Jeudi 21 octobre 4 21 /10 /Oct 22:39

 Nous n’étions mariés que depuis deux mois Sylvie et moi quand nous fûmes invités au mariage de deux de nos meilleurs amis, Marc et Christiane. Sylvie avait prévu et promis depuis de nombreuses semaines d’acheter les fleurs, si bien que le samedi matin du mariage, je pensais que nous n’avions plus qu’à les récupérer et rejoindre les futurs mariés à la mairie. Absent toute la semaine par mon travail, j’arrivais à notre appartement où Sylvie m’attendait déjà habillée pour la cérémonie d’un tailleur gris, les jambes gainées de nylon du même ton, chaussée d’escarpins.

 

Pendant qu’à mon tour, une fois douché et rasé, je me préparais, Sylvie devint grognon, se mit à trépigner, m’incitant à me dépêcher et finit par m’avouer qu’elle ne s’était pas occupée des fleurs. Finissant de me préparer, j’entendais Sylvie continuer à tempêter, jusqu’à ce que je l’entende m’accuser d’avoir négligé d’acheter les fleurs. Je sortis de la salle de bain et une fois dans le salon, j’y trouvais Sylvie trépignant des deux pieds sur la moquette, colérant comme une gamine capricieuse.

 

Sans lui laisser le temps de trop réfléchir, je lui pris la main pour l’entraîner vers notre chambre, et m’asseyant sur le bord de notre lit, sans hésitation je la renversais allongée en travers de mes genoux, bien qu’elle ne se laissait pas faire car devinant ce qui allait lui arriver, du moins à ses fesses, se trémoussant dans tous les sens, ruant des jambes, cherchant même à me pincer ; une fois que j’eus fini de lui saisir les deux poignets, je les lui rabattais dans le dos et pouvais enfin retrousser généreusement la jupe du tailleur, une fois le galbe de ses rondes franchi, rabattant le tissu froissé sur sa taille, découvrant dessous une paire de bas gris du plus bel effet, assortis, pour une fois, à la culotte et au porte-jarretelles qu’elle portait ; sans perdre de temps, de ma main libre, saisissant l’élastique de sa ravissante petite culotte gris perlé, je la lui rabattais jusqu’à mi-cuisses, posais ma main droite sur l’une de ses fesses comme pour en prendre la mesure … instinctivement, Sylvie serra fortement les fesses, les crispa, les durcissant comme du marbre, pressentant la bonne fessée qu’elle avait cherchée et qu’elle allait recevoir !!!

 

« Ma chérie, depuis que nous sommes ensemble, c’est à croire que toutes les fessées reçues jusqu’à présent ne t’ont pas servi de leçons … aussi je vais te fesser encore une fois et crois-moi, tu vas regretter d’avoir une bonne paire de fesses potelées !!! »

 

Je levais la main et la fessée crépita dans la chambre, arrachant des cris de rage et de douleur à ma chère jeune épouse, serrant du plus fort qu’elle pouvait ses fesses rondes qui tressautaient sous les gifles, alternant d’une fesse à l’autre, variant aussi parfois en une série rapide sur une fesse, puis sur l’autre, reprenant ensuite alternativement d’une fesse à l’autre. Sylvie criait, suppliait, menaçait, tout en battant des jambes ; les yeux fixés sur les globes fessiers qui tressautaient sous les claques, je ne perdais rien du spectacle offert par Sylvie et si je ne voyais que ses fesses passer du rose au rouge, jusqu’à prendre la couleur de tomates bien mûres, je suis sûr qu’il grimaçait, serrant à la fois les dents et les fesses, retenant par fierté ses larmes de douleur et de rage, mordant à pleine bouche l’oreiller dans lequel elle avait enfui son visage.

 

Enfin après de longues minutes rythmées par le battant de la paume de ma main, mais aussi plusieurs dizaines de paires de claques sur le fessier dénudé de ma chère épouse, vu la couleur, mais aussi la chaleur de ses fesses, je décidais de m’arrêter car il fallait quand même aller chercher des fleurs. Relâchant mon étreinte, Sylvie se releva, fesses et joues écarlates, des larmes au fond des yeux et disparut dans la salle de bain, pour y remettre de l’ordre dans sa tenue. Finissant de me préparer en nouant ma cravate, je retrouvais Sylvie dans le salon, repassant en chemisier, bas et escarpins, la jupe de son tailleur, les fesses écarlates, tranchant sur le gris de ses dessous et de ses bas.

 

Nous trouvâmes des fleurs et le mariage eut lieu, ainsi que les photos des mariés avec nous. Quelques années plus tard, en soirée, nos amis nous projetèrent les photos du mariage et nous apparaissions tous deux sur l’une d’entre elles, Sylvie me tenant par l’épaule, ma main lui enserrant la taille et les hanches. Durant cette projection, elle se pencha à mon oreille et me murmura :

 

 « Tu te souviens de la fessée que tu m’as donnée ce matin là ? Mes fesses en frémissent encore !!! 

 

Contacter l’auteur

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés