Récits de fessée par mes amis du net

Mardi 21 avril 2 21 /04 /Avr 11:16

"Apprête toi!"

"Maintenant?"

"Oui. Maintenant."

Il l'interrompt alors qu'elle taille ses rosiers. Elle a le sécateur à la main, un petit tablier blanc sur le devant et ses bottes aux pieds. Sans un mot, elle va ranger son outil et enlève sa tenue de jardinière. Puis elle se dirige vers la maison. Au passage, elle attrape l'épingle à linge, dont il aura besoin. Elle ne presse pas le pas. "C'est toujours pareil. Je mets toujours un moment pour réaliser." Souvent, il la prévient à l'avance; là, pas. Elle monte à la salle de bains, se dévêt, se douche, lave ses cheveux bruns, sort, se sèche, se maquille un peu, se parfume. Les volutes parfumées l'envahissent, comme l'envahit un mélange d'appréhension, de désir et de stress.

Dans la commode de sa chambre, elle sort un slip et un soutien-gorge blancs, qu'elle enfile. Elle passe par dessus une vieille chemise de nuit en lin, longue et rêche, qui lui tombe à mi-cuisses. Dans un tiroir, elle prend la grosse ceinture en cuir de son mari, une cravache, une brosse à cheveux en bois au dos plat et une canne anglaise.

Elle regagne le salon, dont les rideaux tirés par le soin de son époux tamisent la lumière.

"De quoi auras-tu besoin?" s'enquiert-elle.

"La canne, juste", répond-il.

Sylvie, c'est son prénom, lui tend la baquette et l'épingle à linge. Pose le reste de l'attirail sur la table. Se dirige vers une chaise, la pose au milieu de la pièce. Elle lève le bas de sa chemise et baisse son slip blanc, à mi-cuisses. "J'ai 36 ans, se dit-elle, et je vais souffrir comme une écolière anglaise il y a un demi-siècle." Elle contourne la chaise, passe par derrière, se plie par dessus, le ventre contre le dossier, plaque ses mains sur le siège, se cale bien. Elle écarte ses jambes, du mieux qu'elle peut. Marc, son mari, s'approche d'elle, relève le bas du vêtement et le rabat jusqu'au col, où il l'attache avec l'épingle à linge. Ses fesses apparaissent. Frissonnent imperceptiblement. Il les admire. Se place à côté de sa femme. Il lui passe le bras gauche autour de sa taille, la maintient solidement. De sa main droite, il lui balance deux lourdes claques, une sur chaque fesse. S'interrompt, puis la claque encore.

Pas longtemps. Il ne veut pas trop chauffer ces fesses, pour ne pas amoindrir leur sensibilité.
Il s'éloigne un peu, se place parallèlement au corps de sa femme, la canne dans sa main droite. Sa femme se redresse bien sur ses jambes, se cale bien, dandine un peu son fessier. Il la laisse achever son mouvement. Elle le sait. Dès qu'elle se sera immobilisée, dans le dixième de seconde, le premier coup va la cingler. "Tchac!" "Ahhh"! Elle n'a pas s'empêcher de pousser un cri, presque un hurlement. Le silence retombe. Il la laisse se reprendre. Ses fesses ondulent encore un peu. Elle ferme les yeux, pense à respirer à fond, comme il le lui a appris. Il aime la voir appliquée, comme ça. Il la regarde emplir ses poumons, les vider. Quand elle aura achevé son mouvement respiratoire, il la cinglera à nouveau, comme pour l'accompagner, comme s'il voulait l'aider à emplir ses poumons plus vite et plus fort. "Tchac!" Il fouette le travers des fesses, sans retenue; un deuxième trait rejoint le premier. Elle sursaute, crispe ses mains sur le dossier, trépigne.

"Décontracte-toi!" dit-il.

Les doigts se décrispent sur la paille du siège. Satisfait, il la cingle pour la troisième fois. Les doigts se crispent à nouveau, se décrispent. Elle tourne la tête vers lui, le regarde ajuster à nouveau son coup, tourne la tête avant de le recevoir, pour ne pas mélanger toutes les sensations, avec en plus la vue. L'ouie et l'épiderme suffisent. Au 8ème coup, ses larmes coulent. Plus que quatre, se dit-elle. La douleur l'emplit, mais le plaisir s'en mêle.
Au 12ème coup, elle se redresse, envoie par dessus tête la chemise de grand-mère, balader le slip et le soutien-gorge. Son mari s'est dénudé aussi. Il la renverse autant qu'elle se renverse sur le canapé. Ils font l'amour sans retenue. Se donnent à fond l'un à l'autre. Les rosiers attendront.

 

Avec l’aimable autorisation de l’auteur

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Samedi 18 avril 6 18 /04 /Avr 12:32

Suite de: Dessous Noirs. Pour Cuir Noir 4


A Isabelle.

 

 

5. Où Watson subit les caprices et les desseins de Noémie.

 

Alors Watson subit. Subit l’envie, subit le choix de Noémie, se gardant bien d’aviser son « le grand homme» de la représentation qui va suivre, s’arrangeant la plupart du temps en guise de consentement de marmonner, il t’en cuira davantage Noémie.

 

Autant Noémie est calme lorsque elle se soumet à Sherlock, autant elle est agitée sur les genoux de Watson.

 

- Tu vas compter en français Noémie et jusqu’à 33 évidemment, nombre hypocratique par excellence. Tel est l’ordre rituel du bon docteur Watson alors que déjà avant même de commencer les jambes de la flagellée battent l’air avec vigueur telle Sainte Roselyn amenée à plat ventre sur une planche pour battue aux yeux de tous. Vous avez déjà vu ses apparitions!

