Lundi 30 novembre 1 30 /11 /Nov 10:35

Monsieur et Madame se font taquiner par leurs amis au titre de marathoniens du mariage. Monsieur a initié la fessée coquine, Madame s’y est pliée (!) gentiment  avant d’en devenir friande et d’initier des jeux qui rappellent les vôtres : des frous-frous à la mise garçonne, des confessions réchauffant aux pokers spéciaux en passant par la prolétarienne asservie ou triomphante.  Moins douée pour donner, Madame a su quand même construire d’audacieuses mises en scène, faisant la partie belle au coureur soumis à la question. De grandes occasions où Monsieur ne distinguait plus les feux de l’enfer des extases du paradis.

 

La DD est apparue un jour que Madame, de caractère explosif, poussait une gueulante enflammée suite à un désaccord insignifiant. Monsieur, pourtant coincé dans l’expression spontanée des sentiments, se fâche et dit sèchement « C’est inacceptable...tu serais un mec... ». Madame stop pile, dit « Attend » et sort. Trois minutes plus tard, elle l’appelle.  Monsieur la trouve nue sur le lit, deux oreillers sous le bassin, la strappe sur le derrière avec un post-it où se lit : « AU MÉRITE ». Touché au coeur et ailleurs Monsieur hésite un très court instant : la réconciliation usuelle ou une vraie fessée. Celle-ci l’emporte, mesurée, attentive, mais assez ferme pour un beau carmin, des cris, gémissements et quelques pleurs. Une première jouissive  et, miracle, il n’est pas transformé en tyran épais. Si la punie le traite de brute sadique c’est une fois lovée dans ses bras. 

 

Plus tard, bien relax et d’excellente humeur, ils conviennent que ça ne dois pas rester sans lendemain. Permission de Madame à ce que Monsieur initie, code d’acceptation, quelques motifs clairs : exercices « oubliés » et santé négligée, agression verbale sans mesure, picole exagérée, etc. Symétrique pour Monsieur pour des négligences du genre « je répare ça demain » et qui  traîne des mois, achats intempestifs genres 3 dindes, 6 gigots, 4 pulls parce que « ça me tentait ».  Mais ce qui irrite vraiment Madame ce sont ses implosions, ses transformations en zombie souriant sous le coup des rages rentrées et des difficultés, bref ses absences sans voyage. L’obsession du boulot n’est pas une excuse, il mérite cuisante rétribution. Mais comment faire sans jérémiades répétitives?

 

Madame, inspirée par des fesses encore très chaudes, trouve la solution. Un bel ensemble de poupées russes trône sur la cheminée : une posée à part, c’est l’avertissement; deux c’est la fessée imminente; trois et ça y est. Si, en raisons des contraintes de la vie, elle doit remettre ça et aller jusqu’à la plus petite poupée : une raclée de haut vol.

 

Et tout ça marche! Ajustements faits en route, c’est plus gai et plus souriant qu’auparavant : les fâcheries et les  palabres/discussions sont plus courtes, les réconciliations traditionnelles plus ardentes, le travail des deux plus efficace.

 

Monsieur ne croyait guère au « bilatéral ». Juste pour voir, il laisse filer les poupées russes jusqu’à la dernière. Il trouve plaisir à entretenir une crainte délicieuse mais toute petite : Madame a toujours été impressionnée par le rougissement rapide de sa peau de blond, elle s’arrêtera donc bien vite. Et c’est quoi au juste une « raclée de haut vol »?

 

Trop costaud pour que Madame le maîtrise, elle le courbe sur le dos du fauteuil et utilise 4 de ses cravates pour assurer un maintien de la bonne posture. Et annonce la couleur : « un short rouge pompier sans tache ». Le martinet appliquée des deux côtés, puis la strappe pour combler les vides, un peu de la brosse « à cris » pour le contraste,  le tout fini main pour effacer le blanc qui reste. Et sans se presser. L’interdiction faite aux mâles empêche Monsieur de verser les larmes qui se pressent, non ses cris et suppliques. Le reste de l’univers disparaît, il est certain que son derrière va éclater comme une tomate dans l’eau bouillante. Madame fesse en DDB avec une ardeur appliquée que ses hésitations en mode coquin n’aurait jamais laissé soupçonner. Le « puni », y trouve une réduction de sa tension intérieure qu’il croyait hors de portée. Joyeuse découverte même si le remède est brûlant et commande une utilisation modérée!

 


 

Madame néglige ses nécessaires exercices, rappel léger de Monsieur, front buté de Madame; quelques heures plus tard Madame, défiante, qui dit « 3 jours que je les néglige, et alors? » Comme si elle ne le savait plus : la main, la strappe et un léger rappel à la canne pour prévenir la récidive, le tout en exécution immédiate mais assez lentement pour que ses fesses trépignent bien à loisir. Les exercices semblent plus faciles les jours suivants.

