain, j’ai contacté quelques  auteurs dont les récits me plaisent.

 

Je remercie tous ceux qui viennent sur mon blog pour lire mes romans et histoires, ainsi que mes amis du net qui m’autorisent une publication de leurs œuvres ici.

 

isabelle

 

Par isabelle183 - Publié dans : Editorial
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Mercredi 16 septembre 3 16 /09 /Sep 22:28

Début de l’histoire

 

Quelques jours plus tard, Sylvie m’avoua que si la fessée jupe retroussée et culotte baissée était humiliante, elle était beaucoup moins douloureuse et cuisante que jupe retroussée par-dessus les collants ; elle m’expliqua sa thèse car elle avait constaté qu’avec les collants, même si les fesses sous l’intensité de la fessée essayaient de se détendre et de se ramollir car au fur et à mesure des claques, de la douleur et du plaisir, le derrière se décontractait et la « punie » n’arrivait plus à le contrôler et le contracter, il restait ferme sous le nylon des collants, mais de plus en plus douloureux et la fessée devenait plus une correction qu’une fessée !!!

 

Pendant les années qui suivirent quand je voulais m’amuser, je la troussais et la déculottais ; rapidement Sylvie abandonna dans ses moments, ses après-midi punitifs, les collants pour adopter des bas, les bas permettant un déculottage plus rapide et efficace pour mieux battre des jambes !!!  mais quand je voulais vraiment la punir, je ne baissais pas ses collants et malgré ses suppliques, je la fessais ainsi jupe retroussée par-dessus les collants !!!

 

Une fois, je dus la fesser sérieusement, une véritable bonne fessée, celle qui compte dans la vie d’une jeune épouse capricieuse et étourdie et lui met du plomb dans la tête, lui fixe une bonne fois pour toutes les limites à ne pas dépasser. Sylvie avait tout simplement fait ce jour là un chèque sans provision et prétendit qu’elle ne s’en était pas aperçue et comme de toute façon j’étais présent au moment de la signature du chèque, je n’avais à ses dires rien fait pour l’en empêcher ; non seulement elle mentait et en plus me faisait porter le chapeau ; cela en était trop et il était grand temps qu’elle sache et découvre à presque 30 ans ce qu’était une vraie bonne fessée et pas une fessée érotique, une vraie bonne fessée qui lui rougirait le fessier entièrement, lui enflammerait au point que le moindre contact du tissu de sa culotte et de sa jupe lui rappelle par une brûlure longue et pénétrante ;

 

J’avais découvert l’histoire du chèque un vendredi soir et lui affirma qu’avant la fin du week-end, elle allait regretter ses caprices, ses étourderies et surtout d’avoir une bonne paire de fesses rondes !!!

 

La matinée et l’après-midi se déroulèrent normalement, mais plus le temps passait plus Sylvie paraissait à la fois nerveuse et inquiète ; en début de soirée, elle me demanda de conclure, de ne point pouvoir attendre jusqu’au dimanche soir ; j’acceptais et lui précisait quelques détails ; je lui ordonnais d’aller se changer dans notre chambre et d’en revenir vêtue d’une ravissante robe noire qu’elle portait lors de soirée, sous laquelle elle ne porterait qu’un collant clair, chair, gris ou blanc de son choix et aucune culotte sous ce collant ce qui me permettrait de bien la fesser et de contrôler l’évolution des rougeurs et sachant qu’elle n’appréciait pas du tout d’être fessée par-dessus des collants, ce type de fessée étant encore plus claquant et cuisant qu’une bonne fessée « cul nu » !!! elle avait dix minutes pour se préparer et me rejoindre au salon ; passé ce délais, je viendrais la chercher si elle ne venait pas et je quittais la chambre ;

 

