Récits de fessée par mes amis du net

Samedi 15 novembre 6 15 /11 /Nov 16:38

Un texte envoûtant d’Altec-art avec son aimable autorisation

 

 

Et cela se renouvelait souvent. Jamais régulièrement, avec des femmes d’âge très différent, que je revoyais plusieurs fois ou une seule fois.

Si les coups étaient parfois sauvages, ils se faisaient souvent caresse.

Le rituel employé était rarement identique d’une fois sur l’autre, sauf sur un point : quand il avait fini, il m’essuyait avec soin et il me glissait dans mon étui et me déposait dans le tiroir de son bureau.

 

Le temps s’écoula doucement. S’il était rapidement parvenu à me manier avec dextérité, j’avais également appris à apprécier le contact rude avec la peau de nos visiteuses. Je dis bien « nos » visiteuses car je me plaisais à croire qu’elles venaient aussi bien pour lui que pour moi.

 

Mathilde vint perturber ce bel équilibre.

 

Au début je ne compris pas grand-chose. Je trouvais soudain assez curieux d’être confiné dans mon tiroir aussi longtemps. Parfois il venait m’extirper de mon antre l’air songeur. Je devinais assez vite qu’il attendait son départ pour me prendre. Je ne l’avais jamais vu, mais j’avais assez vite appris à reconnaître son parfum, toujours le même. Plusieurs fois il avait été tenté de venir me sortir alors qu’elle était là. Mais à chaque fois il s’était ravisé et m’avait discrètement remis à ma place.

 

Ce manège durait déjà depuis un certain temps, lorsqu’un jour il vint me sortir du tiroir où il me confinait. Quand il m'extirpa de mon étui, je sentis qu’il n’était pas comme à son habitude. Il était tendu, un peu fébrile, anxieux peut-être? Elle était allongée à plat ventre en travers du lit, nue, un peu figée, sans doute aussi anxieuse que lui?

 

Il me promena doucement sur son dos, le long de la colonne vertébrale, descendit lentement et me fit caresser ses fesses rebondies, en me faisant simplement effleurer la peau. Elle frissonna. Il se détendit un peu. Il me faisait descendre lentement vers les cuisses puis remonter par le sillon formé entre les fesses qu’elle ne serrait plus. Et je redescendais encore pour remonter à nouveau entre ses fesses. Au bout de plusieurs minutes de ce manège silencieux, il n’était aucune parcelle de peau sur laquelle je n’étais pas passé.

 

Soudain, il donna un coup. Un seul. Je sentis qu’il n’était pas fort, mais il était sec. Elle sursauta puis se détendit. Il me fit à nouveau caresser sa peau, puis il donna encore une tape. Je fus moins surpris.

Elle, autant. L’alternance de caresses de mon bois poli et de tapes continua, les caresses de moins en moins longues et les tapes de plus en plus sèches et appuyées. Elle ne sursautait plus mais se cabrait, d’autant plus que les coups se faisaient plus cuisants. Ses cris n’étaient plus de surprise, mais de douleur. Pourtant elle s’offrait tout entière à mes morsures.

 

Après un long moment, alors que sa peau commençait à conserver le souvenir de mon office, il me posa par terre, lui frotta un peu les fesses avec la paume des mains, la retourna sur le dos avec une infinie tendresse et ils ne formèrent plus qu’un. Ils m’oublièrent.

 

Le lendemain matin, alors qu’elle était partie, il me ramassa, m’essuya doucement, et me rangea à ma place habituelle. C’était la première fois qu’il mettait autant de temps pour s’occuper de moi. Je sus que quelque chose avait changé.

 

Mathilde revint. Il vint me chercher avec plus d’assurance. Mathilde revint de plus en plus fréquemment. Grande nouveauté, il n’hésitait plus à me préparer avant même son arrivée. Et lorsque ce n’était pas le cas, elle venait elle-même me sortir de mon tiroir et de mon étui. Aucune autre femme ne venait plus partager nos jeux. Seule Mathilde comptait désormais.

 

Je me souviens encore de ce jour où, élégant et de noir vêtu, il vint me prendre et me déposa sur la petite table de sa chambre. A ma grande surprise il partit. Il ne revint que très longtemps après, au petit matin. Mathilde l’accompagnait, portant une simple mais très belle robe blanche. Je ne servis pas longtemps. Mais jamais sans doute je ne servis plus intensément.

 

Mathilde ne nous quitta plus. Nous brûlions tous trois. Et je vibrais, vibrais, vibrais de toute mes fibres. Elle criait, gémissait, soupirait.

Il l’aimait. Nous étions heureux.

à suivre

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Samedi 15 novembre 6 15 /11 /Nov 16:37

Un texte envoûtant d’Altec-art avec son aimable autorisation

 

 

Ils mettaient tant d’enthousiasme, de simplicité, de naturel dans leurs jeux, avec ou sans moi, que j’étais… fier… oui, fier de participer lorsque l’un d’eux venait me chercher.

 

Cette atmosphère de découverte permanente, cet espoir de surprendre l’autre, de se hisser à la hauteur de son désir ne s’émoussait pas. A deux reprises, pourtant, Mathilde pris quelques rondeurs et je fus délaissé. Mais je n’avais pas le sentiment d’être oublié. A deux reprises elle quitta  l’appartement plusieurs jours d'affilé. A deux reprises un petit d’homme fit son apparition. Une fille puis un garçon.

 

Nos jeux reprirent, bien sûr, mais moins débridés. Ils se firent plus sages. Les enfants grandissaient. Le temps passant, il prit un petit peu d’embonpoint et des cheveux gris. Elle restait mince mais perdait un peu de sa vivacité. Mon tiroir était fermé à clef depuis quelques années, et j'en sortais moins régulièrement. Je comprenais, aux précautions prises qu'il ne fallait pas faire trop de bruit : des oreilles pouvaient entendre....

 

Plusieurs fois ils partirent en m'emmenant avec eux. Nous nous retrouvâmes dans une chambre très impersonnelle dans un lieu que je ne connaissais pas. Sans doute émoustillés à l'idée d'être libérés des contraintes habituelles, ils reprenaient les jeux de leur jeunesse, avec une vigueur nouvelle, et moi je participais de toutes mes fibres.