 

Mais Noémie ne sait compter que jusqu’à trois dans la langue de froggies. Aussi invariablement après trois, en revient-elle à un. On avancera jamais, se plaint le bourreau du cœur de l’action!

-Watson au début fesse toujours à la main, ce qui bien entendu déplait fortement à Sherlock, mais pas à Noémie.

Cette fessée là est une toute autre histoire que celle de Sherlock. Watson fait semblant de la croire éducative, alors qu’elle est « préliminaire » par la sensuelle Noémie.

 

Rapidement Watson ne peut s’empêcher de tâter la culotte de sa victime, de tirer dessus pour dégager les globes avantageusement présentés à ses claques.

 

Il joue à rendre les gifles le plus sonore possible et à creuser les paumes à effet d’emprisonner l’air pour qu’il sonne, comme les sacs en papier explosés par les gamins. C’est un parfait percussionniste que nous avons là. Plus le creux des paumes est prononcé, plus fort est le son. C’est tout un art lyrique qui se joue là. Et Noémie chante sa complainte. Oh Ah Ah Oh. Oui. Euh Non !

 

C’est la culotte tirbouchonnée,  tirallée entre les fesses, au rythme irrégulier de l’humeur du Docteur, qui commence à émoustiller sérieusement celle qui sous les battements, peine à dissimuler sa satisfaction en simulant la douleur.

 

Soudain tout à fait prestement Watson, qui a quelque peu fait durer le plaisir, débarrasse Noémie de sa culotte déjà humide et la fourre dans sa poche. La séance est loin d’être terminée. Mais il lui faut reprendre son souffle. C’est l’entracte avant le changement de décors et d’accessoire. Et voilà le tableau suivant …

 

Watson s’empare de l’instrument posé négligemment au sol par Noémie

L’art et la maîtrise de Watson à manier le martinet du jour, il le tient certainement du tennis où malgré ses rondeurs, il excelle.

On vante depuis longtemps son parfait « touché de balle ».

 

C’est avec un œil exercé que Watson vise la cible. Ensuite il ne reste lui plus qu’à évaluer la hauteur de la zone à atteindre souhaitée et de plier légèrement les genoux.

Et un beau coup droit en perspective.

Parfaitement à horizontale la large et courte lanière gravée s’abat. 

Bien enroulée autour des fesses, c’est un revers lifté.

 

Avec concentration et changement de rythme : et hop au raz du postérieur, et hop tout en haut des cuisses, et hop plus fort, faire cambrer la punie lorsque son dos ploie trop, et hop au bas des reins, et hop à la naissance du sillon, et hop un coup inattendu sur le mollets.
Enfin un bel amorti près du creux des genoux.

 

Mais toujours pour en revenir comme on dit « aux fondamentaux », sur les hémisphères offerts et bien horizontalement.

 

Ooooh, Monsieur … n’a pu s’empêcher Noémie. Ce chuchotement, cette plainte, cette complainte, finalement cette requête ravive l’ardeur de Watson.

 

Et hop, bien appuyé celui là, et hop un revers sclicé.

Les fesses s’agitent, se cabrent, se mettent à ruer en tout sens.

Pitié Pitié … Monsieur ! s’écrit Noémie. Mais tel n’est pas là la règle du jeu.

Encore un effort !

Et la partie reprend de plus belle. A droite. A gauche. Au centre. Le jambes s’ouvrent et se referment. De haut en bas. Les fesses se tendent, veulent s’ouvrir. De bas en haut, pour calmer les ardeurs.

 

Elle halète notre Noémie, elle cuit, elle luit, elle rit aussi dans sa tête, pressée qu’elle est de rejoindre son coquin qui ne comprend rien mais sait finir.

 

- Et puis tiens Noémie, l’occasion est trop belle, un smash appuyé en guise de point d’orgue. Cette balle de match appuyée de Watson éveille enfin la bonne imploration attendue.

 

 

Et Noémie s’enfuit en laissant le pauvre Watson plus qu’essoufflé, apoplectique !

 

A suivre...

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Samedi 28 mars 6 28 /03 /Mars 13:22

Dessous Noirs. Pour Cuir Noir.


 (Récit d'une histoire authentiquement vraie)


                                                                                  Par Docteur Watson


Suite de: Dessous Noirs. Pour Cuir Noir 3


A Isabelle.

 

 

4. Où Sherlock Holmes se lamente en évoquant Watson.

 

Sherlock vous dira que la manière de Watson est vulgaire.

 

Qu’elle n’est point éducative.

Qu’elle est tendancieuse voire suspicieuse. 

Beaucoup trop tournée vers la « chair ».

Que cette manière là, elle ne lui convient pas et ne conviendrait pas davantage à l’assemblée de ses condisciples dans les salons.

Qu’aucune des dames de ses nobles collègues, détectives, avocats ou magistrats, des notables, des gens comme il faut, ne consentiraient à l’outrage que Watson fait aux principes.

A l’offense qu’il fait subir à Noémie, aux prix de moultes prétextes fallacieux pour la fesser. Le Docteur décidément ne pratique pas dans l’orthodoxie, et il faut l’en blâmer.

 

Au contraire de Sherlock, Watson a ses habitudes avec Noémie.

Habitudes qui ne semblent pas vraiment déplaire à sa jeune partenaire.

Habitudes qui manifestement font de l’effet à cette jeune personne.

 

Qu’à peine le théâtre de la punition achevée, (mais s’agit-il réellement d’une punition) elle s’éclipse si promptement que lui le détective à qui rien n’échappe la soupçonne de libertinage?

La soupçonne ? Non ! En est convaincu !

Qu’à peine la séance achevée, elle se précipite rejoindre un quelconque galant pour ce qui doit bien être une sorte d’achèvement ou même d’apothéose.

 

Car la manière de Watson est emplie d’une tout autre émotion.