Je m’installais dans le salon, assis au milieu du canapé où j’avais décidé de m’installer pour la fesser car la fessée devant être longue, autant profiter de bonnes conditions de confort, autant pour elle que pour moi ; au bout de moins de dix minutes, Sylvie me rejoignait dans le salon, vêtue de la robe noire lui descendant sous les genoux, les jambes gainées d’un collant nylon gris clair, sans chaussures, en pied de collants … se dirigea vers la fenêtre pour en tirer les doubles rideaux … alluma une lampe d’ambiance et retourna vers la porte où sagement, les mains croisées dans le dos elle attendit « sagement » !!! je lui demandais de s’approcher du canapé, de retrousser sa robe jusqu’à la taille avant de s’allonger en travers de mes genoux … elle s’approcha … s’agenouilla sur le bord du canapé, sur mon côté droit … saisit le bas de sa robe à deux mains pour la retrousser le long de ses cuisses, jusqu’au dessus des hanches … avant de se pencher et de se coucher sur mes genoux … je remarquais qu’elle avait même eu le goût d’enfiler un collant sans démarcation … je lui enserrais la taille … je vis ses fesses se contracter … se serrer sous le collant … sans perdre de temps commençais à la fesser … intensément … longuement … sérieusement … sans faiblir … de longues minutes … sans perdre de vue la paire de fesses que j’avais sous les yeux, changeant de couleur sous les claques … passant du chair clair au rose clair … où ma main s’imprégnait de ses cinq doigts au fur et à mesure … puis du rose au rouge … puis du rouge clair au rouge foncé …observant mon « ouvrage » … plus le temps passait, plus les fesses tressautaient sous les claques … Sylvie avait le visage plongé dans les coussins et tenait des deux mains l’accoudoir du canapé … les claques continuaient à tomber, à crépiter… pas un cri … pas un mot … pas un battement de jambes … je ne mesurais pas le temps, ni le comptais … quand la paume de ma main devint brulante et douloureuse, je décidais de m’arrêter, aussi brusquement que j’avais commencé … Sylvie se releva … les yeux embués de larmes … se releva et quitta le salon, se frottant le derrière des deux mains par-dessus la robe… retourna dans la chambre d’où elle revint quelques minutes plus tard et remontant sa robe sur ses hanches, me tendit ses fesses écarlates et brûlantes même à travers le collant, car pour m’en assurer je posais la paume d’une main sur une fesse et à travers le collant fus surpris du rayonnement de chaleur … elle m’annonça qu’elle se vengerait …

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Mardi 15 septembre 2 15 /09 /Sep 13:07

Début de l’histoire 

Ce fut ma première expérience de fesseur que quelques années plus tard, je renouvelais de bon cœur sur le derrière de celle avec qui je sortais ; Sylvie avait le chique elle aussi pour me « pousser à bout » et changer de conversation lorsqu’elle sentait la tension montait … de même, au téléphone, elle prenait malin plaisir à me raccrocher au nez … jusqu’au jour où elle ne vit pas arriver sur son derrière la fessée secrète que je conspirais !!! provocatrice, elle annonça que je l’aimais trop pour la fesser et qu’elle avait largement dépassé l’âge (24 ans à l’époque) et je lui annonçais que c’était ce qu’elle allait voir ou plutôt sentir ;

 

je joignais le geste à la parole, la saisissant par un bras, je l’entraînais vers une chaise où après m’y être assis tout en la maintenant d’un bras, je la saisissais par la taille et à sa grande surprise la renversais à plat ventre en travers mes cuisses, tête et jambes en bas des deux côtés, derrière bien en l’air au milieu, toujours sans lui laisser le temps de réagir, d’un geste rapide je lui retroussais sa jupe, assez étroite, avec difficulté au niveau des hanches, mais une fois son derrière bien en évidence, peu protégé par une ravissante culotte de marque Lou et couleur pastel, le tout confinait dans un collant couleur chair, la maintenant fermement à la taille, je la fessais longuement, tout en prenant mon temps entre chaque gifle d’une fesse à l’autre, tandis qu’elle me traitait de tout les noms entrecoupés de « aïe … ouille », battant des jambes, le derrière tressautant sous les claques, de plus en plus rapidement au rythme soutenu de la fessée, se faisant lui aussi de moins en moins ferme sous l’impact des gifles … quand Sylvie cessa de se débattre et s’affala sur mes cuisses tout en tendant ses fesses sous les gifles, je jugeais qu’il était temps d’arrêter la fessée et vu la chaleur de la paume de ma main, son derrière devait être brûlant … Sylvie se releva, malaxant ses fesses des deux mains tout en gardant sa jupe retroussée, les fesses écarlates à travers le collant, les joues pourpres et les yeux embués avant de s’enfuir vers la salle de bain pour se refaire une beauté et remettre de l’ordre dans sa toilette !!!