 

Mais avec le temps, même ces escapades s'espacèrent, et je sortais de mon tiroir de moins en moins souvent. Un jour pourtant il vint me chercher et je vis son œil brillant, tel que je l'avais connu au tout début de notre histoire. Mais quelle ne fut pas ma surprise de voir une femme encore jeune, ma foi, l'air assez gênée, ne sachant comment se tenir et me regardant avec appréhension. Il lui ordonna de se déshabiller. Elle hésita un peu puis se dévêtit lentement, comme pour retarder ce qu'elle redoutait. Il la fit s'allonger à plat ventre sur le lit. Elle y resta crispée. Sa main lui caressa doucement le dos, les cuisses puis les fesses, s'attardant de plus en plus souvent sur le sillon qui les séparait. Elle se détendit peu à peu et frissonna même quand il lui caressa l'intérieur des cuisses. Il se redressa puis leva le bras et m'abattit sur les fesses offertes. Je sentis qu'il retenait sa force. Malgré tout elle sursauta et cria, plus de surprise, sans doute, que de douleur, et se mit à genoux.

 

Il lui dit de se mettre en position mais elle ne bougea pas. Ce n'est qu'à la seconde injonction qu’elle se remit en place, et resta figée. Il lui cingla de nouveau les fesses, un peu plus fort me sembla-t-il. Elle cria de nouveau et se redressa en se frottant les fesses du plat de la main. Une fois de plus elle ne bougea pas lorsqu'il lui demanda de se remettre à plat ventre. Il lui appliqua alors un coup comme je les aimais, bien vif; appliqué d'un geste nerveux du poignet juste au bas des fesses, presque à la jointure des cuisses. Elle cria encore plus fort, plus de douleur que de surprise, cette fois-ci, et quitta le lit pour se mettre debout dans un réflexe de fuite. Elle n'attendit même pas qu'il réagit. Elle ramassait déjà ses affaires et se rhabilla tant bien que mal tout en lui disant qu'il était un grand malade, qu'elle avait eu tort de s'être laissé entraîner, qu'elle avait besoin d'une relation normale avec un homme normal et qu'elle le laissait à sa violence, mais loin d'elle, le plus loin possible.

 

S'il avait essayé, au début, de canaliser ce flot de paroles, il abandonna très vite et la laissait dire et la laissait faire, les bras ballants. Tout en continuant de parler, plus pour elle que pour lui d'ailleurs, elle quitta la chambre presque en courant et quitta l'appartement en claquant la porte. Il resta sans bouger un long moment, me tenant dans la main sans trop savoir que faire de moi. Ce qui devait être une initiation avait sombré dans le ridicule d'une scène de mauvais vaudeville. Il me rangea tristement dans mon étui puis dans mon tiroir.

 

Le temps passa. Je ne sortais plus que rarement pour participer à des jeux de plus en plus sages. Parfois il venait comme en cachette me regarder et me caresser du bout des doigts, le regard ailleurs, tourné vers sa jeunesse.

à suivre

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Samedi 15 novembre 6 15 /11 /Nov 16:30

Un texte envoûtant d’Altec-art avec son aimable autorisation

 

Un jour Mathilde nous quitta brusquement. Ce jour là il vint me sortir de ma cachette en pleurant, mais me remit vite en place : l'appartement bruissait de pas feutrés et il ne voulu pas être surpris.

 

Les mois, les années passèrent, la vie s'écoula lentement. Il vivait seul désormais. Ses enfants, englués dans leur propre vie, ne venaient pas souvent le voir, sans jamais vraiment l'abandonner pourtant. Il venait me prendre souvent, me racontant sa solitude, ses petits enfants qui grandissaient, ses souvenirs, Et surtout Mathilde. Mathilde... Sa

Mathilde!

 

J'étais devenu le lien qui le reliait à elle, la rampe qui lui permettait de s'agripper à leurs souvenirs communs. Je le sentais décliner. Je savais qu'il n'avait plus envie de rester encore loin d'elle.

 

Arriva un jour où je l'attendis en vain et je restais quelques temps ainsi. Puis je sentis le tiroir s'ouvrir, d'un mouvement peu sûr que je ne reconnaissais pas. Je sentis mon étui se déplacer et deux mains peu habiles essayer de l'ouvrir.

 

La première chose que je vis fut deux yeux étonnés. Le jeune homme me pris maladroitement, et me manipula. Il comprit assez vite mon usage. Un sourire se dessina sur son visage. « Sacré grand-père ! » dit-il.

 

Une belle jeune fille fit irruption dans la pièce. Il me cacha précipitamment au fond du tiroir qui était resté ouvert.

 

« Et alors François, qu'est-ce que tu fais là tout seul ? Viens, il faut y aller, on emporte ton grand-père ! ».

 

Il répondit d'un « Oui chérie » automatique, et la suivit, Encore dans ses pensées, son regard se posa sur la nuque de sa jeune épouse, suivi machinalement la fermeture éclair de sa petite robe noire. Il se posa sur le creux de ses reins puis sur ce qu'il devinait un peu plus bas sous l'étoffe.

 

Il s'arrêta brusquement et revint précipitamment sur ses pas, me récupéra au fond du tiroir, me remit dans mon étui et le cacha au creux de son manteau. Il sortit alors de la pièce d'un pas rapide en répétant presque joyeux : « Quand même ! Sacré grand-père ! »

 

Je sus alors que j'allais reprendre du service.

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Mardi 16 septembre 2 16 /09 /Sep 23:49

Préface d’isabelle

 

Je viens de recevoir un magnifique récit fessée inédit par un de mes amis proches du net. Vu la longueur du texte je le coupe en épisodes. Pour ceux et celles qui aiment des belles histoires bien écrites, il y a matière à rêver. Il m’a fallut un peu de temps pour pousser Piment à se lancer enfin dans l’écriture de telles histoires. C’est mon côté muse. J’avais décerné dans ses correspondances un réel talent (pas étonnant ce Monsieur est un pro de l’écriture dans un autre domaine) et j’étais très curieuse comment Piment aller aborder la fessée. Le résultat est bien flatteur pour moi. Je ne m’y attendais pas.  Bien entendu pas de commentaire de ma part sur la véracité des éléments me concernant.