 

Autant celle de Sherlock, froide dans sa finalité.

Emplie Noémie d’une vague de reconnaissance qui force son respect et son admiration.

Autant celle de Watson la conduit à des émois qui loin de la calmer, la pousse vers un épilogue que le bon Docteur, qui à l’évidence n’est pas dupe, jalouse férocement.

 

Tout le ravit quand il flagelle d’un beau martinet français de préférence. (Il n’y a que ces gens là pour inventer une telle merveille). Tout le ravit, sauf cette manière qu’elle a de fuir sitôt la potion appliquée.

 

C’est avec trop de gaîté que Watson annonce :

 

- Tu vas être fessée, Noémie.

 Pour des broutilles. Pour des prétextes.

Car Noémie, savante en la matière, provoque dès que ça la démange.

-Ah ! pense Noémie, si son Colombin n’était pas si « gourdeau ».

 

 Il ne comprend rien l’empoté, il est beau, il est jeune, mais qu’il est vert et maladroit.

 

 Pour les préliminaires, Noémie ne s’y retrouve pas.

Une complicité pour s’échauffer voilà ce qu’il lui faut et seulement après, filer rejoindre le benêt au moment adéquat, qui finira la besogne.

Mais en attendant de trouver l’homme rêvé qui un jour saura la satisfaire en toute chose, elle a donc besoin au début d’un autre remède.

 

Et c’est le docteur, normal c’est son métier, qui dispose du savoir de l’ordonnance initiale. Celle qui la guérira de son besoin impérieux.

 

- C’est culottée que Watson aime commencer ses soins, et en travers des genoux parbleu !

Le choix de l’instrument lui échappe souvent.

C’est Noémie, cette sorcière, qui se présente avec l’objet de son choix, au fil de ses fantasmes gré de ses envies :

 

Martinet, court ou long, importé de France, cravache irlandaise à fine mèche ou anglaise moins souple et à l’embout plus trapu, fouet mexicain avec manche tape à l’œil en argent ciselé, verges de bouleau trempées, rapportées du sauna, que sais-je encore Isabelle, il y a toute sorte de joyaux propres à flageller.

 

Des doux et des sévères, des tendres et des rudes! Des plus douloureux, des plus excitants.

 

Et si Watson fait mine de se fâcher quand au choix de la badine ou des lanières tressées, Noémie lui répond candide : Mais c’est Monsieur Holmes qui détient la clé du confiturier, où ces bien vilaines choses sont serrées, dois-je la lui demander.

 

A suivre...

 

   

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Lundi 23 mars 1 23 /03 /Mars 15:37

Dessous Noirs. Pour Cuir Noir.


 (Récit d'une histoire authentiquement vraie)


                                                                                  Par Docteur Watson


Suite de: Dessous Noirs. Pour Cuir Noir 2


A Isabelle.

 

 

3. Où Sherlock Holmes punit Noémie.

                                                 

 

- Tu rêves Noémie. Je répète : tu es prête, Noémie.

 

Sa réponse ne se fait guère attendre.

- Oui,  Monsieur.

 

Quelques fois elle tenterait bien un :

- Si Monsieur veut bien me ménager, comme le fait le bon Docteur WATSON.

 

Cette demande irrite Sherlock au plus au point, surtout quand il vous en dira davantage sur la manière officie Watson.

(Même si vous avez un faible pour l’humanité de Watson, Isabelle, sur ce point précis je connais votre religion et ne doute pas que vous vous rallierez à mon point de vue).

 

Alors, la réponse du détective, tombe invariablement :

- Si tu préfères la grande Strape Noémie, tu peux aller tout de suite la chercher.

 

Une seule fois, par défi notre petite garce y est allée.

Le mot n’est pas péjoratif. C’est ainsi qu’on nomme à l’époque les amoureuses.

Elle y est allée prendre la grande Strape. Oh, une seule fois, je vous l’affirme. Et il lui en a cuit.

Mais c’est tout un récit que je vous conterai plus tard si vous le souhaitez.

 

- Merci Monsieur. La petite me conviendra fort bien.

 

- Soit Noémie, alors commençons immédiatement.


 

C’est donc fesses nues Noémie frémissante que la fessée commence.

 

Point de mise en scène de déculotage, opération menée depuis belle lurette par notre impénitente elle même. Aucune distraction.

 

Pas non plus le moindre frôlements suspect avec la Strape.

Rien de ce qui pourrait avoir l’ambiguïté d’une caresse.

Pas de progression dans l’intensité de la punition.

Une intensité invariablement identique, toujours la même manière de battre la lanière. Appuyée mais sans plus!

 

C’est la répétition qui fait la force d’un supplice maîtrisé.

Sherlock se fait un point fort de fesser avec la régularité d’un métronome, sur rythme lent qui lui sied bien et laisse entre chaque impact du temps pour la méditation.

 

Car l’art de la fessée « éducative voire domestique comme ici »  (car Noémie fait partie de la « domus »).

Et là : pas de fantaisie ! surtout pas comme cet épicurien de Watson, qui n’en maîtrise pas le savoir, se disperse, se laisse gagner par les sentiments bien qu’il s’en défende vigoureusement!

 

Et petit a petit, lentement, irrémédiablement, le beau postérieur pâle de Noémie s’encolorie. Il va petit à petit du pastel au ton franchement soutenu.

Il devient brûlant et cramoisi comme les joues d’une ingénue lorsque le rouge lui monte au front après une réflexion bien sentie.

 

Le détail, instant pas instant de la fessée de Noémie, seconde par seconde, selon un scénario invariable conçu par le Maître des lieux, cette partition si savamment chorégraphiée, comme l’art du théâtre, où les acteurs doivent, soir après soir, tenir une interprétation identique, Sherlock en a fait le récit.