 

Ou encore, éruption qui commence --- soutenue par trop de Pouilly --- avec des amis; lors d’un bref moment d’accalmie, Monsieur lui glisse à l’oreille « tout doux, de l’eau ou tu risques une vraie manuelle ». Réponse : un sourire éclatant, un petit bécot, sa main qui se caresse une fesse et .... le verre vidé d’un trait, le geyser qui entre en éruption. Ce sont de bons amis qui la connaissent bien... pas de dommages durables mais la fessée préférée de Monsieur prend place dès le retour, assez énergiquement pour traverser les vapeurs d’alcool.

 

« Me prendre une bonne fessée pour un retard à rentrer à la maison » : ce fantasme tourne et tourne dans la tête de Monsieur, un spécialiste de la dernière minute. Vous avez brillamment trouvé des codes clairs à ce sujet, nous pas encore. Après travail des méninges, Monsieur part en disant « Je fais l’impossible pour renter pile à l’heure puisque tu fais un rôti de biche » Madame reste perplexe devant cet étrange message : « Pas de problème, j’ai un texte à finir, disons 20.30h sans faute ». Depuis 19.30h il traîne devant une bière, à 20.10h il prévient « J’ai oublié l’heure ... je serai là dans une heure ». Exclamations furibardes, puis avec un sourire dans la voix, « pas d’excès de vitesse, je te veux entier ». A l’arrivée, sourire carnassier et droit au but « On mange, on digère un peu et je t’apprête les fesses avec autant de soin que mon rôti ».  Ce qui fut fait, avec une bande son digne d’un grand Chef : « Saisir à la tawse, mijoter à la pantoufle, assaisonner à la canne, battre solidement à la main pour lier le tout ... et pour le prochain bon dîner en péril, doubler la dose ». Monsieur remise le fantasme .... jusqu’à?

 

Cette DDB reste confidentielle. Monsieur en est convaincu jusqu’à la semaine dernière. Ils dînent en bande chez Marie et Gérard. Monsieur reluque les abondantes rondeurs de Marie depuis des lustres, discrètement croit-il. Bonne humeur, excellents vins et il offre un coup de main à Marie pour débarrasser avant les digestifs. A la cuisine, elle se glisse dans ses bras et l’embrasse langoureusement, ses mains à lui démarrent instantanément et, comme au temps lointain de l’adolescence, c’est un pelotage en règle. Madame entre et s’exclame, Marie et Monsieur rougissent et balbutient. Glissons mortels, la soirée se termine avec grâce.

 

« Quelle immaturité, j’ai l’air de quoi que tu tripotes ma meilleure amie? Tu as joué avec ça quand je te fessais pour le plaisir; ce soir tu vas en prendre une sérieuse. Donne-moi ta ceinture, enlève le reste et sur le bras du canapé. Et vite! » Il est surpris : quelque chose cloche. Elle est furieuse --- trop --- mais il n’utilise pas leur règle du « on se calme d’abord » et il s’exécute, appelant l’ironie à la rescousse : « première fois avec MA ceinture, la diversité y que ça ... bon la jalousie c’est peut-être utile... ».

 

Madame peint avec soin, bande rouge par bande rouge, ça cingle drôlement, il hurle un peu. Pourtant Madame passe plutôt vite à la main, ce qu’il adore en d’autres circonstances. Et la diatribe d’accompagnement sur le mâle avec un pénis à la place de la cervelle n’est pas très convaincante, surtout lorsqu’elle s’esclaffe. Elle le relève, l’embrasse. La consolation déjà, pas dans les moeurs? Entre deux éclats de rire, elle ne fait que répéter « Mon pauvre chéri ».  Monsieur sait qu’il a été roulé dans la farine ... et plus! Mais laquelle?

 

« Chéri, je te raconte une histoire en te consolant, tu ne bouges pas. Marie connaît notre DDB, elle vit en DD avec Gérard. Pas tout de suite les fantasmes, je sais que tu meurs d’envie de lui rougir son gros derrière! Hier elle me dit : « Comment vont tes fesses? Les miennes sont froides, Gérard devient trop indulgent. » « Tu n’as qu’à demander! » « Difficile à faire comme tu sais pour une vraie bonne fessée. Et au fond c’est ce que je veux quitte à le regretter quand je devrai faire gaffe à comment je m’assoit. » « C’est l’inverse pour moi, j’ai une furieuse envie de flanquer une rouste à Monsieur mais pas de vraie raison ».

 

« Tu devines la suite, mon chéri....  Elle a même parié que tu lui sauterais dessus en 60 secondes ou moins, je lui dois 50€. Et en ce moment même, elle crie et pleure sous le martinet et c’est loin d’être fini, Gérard déguste lentement à la main en fin de parcours! Ça te fait de l’effet, adorable pervers, grand naïf! » 

 

« Qui a proposé le piège? »

 

« Ça très cher, je ne le dirai pas! Je ne gaspille pas un si beau matériau pour tes rêves! »

 

Effectivement, dans les brefs instants qui restent à son cerveau opérationnel, il jongle avec des dilemmes : corrections simultanées aux deux coupables ou une après l’autre ou récompenses chaudes offertes aux deux ou ........  

 

Avec l'aimable autorisation de Frank: lacfr666@yahoo.com

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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