 

 

 

 

Conte moderne pour Isabelle

 

 

 

« La brosse à cheveux! » L'ordre fuse, sec et bref. Ni s'il te plaît, ni merci. Nous échangeons peu de mots, ma femme et moi, quand je la fesse. Ni voyez ni cuistrerie, ni autoritarisme de ma part. Je ne suis pas non plus « macho », comme elle me lance parfois, pour me taquiner. Nous allons à l'essentiel et l'essentiel, c'est la fessée, qui nous occupe entièrement le corps et l'esprit.

Elle-même se contente d'un « comme ça? », quand il est question de sa position à rectifier ou « celle-là? » quand elle me tend celle de ses brosses que je chéris le plus. Tant de fois je l'ai frappée avec! Cet ovale de bois brillant évoque pour nous tant de tendres souvenirs! Cette surface vernie est si douce au toucher mais devient si brûlante pour ses fesses offertes, quand elle s'abat dessus. J'ai si bien en  main la forme de ce manche. Le plat couvre ce qu'il faut de sa fesse, ni trop, ni trop peu, disons le tiers. Trois coups me sont nécessaires pour la parcourir en totalité, six pour les deux fesses. C'est si bon quand le mouvement de mon bras lancé est amorti, puis arrêté, par la sphéricité de la fesse féminine.  J'essaie toujours de saisir du regard l'instant, si fugace, où sa rondeur s'aplatit, sous le choc, avant de retrouver aussitôt sa courbe.  Comme une secousse électrique, la crispation de son corps pas encore résigné (son esprit, lui, l'est déjà)  se communique au mien, lors de ce premier coup.

Isabelle 3 (je l'appellerai ainsi, dans ce récit, par commodité de langage),  se lève, pour aller prendre dans la salle-de-bain l'instrument requis. Son corps ne pèse plus, en travers de mes genoux. Je n'ai qu'une hâte, ressentir à nouveau son poids, sa chaleur, la douceur de son ventre sur mes cuisses, d'avoir à nouveau ses fesses à portée de ma main. Elle s'éloigne. Elle va à petits pas. Sa démarche est ralentie par sa culotte, tombée aux chevilles, mais qu'elle doit impérativement garder jusqu'à la fin de sa fessée, comme un rappel de ce qui va suivre, de sa condition de femme fessée. Ce double anneau de tissu entrave momentanément sa liberté, au sens propre comme au sens figuré. Cette petite humiliation consentie m'émeut au point qu'elle me tirerait des larmes, comme tout chez elle, tout ce qu'elle fait pour moi, pour elle, pour notre vie de couple. Rabattu, le bas de son chemisier blanc masque à moitié son fessier déjà rougi. La peau de ses fesses et la paume de ma main droite partagent en commun ces mêmes rougeur et chaleur. De longues minutes déjà, longues mais trop brèves, que je les claque avec. Je n'en puis plus, ma main n'en peut plus. Mais je sais aussi, intimement, et elle sait aussi, la brosse nécessaire. Cette fessée après la fessée, cette sur-fessée, est la plus cuisante, mais peut-être la plus satisfaisante.

Mais pourquoi ma femme doit-elle être fessée? Pourquoi Isabelle 3? Si tu veux le savoir, lis ce qui suit. Et quand mon conte sera fini, « acabat », comme disent les Occitans, chez nous, tu seras affranchi, sur les choses de la vie.

Coïncidence ou signe du destin, toute ma vie d'homme a été rythmée par ce prénom, Isabelle. Je n'ai  connu que des Isabelle. Je sais que ça fait prétentieux, mais, faute de pouvoir livrer leur nom, c'est pourquoi je les distingue par des numéros. A toutes, je rends hommage. Chacune m'a tant appris, m'a tant donné, à moi, pourquoi moi, je me le demande encore aujourd'hui, comment j'ai pu avoir cette chance, comment elles m'ont reconnu, élu; chacune m'a fait grandir et avancer, un peu, dans la connaissance des femmes, ce mirage vers lequel les hommes assoiffés de tendresse, de fesses,  marchent sans jamais pouvoir l'atteindre.

Isabelle 1, la première, a posé ses lèvres sur les miennes. Je le dis dans ce sens, parce que j'étais trop paralysé par la timidité pour faire le moindre mouvement. C'était à l'arrière d'une 2 CV, dont nous étions passagers. J'avais 20 ans. Plus tard, dans sa chambre, elle fut la première dont j'ai senti le sexe autour de mes doigts, comme un anneau chaud, humide, élastique et resserré. « C'est la première fois », me souffla-t-elle à l'oreille, d'une voix basse, rauque et à demi-étouffée par l'émotion. Ses convictions religieuses, et mon inexpérience affective, mon trop grand besoin de femme, ma jeunesse amoureuse, l'ont ensuite éloignée de moi. Mais c'est une autre histoire.

Isabelle 2 fut la première et la seule à m'offrir des gros seins. Je la revois encore, dans la tiédeur d'un soir, en pleine rue piétonne, en haut d'une rue en pente dans une ville exotique et déserte du Mexique, dégageant sa poitrine. « Cela te plaît? » m'interrogeait-elle, d'une petite voix, comme si la réponse était très importante pour elle. Dans le timbre de sa voix perçait comme une inquiétude, et dans le même temps, elle était sûre d'elle, sûre que ça me plaisait. Et ça me plaisait, bien sûr.

Autant Isabelle 1 était menue, autant Isabelle 2 remplissait bien son jean. Isabelle 3 est entre les deux, c'est celle qui a partagé ma vie. J'y reviendrai.

Quant à Isabelle 183... N'allez pas imaginer qu'il y a 180 autres Isabelle! Isabelle 183 est une magicienne. Celle grâce à qui Isabelle 3 se retrouve aujourd'hui sur mes genoux, grâce à qui notre vie conjugale a atteint un aussi haut degré d'harmonie.