 

Un récit dans lequel Noémie reste bien sûr anonyme. Un ouvrage de 177 pages. Presque achevé et que le détective va publier sur souscription. Un récit qu’il destine aux membres de son club.

Cent exemplaires sur Vélin d’Arche illustrés de douze eaux fortes.

 

 Noemie et Watson, chacun de leur côté l’ont naturellement lu en secret pendant que Sherlock voyageait.

La première avec délectation car elle s’en sait l’inspiratrice. Est fort reconnaissante envers l’auteur dont elle sait qu’il n’agit que pour le bienfait de son éducation.

Le second avec rage.

- Cet ouvrage j’en ferai un meilleur, rapportera WATSON dans ses mémoires à propos de la genèse de son livre.

 

C’est un Watson qui à cet époque l’envisage avec rage et jalousie. Jurant qu’il publiera à sa manière à lui. Un essai sur « L’art de la flagellation des Saintes ». Car toute Dame qui expose ses fesses au fouet est une Sainte en puissance. Un ouvrage de chair et de sang. Et scientifique s’il vous plait. Autrement plus populaire que celui de l’austère redingoté à la pipe. Bien plus à même de trouver un  public.

 

suivre )

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Samedi 14 mars 6 14 /03 /Mars 13:35

Dessous Noirs. Pour Cuir Noir.


 (Récit d'une histoire authentiquement vraie)


                                                                                  Par Docteur Watson


Suite de: Dessous Noirs. Pour Cuir Noir 1


A Isabelle.

 

2. Où Sherlock Holmes tient la Strape d’un Révérend.

 

Elle toise alors Sherlock avec un air hautain, l’air de dire « Vous perdez votre temps, ça ne me fera aucun effet »

Puis Noémie se dirige vers la petite armoire où sont rangés quelques uns des bons instruments traditionnels britannique que notre famille se transmet de génération en génération.

 

Pour tout vous dire, la petite Strape est un objet rare. Je la tiens d’un aïeul qui a voyagé en Amérique pendant la guerre de sécession.

Cette Strape lui même la tenait des Mormons.

 

De petite taille, elle a manifestement beaucoup servi pour la discipline domestique. Celle qu’un aïeul lointain, fermier de son état. Pasteur par sa foi. Soucieux de l’éducation de ses ouailles et de son épouse en particulier, il l’avait fait tanner.

 

Pour « tanner le cul » selon l’expression de l’époque.

 

Le saint homme avait exigé que sur la large lanière, tout près de la poignée, soit pyrogravée cette expression triviale assortie de la devise : « Pour la rédemption de Jane, son époux Malcom, qui révére le Seigneur».

 

Qu’elle est belle notre Strape. Lustrée à souhait ! Et si polie en son extrémité que toute son histoire s’y reflète.

Miroir, miroir … si tu pouvais ...!

 

Il ne fait pas de doute que l’objet a longtemps trempée dans l’eau bénite. Pour mieux la culotter, sans doute. C’est évidemment tout le contraire qu’il eut fallu opérer avec une pipe.

Déjà une pipe, trop d’humidité lui nuit. Alors l’eau, vous pensez bien!

 

Et c’est pour avoir lavé la pipe à grande eau que la peau de velours de Noémie va subir les assauts du cuir luisant.

 

Lorsque Noémie revient, instrument en main, elle le pose au sol et sait qu’elle doit le contempler aussi longtemps que n’interviendra pas un signe de ma part. Plus la contemplation est longue, plus longue à venir sera l’absolution.

 

Au signal la pénitente se saisit de l’instrument ce qui déjà lui empourpre les joues.

 

(Mais quand je pense à la manière de Watson. Qui lui demande avant toute chose de baiser longuement l’instrument, je le plains. Nous n’avons pas la même conception des usages. Il est particulièrement choquant que Noemie, puisse ainsi humer l’odeur fauve de ce cuir toujours vivant avec le risque de la voir s’éveiller à d’autres sentiments.

Il en est qui s’émeuve à la simple contemplation de l’instrument, n’est-ce pas, alors à l’odeur, c’est bien plus risqué Isabelle.

 

C’est ainsi qu’il faut procéder.

Noémie doit ensuite se dévêtir. Elle-même. Entièrement jusqu’à la taille. Je lui fais grâce d’ôter ses bottines.

 

Il est hors de question qu’un Gentleman puisse avoir le moindre contact physique avec sa femme de chambre. Elle est somptueuse. Il nous faut l’ignorer !

 

Elle doit plier soigneusement ses affaires puis, les jambes serrées, le corps légèrement penché en avant, prendre appui sur le guéridon qui servira à son supplice. Ceci aussi longtemps qu’il faudra à l’officiant pour tenter de sauver la pipe litigieuse en la séchant avec une extrême minutie à l’aide d’une peau de chamois.

 

C’est alors une longue attente immobile et muette pour Noémie. Au cours de cette attente il arrive parfois que les muscles de ses cuisses tressaillent. Comme ceux des purs sangs anglo-arabes lorsqu’ils sont nerveux avant la course.`

 

- Tu es prête Noémie, marque la fin du temps de la méditation.

 

Le commencement de l’action. De l’air pourfendue. De la Strape sur le point de chanter. C’est bien une Tramontagne qui s’annonce !

 

suivre )

 


Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Jeudi 12 mars 4 12 /03 /Mars 22:59

Suite de : Neige (feuilleton fessée dans un chalet de montagne ; par Pcvert) 9

 

 

Bertrand prend Isabelle sur ses genoux. Il fait sauter le porte-jarretelles. Il se veut aussi plus doux, et se propose de fesser de la main gauche.

 

- Je suis pas gaucher, tu vois, je fais un effort!