 

Par la suite, la fessée « conjugale » devint un jeu entre nous à la moindre faute, au moindre caprice et une fois par semaine Sylvie, après avoir fermé les volets ou rideaux de la pièce où nous nous trouvions,  se retrouvait sur mes genoux, jupe retroussée sur ses collants pour une bonne fessée ou pantalon baissé sur sa « petite culotte » !!!

 

Pourtant un été, nous nous disputâmes plus sérieusement et lorsque nous arrivâmes à l’appartement de ses parents, absents à ce moment là, heureusement pour moi et dommage pour elle ; je lui annonçais qu’il avait trop longtemps qu’elle n’avait pas reçu une bonne fessée (plusieurs semaines en fait) et les yeux dans les yeux elle affirma que mes fessées ne l’impressionnait pas du tout ; je lui annonçais que j’allais changer les règles de suite et avisant le canapé, m’y installa et lui ordonna de venir s’installer sur mes genoux, ce qu’elle fit sans discuter ; une fois en place, je lui retroussais sa robe d’été, mais cette fois passais ma main sous l’élastique de sa culotte et la déculottais généreusement jusqu’à mi-cuisses ; cette fois cela était sérieux, ma chère et tendre allait connaître la fessée jupe retroussée et déculottée, « cul nu » comme une salle gamine ;

 

 …une fois en position et en tenue, le derrière à l’air et bien exposé sous mes yeux, elle ne fit aucun geste pour se dérober et un seul commentaire, un « oh !!! », je ne sais s’il était d’étonnement, de honte ou de joie … et la fessée crépita dans la salle à manger, en cet été de juillet 1980, alors que les volets étaient fermés, mais la fenêtre ouverte, le tout au premier étage d’un immeuble donnant sur la rue principale ; les claques crépitaient encore plus vite et plus fort sur les fesses nues qui dès le début se contractèrent fermement pour au bout de longues minutes devenir moins fermes et tressauter dans tous les sens, battant toujours des jambes, mais la tête enfuie dans les coussins du canapé que Sylvie par orgueil féminin devait mordre à pleine dents pour contenir la douleur d’un derrière de plus en plus rouge et douloureux  !!! … car lorsqu’enfin je décidais de cesser la fessée, je vis le derrière qui jusqu’à présent rougissait, devenir écarlate et posant la main je le sentais brûlant !!!  Sylvie resta ainsi de longues minutes les fesses à l’air dans la chaleur et la moiteur de la pièce avant de se redresser, quitter le canapé les jambes entravées dans sa culotte tombée aux chevilles et se jetant à mes genoux, tâtant la « bosse » dans mon pantalon, m’annonça : « et bien, cela t’excite de fesser les grandes filles ! » 

 

A suivre

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Lundi 14 septembre 1 14 /09 /Sep 15:37

 

Début de l’histoire

…une fessée … et que si je voulais me venger, je n’avais qu’à la fesser comme une « sale gamine » … une fessée … la fessée … la seule expérience, la fessée pour Catherine … je trouvais cela à la fois amusant et un peu excitant, mais je lui avouais n’avoir jamais fessé personne, encore moins une personne de mon âge et de sexe opposé … tout naturellement avec un sourire de plus en plus coquin, elle m’avoua bien vouloir tester l’expérience avec elle, moi comme « maître » et elle comme « élève » … après tout pourquoi pas … et c’est ainsi qu’après avoir ouvert la porte du labo et écoutait qu’aucun bruit ne filtrait dans le bâtiment désert que nous seuls occupions, elle revint dans la pièce, verrouilla à nouveau la pièce derrière elle, mais cette fois elle était avec moi, elle éteint la lumière, prit une chaise qu’elle installa dans un coin de la pièce éloigné des fenêtres, m’invita à m’y asseoir et me donna ses recommandations, m’invitant à ne pas tenir compte de ses cris, menaces, suppliques, battements de jambes et ruades, mais que lorsqu’elle annoncerait qu’elle promettait de ne plus le faire et d’être désormais sage de fesser immédiatement la fessée ; en fait elle acceptait la punition, la réclamait même, mais en fixait les règles … pourquoi pas … j’acceptais ; alors elle s’installa à plat ventre en travers de mes genoux, se tenant des deux mains à une de mes jambes d’un côté et jambes fléchies, légèrement repliées de l’autre, sa jupe déjà courte, remontant assez haut sur ses cuisses, le derrière à portée de ma main …