Je l'ai très vite su. Le premier coup d'oeil fut un coup de foudre, entre ma future femme et moi. Tout a commencé par un acte banal, l'achat d'un sandwich, à Toulouse, un jour de juin 1998, le 21, celui du feu de la Saint-Jean, un jour dont je me souviendrai toute ma vie. Je remarquais aussitôt la serveuse. C'était une fille aux cheveux noirs, coupés assez courts, avec des yeux noirs et un visage plein, aux lèvres charnues. Elle n'était ni grande, ni petite, mais avec de beaux seins, de belles fesses, des formes bien prononcées. Je me le dis dans mon for intérieur: « Cette fille a un corps parfait. Elle est parfaite. » Elle avait l'air beaucoup plus jeune que moi: pas une adolescente, non, mais une toute jeune femme, en fleurs. Je l'ai su après. Elle avait 22 ans.

Je commandais, puis je la chassais de mon esprit: une fille au corps parfait, si jeune, ne peut être pour moi. La pensée me traversa: qui donc mettra sa main, sa bouche, son sexe, sur elle, en elle? J'enviais secrètement cet homme, loin de me douter que cet homme, ce serait moi.  C'est elle qui me tira de mes réflexions un peu amères. Elle sortit de l'arrière-cuisine et me prévint:


Elle s'était approchée à peine à plus d'un mètre de la table, où j'étais assis, attendant ma commande. Sa voix me fit sursauter, car je pensais justement à elle. Tout en parlant, elle fit un geste très étrange, venant d'une femme s'adressant à un inconnu, un mâle inconnu. Elle m'assura plus tard qu'elle ne l'avait pas fait exprès, ni même consciemment, que c'est sa féminité qui avait parlé, qui avait ordonné. Elle avait répondu à l'appel de la femme en elle. Debout face à moi assis, elle avait relevé son tee-shirt court et, de sa main gauche, elle avait caressé son bas-ventre, un geste très féminin qui m'excita au plus haut point, fit grimper le thermomètre de mon adrénaline. Je vis sa culotte qui dépassait d'au moins deux centimètres d'un jean bas, c'était la mode alors chez les jeunes filles, c'était une culotte cramoisie, entre le rouge et le bordeaux.

J'ouvris la bouche, en rond, mais ne proférais aucun son, interloqué. Je me ressaisis et dit oui, pour le fromage.

Au moment de partir, je m'approchais d'elle, au comptoir.



Elle ne répondit pas tout de suite, mais me regarda, intensément.




Alors, mon coeur s'emballa encore plus et cela fait plus de dix ans, maintenant, qu'il est emballé. On s'est très vite mariés. Que j'ai 12 ans de plus qu'elle ne l'a pas gênée, au contraire, disait-elle, « tu as l'expérience »... Dès qu'Isabelle est entrée dans ma vie, ce fut le 7e ciel. Brûlant des feux de la passion, nous vécûmes trois ans d'un bonheur sans nuages. Puis les premiers apparurent. Les premiers orages éclatèrent. Le ciel redevint bleu, mais, même alors, ce fut des agaceries, des bouderies, des incompréhensions. Même au lit, au lit avec une presque jeune fille, au corps toujours si parfait!, la flamme n'était plus aussi intense. Elle brûlait toujours, mais je sentais que nos coeurs ne battaient plus autant à l'unisson. Cette horloge interne, qui rythmait notre amour, semblait déréglée. Je finis par m'en alarmer. La différence d'âge, peut-être... Je m'en ouvris à Henri. Henri, c'est mon meilleur ami, et c'est aussi un sage. Son savoir est immense. Il connaît tout, sur tout. Ses conseils sont toujours avisés. Henri saura me dire. Informé de mes inquiétudes, il me rassura:


Je voulus savoir si c'était grave. Il me dit « non, pas du tout », mais que cela ne voulait pas dire pour autant qu'il n'y avait rien à faire.


Intéressé, comme toujours avec Henri, je voulus savoir ce qu'il ferait à ma place. Il baissa la voix, comme toujours quand Henri aborde tout ce qui touche à la magie, à la sorcellerie, son thème de prédilection. Chamans, prêtres vaudous, druides, marabouts (les vrais, ceux qu'on ne découvre qu'après une longue quête, pas ceux qui mettent des pubs dans vos boîtes-à-lettres, en vous promettant tout, n'importe quoi et son contraire): Henri les connaît tous.


Intrigué, je le pressais de m'en dire plus.


Les propos d'Henri étaient plus mystérieux qu'éclairants. Peut-être à dessein, peut-être pour m'appâter et me donner envie d'aller plus loin, de chercher cette Isabelle 183.  Comme un âne buté qui refuse de faire un pas plus avant, il refusa de me renseigner davantage.



De retour à la maison, je fis part à Isabelle 3 de ma conversation avec Henri. La réaction de ma jeune épouse fut celle que j'espérais.



à suivre

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Mardi 16 septembre 2 16 /09 /Sep 23:47

Le lendemain, je revins chez Henri, pour me procurer l'adresse.

Il me tendit un papier avec, écrit dessus, le nom d'une commune et d'un lieu-dit. Je ne peux les indiquer ici, car j'ai promis le secret à Isabelle 183, qui ne tient pas à être dérangée davantage. Le seul canal autorisé pour dénicher son nid dans la montagne est le bouche-à-oreille.


Il entrepris de me fournir des indications, du style « à la troisième croix, tu tournes à droite. Tu passes le petit col, et à la patte d'oie, tu... » Je l'arrêtais d'un geste.



Pressé, maintenant que j'avais mon renseignement, j'étais le point de partir. Henri me retint encore.








Henri se tut un instant, comme pour se donner le temps de formuler dans sa tête une explication valable.


Je sentais que, derrière ces phrases convenues, il y avait une autre raison, cachée, de cette curieuse exigence vestimentaire. Peu importe. Je voulus en avoir le coeur net.






Puis j'enchaînais, faisant la question et la réponse.