 

Mais la main gauche reste une main de bûcheron. Il est cependant attentif à mieux espacer les claques. Puis il s'empare de la lanière. Isabelle se met à trembler. Elle sait qu'elle ne doit pas réagir comme ça. Mathias serait vexé de le savoir. Bertrand, tout sourire, s'adresse pourtant à Carole.

 

- Dis moi, si je lui fais goûter du cuir comme ça, ça compte aussi pour ce que tu as dit ?

 

Il laisse la lanière filer sur les fesses d'Isabelle, puis sur ses reins, son dos, ses cheveux, redescend sur les épaules, retourne vers la croupe, fais semblant de lever le bras d'un geste vif. La lanière glisse sans quitter la peau d'Isabelle. Doucement.

 

- Bien sûr que cela compte. Tu es bien aimable de m'avoir prévenue.

 

Encore un éclat de rire de Carole. Celle-ci avance son corps vers la croupe d'Elise, appuie bien ses cuisses contre les fesses. Elle observe avec amusement les jambes d'Elise essayant de se dérober.

 

- Ma belle, dis moi, cette histoire de météo, elle est vraie ?

 

Décidément, Isabelle s'en sort bien, et c'est Elise qui se voit contrainte de raconter sa journée. Le rythme des claques données par Carole est alors calé sur les fessées racontées par Elise. Isabelle et Bertrand n'en perdent pas une miette, au point que Bertrand oublie qu'il continue à caresser tendrement Isabelle du bout de la lanière. De temps en temps, l'un ou l'autre se plait à demander à Elise de préciser un point du récit, de revenir sur un autre, de s'enquérir de la façon avec laquelle elle a pu goûter la fessée de Paul, puis celle de Mathias. Carole sait fort bien contraindre Elise à s'acquitter de sa tâche de belle manière. Hésitante, une salve douloureuse résonne. Haletante, au mot fessée, une claque magnifique vient ponctuer la victoire.

 

Ne manque que le sifflement de la lanière. Isabelle hésite, elle aimerait en voir l'effet, sur Elise de préférence! Mais à l'évoquer, elle prendrait le risque d'en être destinataire, et lui reviendrait aussitôt la douleur de la fessée de l'escalier. Ce soir, elle n'est pas sure de supporter l'instrument. Et si elle pousse Bertrand à s'en séparer et à le donner à Carole, Elise trouvera cela déloyal, et elle aura raison.

 

Puis, submergée par le récit d'Elise, enivrée par le plaisir du spectacle et du son, Isabelle lâche:

 

- La lanière, pourquoi pas sur Elise.

 

Elle pensait peut-être que Carole la prendrait sur ses genoux, pour une douce fessée réparatrice!

 

Stupéfaction de Bertrand, qui lance à Carole:

 

- Carole, Isabelle veut faire plaisir à Elise!

 

Et Carole, en prenant bien soin de ponctuer sa phrase par une gifle magistrale sur le corps qu'elle enserre:

 

- Très bien. Offre à Isabelle ce qu'elle veut offrir à Elise.

 

La lanière siffle cinq fois. D'instinct, Bertrand donne la pleine mesure de sa force. Les fesses d'Isabelle sont vivement cinglées. Un gémissement, puis un autre. Et Bertrand de reprendre:

 

- Isabelle, ou je continue, ou tu offres immédiatement à Elise ce que je viens de te donner.

 

Isabelle ne bouge pas. Elle s'apprête à se mordre les lèvres. Cinq sifflements reprennent, alternant avec cinq gémissements supplémentaires.

 

Bertrand fait une pause. Isabelle se lève. Carole se propose de compter. Elle maintient Elise qui tente de se soulever. Isabelle ne peut plus reculer. La lanière à la main, elle fait face à Carole. Etonnée de se retrouver là, un duo de femmes improbables sous les yeux, qui attendent. Elise risque une ruade. Carole claque, augmentant la tension. Puis la lanière libératrice est brandie. Elise s'accroche aux chevilles de

Carole. Carole s'accroche aux poignets d'Elise, en se décalant pour laisser les fesses libres pour l'assaut. Elise tente de jeter un regard vers Isabelle.

 

- Isabelle, je t'en prie, n'attends plus, vas y.

 

A travers la fenêtre, la lampe tempête fait naître une pluie d'étoiles. Les flocons cinglent la fenêtre, rendant à leur manière un bel hommage à celle qui, pour les avoir oubliés, sait pourtant si bien les apprécier. Elise ouvre les yeux.

 

Sentiment de bien-être. La neige lui va si bien.

_________________

Le bonheur c'est d'être cerné de mille désirs, d'entendre autour de soi craquer les branches.

 

(Avec l’aimable autorisation de l’auteur)


 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Mardi 10 mars 2 10 /03 /Mars 16:15

Suite de : Neige (feuilleton fessée dans un chalet de montagne ; par Pcvert) 8

 

 

- Je laisse Elise décider de la phase finale.

 

La surprise est vive. Mais les règles du jeu, sans être toutes explicites, sont acceptées par tous. Les deux hommes qui ont eu quelque difficulté à se contenir sont également surpris d'un autre aspect de la situation. Elise vient de remporter une manche!

 

Carole et Bertrand ont rapidement rejoint leurs invités. La table est débarrassée des vestiges d'une fessée joliment partagée. Bertrand soulève de temps à autre la jupette de Carole, découvrant des cuisses pleines et bien fermes, marbrées comme chacun s'empresse de le vérifier.

 

- Carole est trop pudique pour vous montrer ses fesses, mais c'est encore plus joli plus haut. Et Bertrand de bien prendre soin de relever la jupe de sa compagne.

 

Carole rajuste sa jupe, et lance à la cantonade.