 

…elle m’invita à la tenir par la taille de ma main restée libre, afin que ne glisse pas et ne tombe pas, mais aussi pour l’empêcher de se relever et de s’échapper et de mon autre main de lui claquer alternativement une fesse puis l’autre, aussi longtemps et fermement que je le souhaitais, jusqu’à ce qu’elle prononce les mots magiques, les mots « code » … après tout la tentation était trop forte, je cédais et la paume de ma main s’abattit rapidement sur le fond du kilt sur une fesse, puis l’autre, à plusieurs reprises … Catherine se mit à rire et me demanda si j’appelais cela une fessée car cela ne lui faisait pas de mal du tout … vexé, intimidé, je lui annonçais qu’elle serait beaucoup moins « fière » si j’avais l’audace, le courage de lui retrousser sa jupe jusqu’à la taille … elle ne me répondit qu’un seul mot : « chiche !!! » et j’osais … la paume de ma main quitta le fond de son kilt par-dessus lequel elle reposait sur sa fesse droite, glissait à mi-cuisses sur ses jambes gainées de nylon, remontait le long des cuisses et glissait sous la courte jupe jusqu’au bas de ses fesses et je remontais le tout jusqu’à sa taille, le tissus écossais rabattu sur son dos, puis redescendait jusqu’aux fesses que je frôlais et que je trouvais, à travers le nylon, fermes, chaudes et tremblantes ; malgré l’opacité du collant, je devinais une ravissante « petite culotte » blanche ;

 

Catherine coupa court et me demanda de la fesser fermement, régulièrement, en m’appliquant et je m’exécutais … le bruit que fit la première gifle sur le derrière tendu recouvert de nylon me surpris, puis le second sur l’autre fesse et je me pris au jeu tout en tenant fermement Catherine par la taille à lui claquer une fesse, puis l’autre, tandis qu’entre chaque gifle, je la voyais serrer les fesses tout en les tendant vers moi et poussant un petit cri à chaque fois que ma main s’abattait sur ses rondeurs que je me mis à fesser, en passer de l’une à l’autre, avec entrain et fermeté, tandis qu’à chaque impact elle se tendait comme un arc … au bout de longues minutes, Catherine lâcha le pied de la chaise auquel elle se tenait et chercha de ses deux mains à protéger ses fesses qui même si elles n’étaient ni trop larges, ni trop rondes, mais si fermes, elle ne parvint pas, les mains des filles et des femmes étant toujours trop petites pour protéger leurs fesses au cours d’une fessée … et  pour mieux la maintenir, je lui lâchais la taille, lui saisissais les deux poignets que je lui rabattais dans le dos et continuais à la fesser beaucoup plus rapidement et fermement …

 

…c’est ainsi que je m’aperçus que ses fesses, si fermes jusqu’à présents commençaient à devenir plus tendres, qu’elles ne se contractaient plus entre chaque claque et que devant le rythme soutenu de la fessée, d’une fesse à l’autre, sans arrêt, Catherine se débattait de plus en plus tout en battant énergiquement l’air de ses deux jambes, elle en perdit même un escarpin … cela faisait de longues minutes que je la fessais lorsque je l’entendis m’appeler et promettre d’être plus sage à l’avenir … je respectais … presque à regret la règle établie au départ … mais je cessais immédiatement … Catherine se détendit, pliée en travers de mes genoux et je relâchais ses poignets … elle en profita pour se masser à deux mains les fesses faisant des commentaires sur sa fessée et moi-même, affirmant qu’elle ne pensait pas jusqu’à maintenant qu’un garçon si « gentil, si poupon », pouvait avoir autant de poigne … et il est vrai que vu le spectacle qu’elle m’offrait toujours allongée en travers de mes genoux, spectacle que j’admirais dès la première minute de la fessée jupe retroussée, je constatais que malgré l’opacité du collant, ses fesses étaient bien rouge, même à travers le blanc de sa petite culotte !!!

 

Enfin Catherine se releva et rechaussant son escarpin, vint s’asseoir sur mes genoux et posa sa tête contre mon épaule comme pour se faire pardonner ;  il était tant d’aller dîner au réfectoire et pendant le repas, alors que nous étions face à face, je remarquais que lorsque Catherine bougeait sur le tabouret où elle était assise, elle grimaçait !!!

 

A suivre

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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