Je partis à regret, le coeur chagrin, avec ce remords qu'on éprouve quand on laisse un grand malade. Pauvre Henri! Il a la tête tourneboulé par tous ces contes, tous ces voyages, toutes ces fréquentations de pseudo sorciers de par le monde. Il ne fait que ça! Il fallait bien que ça arrive! Il est comme Don Quichotte, l'esprit gâté par la lecture excessive, obsessionnelle, de tous les livres de chevalerie. Voilà mon ami Henri atteint aussi par une monomanie d'un autre genre, mais tout aussi grave.

De retour chez moi, je rapportais toute la conversation à Isabelle 3, n'omettant aucun détail: l'histoire du GPS, les conseils vestimentaires...


Nous décidâmes de partir le lundi. Isabelle 3, qui est commerçante maintenant, ne travaille pas ce jour-là.

Le moteur de notre Audi Quattro ronflait doucement, prêt à rugir et à bondir pour un voyage confortable vers l'Ariège. Ca, c'est magique. Je m'installe au volant. C'est moi qui conduis, bien sûr. L'Audi Quattro est une mécanique délicate. Je ne me vois pas trop la laisser entre les mains d'une femme, voilà qui va plaire à Isabelle 183, c'est sûr! Je pianote sur le clavier et introduis l'adresse.  Le GPS affiche le trajet, jusqu'au chalet ariégeois.


Isabelle 3 porte une robe toute simple, de couleur ocre, qui lui arrive aux genoux. Je la complimente. Le trajet se poursuit sans encombres, comme je le prévoyais. Le ciel est d'un bleu azur. Le thermomètre de l'Audi affiche 24°, vraiment une belle journée.  A 20 kilomètre du but, un orage éclate. J'hésite sur la destination, je jette un oeil au GPS, il n'affiche plus rien. Impossible de le relancer.



Prévoyant, j'ai a aussi une boussole. A chaque carrefour, je la sors. Mais, passé un petit col, l'Audi se retrouve toujours au point de départ. Heureusement, je me remémore les conseils d'Henri: « Il vaut mieux un bon plan, ou suivre son instinct . » A chaque bifurcation, je prends n'importe laquelle, et je finis après des kilomètres de piste, illogiquement mais en fait logiquement, car la logique n'est pas toujours où l'on croit, au chalet d'Isabelle 183. Vêtue d'un ensemble jupe et chemisier rouge et vert, elle a vraiment l'air d'une fée. Elle nous  reçoit autour d'une table, assis sur de hauts tabourets.






















Raisonnablement, nous aurions dû partir. Nous avions notre conseil, il ne restait plus qu'à le mettre en pratique. Mais ma curiosité n'était pas  assouvie.





Sans attendre la réponse, elle prit dans un grand pot  un brin de rotin, d'un mètre vingt de long et me le montra. Je le trouvai quelconque. J'imaginai quelque chose de plus chatoyant.



Ce que je compris vite, c'est que j'avais posé la question de trop.


 

à suivre

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Mardi 16 septembre 2 16 /09 /Sep 23:44

Isabelle 183 prit une toute petite clochette avec un manche en argent, posée sur la table et la secoua. Elle tinta avec un tout petit bruit, très aigu. Une minute plus tard, une porte s'ouvrit et un homme entra. Il avait une cinquantaine d'années et beaucoup de prestance. Isabelle 183 ne nous le présenta pas et il sembla n'accorder aucune attention à notre présence, comme si nous n'existions pas.



Elle lui fit une courbette et lui remit la baguette, qu'elle avait gardée en main.

Isabelle 183 enleva sa jupe et son chemisier, qu'elle plia et rangea avec soin sur le dossier d'une chaise. Elle portait des sous-vêtements rouges, dont elle se débarrassa aussi.  Pour la première fois, j'appréciai son physique. Ses seins ne sont pas très gros mais très jolis et ses hanches sont assez prononcées, ses fesses sont assez larges, un tour  de plus que ne le réclameraient peut-être ces stupides canons de la beauté féminine. Mais son corps respire la jeunesse, la santé, la volupté. Surtout, elle est totalement femme, de la racine des cheveux blonds jusqu'au bout des ongles vernis. La femme resplendit, en elle. Sa féminité est éclatante. C'est quelque chose qui ne s'explique pas mais que je ressentis très profondément. Ce n'était pas simplement découvrir nue une autre femme que la sienne. Cela allait au-delà. Cela me fit au choc émotionnel. Mon coeur battit la chamade. Le sang me monta au visage; j'en fus gêné, avec mon épouse à côté. Isabelle 183 ne resta pas nue longtemps. Elle attrapa dans une panière un tee-shirt noir, tout simple et une culotte blanche, un peu trop large pour elle, et les passa. Elle ramena ses longs cheveux blonds en un chignon, en s'aidant d'un grand miroir à proximité.


Je profitais de cette invitation pour satisfaire ma curiosité.





Il se retourna vers son épouse.



Elle lui sauta au cou et l'embrassa passionnément sur la bouche.

La jeune femme gagna un espace dégagé, au centre de la pièce, juste en face du canapé où nous étions assis, Isabelle 3 et moi. D'un regard circulaire, Isabelle 183 inspecta le périmètre, pour vérifier qu'aucun objet ne risqua de gêner les évolutions de son homme. Elle jugea une chaise trop près. Elle la souleva et l'éloigna. Puis elle se replaça au centre, légèrement de profil par rapport à nous; disons, on la voyait de trois quarts dos. Elle nous offrait peut-être le meilleur angle de vision sur sa silhouette. Elle était là, debout, simplement vêtue de ce tee-shirt noir et de cette culotte blanche, banale, un peu lâche. Isabelle 183 glissa ses pouces dans l'élastique de son slip et le fit descendre jusqu'au dessus de ses genoux. L'ampleur de ses fesses m'apparut alors, dans toute leur splendeur. J'y perçus un appel pour son homme, elles appellent vraiment la fessée. Isabelle 183 se pencha en avant et passa sa main gauche le long de sa cuisse gauche, à l'intérieur de son slip. Puis elle replia sa main vers le haut et la fit repasser dans son slip. Retournée, la bande de tissu formait ainsi un anneau, autour de son poignet, qui l'enserrait et l'emprisonnait tout à la fois, le rendait solidaire de sa jambe gauche et fixé à elle. Elle en fit autant avec son poignet droit et sa jambe droite. Elle s'était ainsi elle-même menottée. A gauche comme à droite, le slip tordu formait un 8 reliant le poignet et le bas de sa cuisse; l'écartement de ses cuisses était lui réglé par le slip. Je compris qu'elle l'avait choisi assez lâche et souple, pour rendre possible toutes ces contorsions. Ce double anneau coulissait le long de ses cuisses. Elle le fit remonter un peu, de manière à pouvoir poser ses mains et à les caler sur le haut de ses genoux. C'était un système de contention, mais destiné surtout à favoriser sa stabilité, dans une position pas évidente à tenir.