 

- On a tout le temps du repas pour savoir ce que vous nous réservez. Bien sûr, vous deux, vous restez comme vous êtes.

 

Elise et Isabelle s'en doutaient un peu.

 

Tout heureux qu'Elise ne soit pas la seule victime d'un accident climatique Paul s'exprime à son tour.

 

- Elise nous fera part de ce qu'elle et Isabelle ont le désir de vous offrir!

 

On parle d'abord de l'excursion du lendemain. Très rapidement, chacun reconnaît que les filles ne pourront pas offrir à tous vents ce qu'elles savent si bien montrer par beau temps. La météo n'est plus un enjeu.

Puis Elise revient au sujet initial.

 

- Si je dois encore être fessée, ce sera par Carole. Isabelle sera confiée à Bertrand, qui la fessera à sa guise, à condition qu'il utilise autant ses mains que la lanière que vous voyez là-bas.

 

Les regards convergent vers une lanière de cuir autrefois destinée à l'équipage de chiens ou de chevaux, aujourd'hui utilisée en décor pour attacher une lampe tempête.

 

Isabelle est un peu crispée. Elle ne peut refuser de participer à la dernière étape, par l'idée qu'elle se fait de ses partenaires de jeu et par l'ambiance qu'elle ne veut pas perturber. Mais tout de même, comment Elise a-t-elle pu oser proposer cela. Elle regrette de ne pas avoir été plus patiente deux heures plus tôt.

 

Mathias essaye de détendre un peu les choses.

 

- Bon, Paul et moi on rejoint nos dortoirs respectifs. Ne tardez pas trop Mesdemoiselles, et retrouvez nous en pleine forme!

 

Carole ne voudrait pas qu'un déséquilibre trop important sépare les deux jeunes citadines.

 

- Elise, je te préviens, je claquerais aussi fort que je le peux tes cuisses tout le temps que Bertrand passera à faire goûter du cuir à Isabelle.

 

Elle entraîne Elise vers l'étage. C'est alors que Bertrand, toujours aussi joueur, ne peut se retenir de soulever Isabelle. D'un geste la voilà sur son épaule, les fesses bien fermes et bien dessinées sous ses yeux.

 

- Carole, tu fais comme tu veux avec Elise, mais moi je vais claquer les jolies fesses d'Isabelle pendant la montée à l'étage.

 

Au passage, il s'empare de la lanière qu'il pose simplement sur Isabelle.

Marche après marche, Isabelle reçoit une vigoureuse claque sur les fesses. Elle est étonnée de la douleur ressentie. Est-ce le fait d'être dans cette position ? est-ce la puissance de Bertrand ? est-ce l'effet cumulé avec celui de la fessée précédente. Elle a du mal à retenir ses larmes. Bertrand finit par s'en apercevoir. Il est partagé. Il commence par la provocation.

 

- Garde tes larmes pour tout à l'heure.

 

Il caresse du doigt la lanière qu'il pose délicatement avec Isabelle sur un petit lit inconfortable. A l'autre bout de la grande salle de l'étage, il aperçoit Carole à califourchon sur le dos d'Elise. Celle-ci commence à recevoir de vigoureuses claques de sa part. Dès qu'Elise fait une embardée, Carole resserre ses jambes sur sa victime, et la claque plus fort. La fessée devient méthodique. Plus douce aussi.

 

à suivre

 

(Avec l’aimable autorisation de l’auteur)

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Dimanche 8 mars 7 08 /03 /Mars 15:21

Dessous Noirs. Pour Cuir Noir.


 (Récit d'une histoire authentiquement vraie)


                                                                                  Par Docteur Watson




A Isabelle.


1. Où Sherlock Holmes se fâche tout rouge.


Ah Isabelle, vos derniers « posts » sur la Strape ont bien ému notre Cher Docteur WATSON.


Le voilà plongé dans ses vieux manuels de psychologie clinique depuis ce matin. Il en est même sorti ce matin par un froid glacial quérir chez un de ses confrères quelques articles récents d'un certain Freud dont il s'est entiché.


Je ne corrige pas souvent Noémie. Elle n'y prête pas souvent le flanc, au propre comme au figuré. Elle est d'une étrange dévotion à mon égard qui me laisse souvent pantois.


Et ce ne sont pas les poses languissantes, elle simplement affublée de soie rose relevée de quelques liserés carmin, qu'elle m'envoie via les journaux coquins de notre époque, qui me conduirait à la sanctionner.


Elle y trouverait sûrement trop de félicité à ce que je m'offusque de ces poses. Et puis en dehors de son service, elle fait bien ce qu'elle veut Noémie, Watson et moi n'avons pas à nous en mêler !


Quand néanmoins, par étourderie ou espièglerie, en notre foyer naturellement, elle agit mal ou sans le discernement que nous attendons d'elle, vous nous concéderez Isabelle qu'il est alors de notre devoir de la discipliner. Il n'y a pas que les maris qui ont la légitimité de cramoisir son postérieur. Aujourd'hui Noémie est coupable de « bêtise », ce qui est selon nous, la faute la plus grave.


Elle s'est bien mal comportée. De la façon la plus «irréfléchie» qui soit. Elle a fort regrettablement agit notre Noémie en ne récurant cette pipe comme il convient de faire.  Bon sang, elle n'a que l'embarras du choix avec tous mes cure-pipes.


Vous savez ce qu'elle a fait, Chère amie ? Et bien elle l'a passé sous l'eau. Comme je vous le dis. Tout ça pour gagner du temps. Et par dessus le marché la voilà qui a utilisé une « Spontex ». Sans penser au précieux culottage. Je vous le dis Isabelle, j'enrage au moment où j'écris ces lignes au point d'en être vert. Vert de rage comme on dit.