Son homme avait la baguette en main. Il vint à deux pas derrière elle, un peu décalé. Il fit un essai. De son bras droit, qui tenait la canne, il fit le  mouvement au ralenti, pour s'assurer qu'il était à bonne distance et que le rotin couvrirait bien les deux fesses, dans toute leur largeur. La baguette se posa doucement sur la peau. Satisfait, il éloigna son bras, au maximum.


La jeune femme redressa au mieux son bassin, autant que le lui permettait sa position.


Il la satisfit. Avec la rapidité d'un serpent et toute la force de son bras à pleine vitesse, la baguette cingla le travers des fesses offertes. Schlaff! L'espace d'un éclair, je vis la chair se creuser et reprendre aussitôt sa forme. La jeune femme meurtrie poussa un cri, trépigna, se redressa, tirant sur ses menottes de tissu, comme pour se libérer, en vain. Elle semblait un peu perdue, hagarde, elle était haletante.


La jeune femme ne protesta pas. Elle respira profondément, inspirant puis soufflant longuement, se calma.


La femme penchée à côté de lui poursuivait ses exercices de respiration. Je distinguai un premier trait rouge en travers de ses fesses. L'homme reprit la parole.


Schlaff! Dès qu'il eut prononcé ce dernier mot, il la battit à nouveau. Elle serra les dents, trépigna, mais un peu moins. Ne cria pas. Ils ne prononcèrent plus un mot, firent comme si nous n'existions plus. Dès qu'elle sentait la douleur du précédent coup décroître un peu, Isabelle 183 creusait à nouveau les reins, tortillant un peu ses fesses, très joliment, se calait bien sur ses jambes et sur ses mains aux genoux, et attendait le prochain coup. Elle sursauta à nouveau quand il visa la jointure entre ses fesses et le haut de ses cuisses. Les poignets tirèrent à nouveau pour s'évader de leurs menottes de tissu. Parfois, elle tournait la tête, pour regarder son mari la cingler et le coup venir. Parfois, elle restait paupières closes. Des larmes se mirent à perler, puis à couler doucement. Schlaff! A chaque nouveau coup, son corps partait un peu vers l'avant. Son fessier devint un entrelacs de traits rouges.


Isabelle 183 se débarrassa de ses menottes de tissu, se redressa et massa doucement ses fesses.


Isabelle 183 alla chercher la chaise qu'elle avait écartée, la mit au centre. Elle s'agenouilla sur le siège en travers de la chaise, plongea vers l'avant et attrapa avec ses mains le barreau inférieur, puis redressa sa croupe. Je me levai et allai à elle. Son mari me tendit la baguette.


Il me désigna avec ses mains la zone à viser.


Schlaff! Schlaff! Je donnais les deux coups, assez vite, trop rapprochés, intimidé par cette responsabilité.

Isabelle 183 se releva et me remercia. Pourtant, peut-être insensibilisée par la précédente salve, elle avait semblé de rien éprouver lors de mes coups timides. Elle remit son slip, sa jupe rouge, se débarrassa du tee-shirt noir, remplacé par le chemisier vert. Elle sécha soigneusement ses larmes avec un mouchoir et embrassa son homme sur la bouche, dans un baiser fugace mais charmant. Toute son espièglerie était revenue.

Elle me tendit la main, pour nous dire au-revoir..


Elle s'approcha vers ma femme pour lui faire la bise, mais Isabelle 3 s'écria:


Surpris, je me retournai vers elle. Isabelle 3 ne s'adressait pas à moi, mais au mari d'Isabelle 183.




Déjà, elle caressait ses fesses avec ses mains, par dessus sa robe. Elle anticipait sa fessée à venir.


L'homme parut sceptique.








La voix de l'homme était dure. Il voulait faire prendre conscience à son interlocutrice de la gravité de la décision qu'elle allait prendre. Il se voulait pédagogique.



Comme hébété, l'esprit ankylosé, je restais à l'écart de la conversation. Tout s'éclaira soudain. Les mises en garde d'Henri me revinrent en mémoire. J'avais posé la question de trop « comment on se sert de la baguette » et la fée avait ensorcelé ma femme et moi aussi, puisque ma volonté était anihilée, anesthésiée. Non seulement, je ne parvenais à proférer aucun son pour m'opposer, mais je ressentais une excitation croissante, à la pensée de voir fesser ma femme.






Ainsi, je compris aussi la raison de l'amical conseil d'Henri, préconisant une robe ou une jupe pour ma femme.





Un très grand bureau, sur un côté du salon, se voyait à peine, encombré par un fatras de livres, de journaux et de papiers.


à suivre


Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Mardi 16 septembre 2 16 /09 /Sep 23:40

Ma femme s'activa aussitôt, prenant des piles de livres pour les déposer sur la table. Isabelle 183, de plus en plus gaie, proposa son aide. « Moi je peux, dit-elle. Je suis aussi fessée. Je ne suis pas votre fesseur. » Les quantités à évacuer étaient telles que le nettoyage leur prit plusieurs minutes. Elles se démenaient de concert, joyeuses et fraîches, comme si elles étaient des copines de toujours, alors qu'elles ne se connaissaient que depuis deux heures à peine. J'avais l'impression d'être dans un rêve, que j'allais me réveiller. Je ne parvenais pas à me faire à l'idée que tout ce déménagement opéré dans l'allégresse et l'enthousiasme était destiné à dégager un espace pour que ma femme y reçoive la plus cruelle des fessées et qu'elle-même menait les opérations. Je me pinçai. « Elle va reprendre conscience, elle va réaliser. Tout ça finira et on va partir », pensai-je.  Au lieu de ça, quand le bureau fut enfin net, vierge de tout objet, Isabelle 183 prit une balayette, pour en enlever la poussière. La table du bureau était en granit rose, poli.


Une boule d'anxiété dans ma gorge, j'attendais le moment où il allait inviter mon Isabelle à s'allonger dessus.

Cinq coups résonnent à la pendule.


Nous voilà dans la cuisine autour de tasses fumantes. On nous sert une tarte aux groseilles, cueillies dans les pentes.


Ils nous firent part aussi des aléas de cette vie rude, des jours d'hiver bloqués en attendant le chasse-neige.


Elle nous fit goûter des gâteaux de sa fabrication. Ils sont abominablement secs, immangeables, mais je sais qu'avec les fées il faut faire gaffe à leur susceptibilité. Voilà au moins quelque chose que j'aurais retenu d'Henri. Je donne un coup de coude pour faire taire Isabelle 3, qui s'apprêtait à risquer une remarque sur les biscuits. Ma compagne est très à l'aise, mais semble parfois distraite, ailleurs. Elle songe peut-être à la pièce à côté, à ce qui l'attend, à cette canne endormie sur la table, prête à être reprise en main, prête à fouetter impitoyablement ses fesses.

Les murs sont décorés de tableaux représentant les montagnes alentours. Je ne peux retenir un cri quand je vois un nuage traversant le ciel d'une toile. Le nuage bouge! Je m'aperçois que, sur toutes ces oeuvres d'art, petites ou grandes, la lumière et même le paysage changent sans arrêt.


Le goûter achevé, je décrète qu'il est temps de nous aller. Je me convainc que toute cette histoire de canne n'était qu'un rêve, un mauvais rêve.



Isabelle 3 demande à aller aux toilettes. Nous devisons tout les trois, jusqu'à son retour. Je me tourne vers elle. Elle est rayonnante, dans sa robe ocre. Cette vision enchante aussi notre hôte.



Isabelle 3 s'exécute, comme si c'était la chose la plus naturelle au monde. Elle fait descendre la fermeture-éclair sur le côté et ôte sa robe, qu'elle plie soigneusement sur une chaise, comme Isabelle 183 l'heure d'avant..



J'ai honte de voir qu'Isabelle 3 est venue avec des dessous noirs, en dentelle, si sexy. Elle se dirige vers le bureau et se cale le devant des cuisses touchant le rebord, attendant les instructions. Son fesseur s'empare de la canne et la tient fermement de sa main droite, dressée. Il tape deux ou trois fois avec la paume de sa main gauche, comme pour en éprouver la fermeté.


Sa voix respire la fermeté, l'autorité.


Isabelle 3 défit l'agrafe du soutien-gorge et l'expédia sur la chaise rejoindre la robe.


Ma femme fit descendre sa culotte, trépigna un peu pour qu'elle glisse aux chevilles, nous dévoilant ce fessier éblouissant, si familier.


Ma femme se coucha, comme il le dit.


Ma femme écarta ses jambes. Le slip se tendit.


Les fesses de ma femme se soulevèrent.

Elle avait le visage tourné sur le côté gauche.



Ma femme mit sa tête vers l'avant et ferma les yeux. Le fesseur se posta à sa gauche. Comme il l'avait fait avec sa femme, il fit un essai au ralenti et la canne toucha tout doucement la peau, en travers des fesses féminines. Ma femme tressaillit imperceptiblement. Satisfait, il écarta son bras et le ramena au maximum vers l'arrière. Tchac! Ce fut si rapide que je vis à peine le coup partir, si fort que je vis l'arrière-train de ma femme faire un bond.  Elle hurla. Ce cri déchira mon coeur. Je demandais au fesseur la permission de me rendre auprès d'elle, pour lui caresser le visage et peut-être pour lui tenir les poignets, car son buste s'était redressé à moitié, avant qu'elle ne se recouche. Je craignais qu'elle ne se relève pour de bon.


Une minute se passa et ma femme s'apaisa. L'homme attendit encore un peu, scrutant le trait rouge qui apparaissait,  perpendiculaire aux fesses de ma femme.


Ma femme souleva à nouveau sa croupe. Tchac! Elle avait à peine repris sa position qu'il la frappa à nouveau; son visage se tordit. Tchac! Tchac! Il leur fallut plusieurs coups, à l'un et à l'autre, pour bien trouver leur rythme, leurs marques, qui s'additionnaient les unes aux autres. Au bout de six coups, il lui accorda une pause. Ma femme se remit debout, redressa ses épaules en arrière, respira à fond, massa ses fesses. Elle était formidable, comme ça, de sensualité, de féminité exacerbée, de courage aussi. Il lui laissa cinq minutes pour se reprendre, pour souffler.


Isabelle 3 se recoucha sur le bureau et saisit fermement le côté opposé du bureau avec ses mains. Je vis ses seins s'écraser sur la plaque de granit. Ses pieds s'écartèrent, tendant l'élastique culotte. Elle souleva sa croupe avec ses jambes.


Tchac! Il lui imprima son septième coup. Isabelle 3 cria à nouveau, comme après le premier coup.  Elle ne put s'empêcher de se redresser, de couvrir fugacement ses fesses avec ses mains et de masser un peu.


Elle reprit sa position.


Tchac! Vint le 8e coup. Ma femme se releva d'un coup, comme un diable qui sort de sa boîte. Elle sanglotait. Il la laissait faire, non pas par compassion mais pour laisser la douleur du caning grandir en elle.


Ma femme ne bougea pas.  Il mis sa main sur l'arrière de son cou et appuya, pour la contraindre à se courber. Elle acheva le mouvement elle-même.


Ma femme obéit. Tchac! Au 9e coup, elle se mit à genoux, toujours sanglotant.


Il ne répondit même pas. Deux minutes passèrent. Lassé,  il posa un instant son instrument. Il rassembla les longs cheveux d'Isabelle en queue-de-cheval, qu'il torsada deux ou trois fois avant de l'entourer autour de sa main droite. Il s'en servit d'une poignée, pour tirer ma femme vers le haut. Avec sa main gauche, il prit ma femme sous l'aisselle gauche pour mieux la soulever.