C'est là Isabelle, que le grand Sherlock s'est fâché tout rouge. Et si je parle à cet instant à la troisième personne c'est parce que quand la grande fessée s'annonce, en Angleterre, c'est solennel. C'est une messe qui va être dite.


 Noémie l'a tout de suite pressenti, et avant que j'eusse prononcé la moindre parole, elle sait exactement ce qui va suivre. Elle sait qu'elle a déculotté ma pipe, amie chère et vulnérable apporte à Sherlock l'apaisement de ses bouffées réconfortantes.


- C'est la loi du Talion que va vous allez subir Noémie. Vous avez déculottée ma pipe, déculottée vous allez être !


Regrette-elle son comportement, frémit elle déjà dans son être ? Craint-elle la honte qui la gagne, va s'amplifier avec le supplice et qui la meurtrira davantage enfin, plus que sa chaire quand tout sera terminé. Redoute-t-elle plus que tout le regard sévère de celui qui par lequel la sentence est tombée. Est pour cela qu'elle baisse les yeux, immobile ?


 Est-ce un signe, cette imperceptible contraction de ses muscles, qu'elle envoie à Sherlock le plus avisé de tous les observateurs?


Ce qui est certain, c'est que toutes sortes de pensées secrètes traversent l'esprit de Noémie.

Le devinez-vous, Isabelle ?


- Allez chercher la petite Strape, Noémie, je vous prie. (Il faudra bien un jour que je vous parle de notre grande Strape). C'est ainsi que commence le récit de Sherlock Holmes.


(A suivre )


Avec l'aimable autorisation de l'auteur



 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Dimanche 8 mars 7 08 /03 /Mars 14:11

Suite de : Neige (feuilleton fessée dans un chalet de montagne ; par Pcvert) 7

 

 

Ces deux-là se retirent, contents de leur choix. Paul et Mathias se lèvent, un vaste sourire envahit leurs visages. Les deux compères qui ont tout manigancé retrouvent leur appétit d'acteurs.

Mathias découvre la cambrure d'Elise comme il ne l'avait jamais imaginée. Celle-ci s'est bien prêtée au jeu, alors que Paul avait laissé entendre qu'elle pouvait se faire prier. De toutes façons, il n'avait pas l'intention d'une fessée donnée au rabais. Quant à Paul, il avait déjà eu l'occasion d'apprécier de près la capacité d'Isabelle à recevoir une fessée magistrale. De là à en être le distributeur ... mais cet honneur ne devait pas être trahi. Ce que lui offre Isabelle rendrait la trahison difficile.

Mathias rompt le silence.

 

- Une dernière fessée vous sera offerte, en hommage à nos hôtes. Celle qui désire arrêter la première la fessée qu'on va vous donner doit clairement dire "Je laisse Isabelle -si c'est Elise qui parle- décider de la phase finale". Et réciproquement bien sûr...

 

Rien n'est dit à cet instant sur ce que cela signifie.

 

La distribution commence. Mathias a lancé l'assaut. Le shorty n'est en rien un frein à l'ardeur du fesseur ni un frein aux morsures qu'une fessée provoque souvent au début quand elle est administrée sans retenue. Elise le craignait un peu. Elle avait compris que la fessée serait un enjeu entre les deux hommes. Son buste bien calé sur la table, la croupe sur le bord, les cuisses sagement tendues et droites, les pieds touchant à peine le sol. Rapidement, ses fesses reprennent la couleur et les sensations que la douche avait apaisées. Les claques n'atteignent pas les cuisses, seule une main caressante les effleure parfois, le temps d'un bref repos.

 

Puis la valse reprend.

 

En écho, Isabelle a tout le loisir d'apprécier l'effet des vêtements qu'elle a choisis. Bien que mieux défendues, ses fesses semblent aimantées par la main qui les claque. Paul redécouvre avec Isabelle ce qu'il avait connu dans le passé.

 

Mais la fessée qu'il donne avec autant d'ardeur que son compère ne l'empêche pas d'observer Elise. Celle-ci lève les yeux de temps à autre, ces yeux qui défient, puis qui se font presque enjôleurs.

 

Le bruit des claques n'empêche pas fesseurs et fessées d'entendrent des cris et des bruits venant de l'étage. Une courte pause dans la fessée du bas. Chacun se rend compte que Bertrand est sans doute en train de répéter avec sa compagne l'exercice en cours au rez-de-chaussée.

 

- Ne vous inquiétez pas pour nous. Carole était en manque, un effet de contagion sans doute.

 

L'hilarité de Bertrand est facile à deviner. Et Carole doit avoir fort à faire pour atténuer l'impact de ses mains larges et puissantes. Combien parmi les quatre convives s'intéresse aux mains de Bertrand, aux mains d'un manuel qui manie aussi bien les livres savants que la hache du bûcheron. Un manuel qui a manifestement d'autres talents.

 

Elise s'est toujours intéressée aux mains des hommes. Elle aime leur contact, dont elle découvre aujourd'hui qu'il peut emprunter des voies peu explorées. Une fessée l'après-midi, une seconde en début de soirée. Elle connaît la vigueur de mains d'intellectuels sportifs à temps partiel. Est-elle prête à goûter à des mains qui lui avaient paru impressionnantes lors des salutations. En attendant, elle apprécie de plus les mains de Mathias.