- Mettez-y un peu du vôtre. Aidez-moi à vous relever, car je ne voudrais pas vous faire mal, dit-il.

Ma femme se mit debout. Sa respiration était saccadée.

- Oui, c'est vrai, je ne vous ai pas montré comment respirer. Excusez-moi.

Il lui indiqua comment procéder en poussant avec son ventre, attendre quelque instants, inspirer à fond, bloquer sa respiration... Isabelle 3 fit consciencieusement les exercices demandés. Ils produisirent leur effet. Elle se calmait, retrouvait sa sérénité.

- C'est bien, dit-il. Vous vous sentez mieux?

Ma femme fit « oui » de la tête.

- Parfait. Je vais vous battre à nouveau. Vous avez exigé douze coups, rappela-t-il. Recouchez-vous à votre place, sur le bureau.

Ma femme soupira et s'allongea.

- N'oubliez pas le reste: accrocher vos mains au rebord opposé, relever bien vos fesses, écarter vos jambes dans les limites données par votre slip aux chevilles.

Ma femme s'y employa.

Le tchac du 10e coup rompit le silence.  Cette fois, elle ne bougea pas, nous épargnant ces scènes pénibles. Elle redressa spontanément son bassin pour le 11e coup. On sentait qu'elle avait intégré sa fessée, qu'elle l'admettait pour la première fois comme naturelle. La curiosité du coup à venir dépassait maintenant la hantise de la souffrance. Tchac! Petit bond de ma femme.



Elle pointa à nouveau et pour la dernière fois ses fesses vers le haut. Tchac! La punition était allée jusqu'au bout. Elle se remit debout;


Ses fesses étaient striées de rouge. Elle les massait doucement. Son visage était mouillé de larmes. Isabelle 183 alla à la salle de bain et revint avec un gant humide, qu'elle tendit à ma femme. Isabelle 3 dit merci et s'humecta la figure. Elle se rhabilla.

Elle prit la main droite de l'homme et la pressa dans ses mains, longuement.


Nous dîmes au-revoir. Le mari d'Isabelle 183 me serra la main et me dit:


J'allumais l'Audi Quattro. Le GPS fonctionnait à nouveau. Isa  fit une grimace au moment de s'asseoir. Nous reprîmes la route. Je n'avais qu'une idée en tête, c'est d'être de retour à la maison, pour lui faire l'amour. Elle tourna vers moi un regard attendri.


Enfin chez nous, dans notre chambre, elle se dévêtit en totalité.


Elle se coucha sur le ventre. C'est alors que je découvris ses fesses, sidéré. Elles ne portaient plus aucune trace de coup. Encore un des effets spéciaux d'Isabelle 183, pensai-je. C'est alors que je compris qu'elle avait de grands pouvoirs.

Ma femme écarta de ses doigts le haut de ses fesses.


Nous vécûmes un très beau, un très grand moment d'amour.

Ces événements me reviennent en mémoire, le temps qu'Isabelle 3 aille dans la salle-de-bain prendre sa brosse à cheveux. La voilà qui arrive, sa marche toujours freinée par la culotte descendue aux chevilles. Elle me  tend l'ustensile familier de ses fessées, celui peut-être avec lequel elle a connu les plus belles, celui qui peut-être l'a rendue la plus belle, depuis sept ans qu'elle est devenue une femme fessée, après notre escapade en Ariège. Je  prends l'objet dans la main droite, celle qui va fesser. Je suis assis au milieu du canapé. Isabelle 3 s'allonge en travers de mes genoux. Elle rampe à plat ventre, jusqu'à ce que ses fesses soulevées par mes genoux saillent le plus possible. Elle ramène ses bras en arrière, soulève un peu son ventre, tire sur le bas de son chemisier blanc et le remonte le plus haut possible, presque jusqu'à la poitrine, pour bien dégager le bas de son dos et éloigner symboliquement le plus possible le tissu potentiellement protecteur de la partie qui va être fessée, rougie, cramoisie. A cette seconde, elle me livre ses fesses et elle se livre à mes coups salvateurs. Elle croise ses poignets sur ses reins et me dit « serre-les moi ». Je les maintiens fermement de ma main gauche. Encore un des petits gestes spontanés de sa part, d'abandon et de confiance, qui m'émeuvent tant. Je regarde ses fesses, déjà d'un rouge modéré, après la fessée à la main. J'ai envie d'y déposer un bisou, de les caresser ou au moins de les effleurer. Je m'abstiens, difficilement. Ce n'est pas ce que ma femme attend de moi. Ce n'est pas non plus ce que j'attends d'elle. Je dois répondre à son attente silencieuse, celle de son corps et de son esprit, je dois assouvir ses besoins les plus profonds. Je dois mériter cette confiance, qu'elle a placée en moi. Je ne dois pas céder à mes élans de tendresse, pas encore. Je dois être dans la maîtrise, je dois la maîtriser. Je dois être l'homme à ses yeux, à mes yeux, pour elle. Et il est si bon de la fesser, c'est si fort. Et je tiens la brosse dans la main droite. Je tourne la partie peigne côté plafond et oriente le plat vers ses fesses. Je lève haut ma main. Je choisis l'endroit que je vais frapper, je suis tenté par l'extérieur de la fesse droite, le plus éloigné de moi, là où je préfère toujours commencer. Mais je ne veux pas être prévisible. Alors j'abats, très sèchement, puissamment, la brosse, au milieu de la fesse gauche. Le corps d'Isabelle 3 se tend d'un coup, son buste se redresse à moitié en arrière. Je suis obligé de tenir très fort ses poignets, pour qu'ils ne m'échappent pas. Elle pousse un « ha » de surprise et de douleur mêlées. Je la laisse se calmer quelques secondes, avant de la fesser à nouveau.   Combien de coups vais-je imprimer sur sa peau, avec quelle force? Je l'ignore, elle l'ignore, nous l'ignorons tous les deux. Je suivrai mon instinct.

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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