 

Elle aimerait rendre Paul jaloux du plaisir qu'elle est prête à afficher en étant fessée par un autre. Elle approche son visage du corps de Paul, à hauteur de ses reins. L'ambiguïté est totale. Cela n'échappe pas à Mathias qui lui claque les fesses frénétiquement. Le corps d'Elise oscille un peu sur la table, et en roulant de la sorte, elle repense au supplice du boulanger dont Paul l'avait une fois menacée. Elle est obligée d'enlever ses mains de la table, et de les glisser sous ses seins. Paul la regarde et lui dit qu'elle peut aussi bien les glisser entre ses cuisses pendant qu'elle y est. Mathias comprend par là qu'il tient l'occasion de fesser de la plus belle manière la plus jolie fille qu'il ait rencontrée. C'est une main ferme qui claque sans retenue chacune des fesses d'Elise pendant que de l'autre il s'empare des cheveux d'Isabelle pour les approcher de la peau vermillon qu'il meurtrit d'une ardeur sans égal.

 

La symétrie du jeu serait totale si Isabelle, par le bénéfice de l'expérience, ne savait si bien se faire désirer. Paul est presque maladroit. Il aimerait libérer les fesses d'Isabelle de toute entrave, même visuelle. Quelques claques manquent leur but. Mathias ne peut s'empêcher de rire. Paul se reprend, en offrant à Isabelle une fessée mémorable. Celle-ci ne peut s'empêcher de rouler vers le corps de sa partenaire au point que Paul est obligé d'agripper le string pour que les fesses d'Isabelle redeviennent un point fixe. Les fesses sont balayées à la volée d'une main leste qui finit par la faire réagir.

 

à suivre

 

(Avec l’aimable autorisation de l’auteur)

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Jeudi 5 mars 4 05 /03 /Mars 23:31

Le verdict est sans appel. Carole et Bertrand confirment leur choix, d'un commun accord, sans aucune réserve. Ils conduisent Isabelle au milieu de la pièce et demandent aux deux rigolards du fond de bien vouloir s'approcher d'Elise. Isabelle fait durer le suspens. Puis ce sont quelques mots jetés comme un couperet:

 

- Je propose qu'Elise soit fessée par Mathias, que nous soyons fessées l'une à côté de l'autre en travers de la table, la tête de l'une au niveau des fesses de l'autre, et cela jusqu'à ce que Bertrand et Carole nous signalent à leur manière qu'il est temps de passer à table. Fessées à la main, bien sûr, sauf si Carole et Bertrand proposent un autre instrument.

 

Carole décidément en verve intervient.

 

- Oublierais tu que nous sommes des travailleurs manuels.

 

Après les mains des villes, les filles, on vous offrira les mains des champs.

Elise ne peut accepter de ne décider de rien.

 

- On peut au moins prendre le temps de se changer ? J'ai marché près de six heures, j'ai eu droit à une petite séance de relaxation sous la neige, mais j'aimerais prendre une douche, grignoter un peu ...

 

Mathias se rend alors compte de l'oubli d'Isabelle.

 

- Isabelle, quelles tenues allez vous porter tout à l'heure ?

 

Peu de temps s'écoule avant la réponse, juste le temps d'un regard vers Elise.

 

- En sous-vêtements, et vous nous laissez le choix. Vous n'aurez pas le droit d'exiger de les enlever. Vous aurez simplement celui de choisir l'intensité de la fessée en fonction de ce qui nous protègera.

 

Elise vient de réaliser qu'elle est à nouveau démunie. Son petit sac à dos ne contient rien qui puisse rivaliser avec ce qu'Isabelle est capable d'avoir préparé.

 

Paul vient à son secours, à sa manière.

 

- Pour la douche, pas de problème. J'ai aussi besoin d'en prendre une, j'ai eu un petit coup de chaud tout à l'heure!

 

Isabelle prend son temps. Elle choisit de protéger ses seins, la table rustique risquant de trop solliciter ses points sensibles. Protéger, mais pas trop, la guêpière suffira. Pour le bas, une ficelle et des porte-jarretelles. Elle prend son temps, mais elle est plus préoccupée qu'il n'y parait. Elle connaît les goûts de Mathias, sa sophistication dans les relations sensuelles, elle sait aussi qu'Elise lui plait beaucoup. Elle le connaît assez pour qu'il se montre disposé à en remontrer à Paul, en matière de fessée. Et Elise est une proie de premier choix, qui ne connaît Paul que depuis quelques mois.

 

De son côté, Elise se montre plus fébrile. Elle ne va tout de même pas remettre son short, Mathias serait capable de le tordre et de lui blesser l'entrejambe. Elle se sent ridicule avec un shorty de tulle brodé qu'elle aurait préféré garder pour l'intimité d'une relation de couple. Elle n'a pas trop le choix. Mais elle sait que ses fesses rendraient transparent n'importe quel sous-vêtement. Et pour faire diversion, elle décide de ne rien porter sur la poitrine. Sa forme physique ne lui fait pas craindre une position longtemps allongée sur le ventre. Ses seins sont assez jeunes et fermes pour résister au supplice du boulanger. Et puis c'est la façon qu'elle a choisi pour faire front.

 

Chacun ayant pris son temps, l'aimantation des uns par les autres fait qu'ils se retrouvent tous arrivant dans la pièce principale à quelques secondes d'intervalle. Les hommes ont gardé leur pantalon de toile ou de coton, leur chemise ou polo. Carole a simplement passé une jupe plus courte. Ce sont les deux autres jeunes femmes qui font sensation. Les hommes s'assoient près du feu, et ne sachant pas quoi faire de leurs mains, ils jouent l'un après l'autre avec le tisonnier.

 

Carole sait quoi faire de ses mains. Elle s'affaire autour de la table, installant un tissu molletonné, posant des serviettes pliées en deux sur les deux bords opposés où elle invite Elise et Isabelle à s'incliner.

 

-Bon, messieurs, les jeunes femmes sont prêtes. Votre apéritif est servi, mais ne tardez pas, la suite pourrait refroidir. Tiens, Bertrand, tu viens, ce n'est pas encore notre tour.

 

à suivre

 

(Avec l’aimable autorisation de l’auteur)

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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