Jeudi 20 janvier 4 20 /01 /Jan 12:31

Quand j’ai commencé à sortir avec Sylvie, elle m’a présenté sa sœur aînée Odile et  j’ai pu rapidement découvrir qu’Odile était une véritable « petite peste »,  se plaignant, critiquant tout et tout le monde, si bien, qu’exaspérée, Sylvie me confia un jour : 

« Tout ce qu’elle mériterait, c’est d’avoir un copain qui lui donne une bonne fessée jupe retroussée et culotte baissée de temps en temps! Heureusement pour elle qu’elle ne sort pas avec toi, car quand je pense à celles que tu me donnes et que je reçois depuis que nous sommes ensemble !!!! »

Les semaines et les mois  et des années passèrent et un jour, Sylvie me laissa seul sur place, devant rejoindre ses parents à leur maison de campagne familiale, me demanda d’attendre qu’Odile rentre de son travail et de venir en fin de journée les rejoindre avec elle. Je restais moins d’une petite heure à attendre Odile qui finit pas arriver, un peu plus tard que je l’attendais et je l’invitais à se dépêcher pour préparer ses affaires pour que nous puissions prendre la route et rejoindre tout le monde pour le week-end, la nuit arrivant assez vite en cette période hivernale.

Odile manifesta rapidement sa mauvaise humeur et son mauvais caractère en me faisant attendre dans le salon tandis qu’elle s’enfermait dans sa chambre pour en somme faire un tout petit sac de voyage avec seulement quelques vêtement pour uniquement deux jours d’absence … elle sortit, une première fois, tandis que je l’attendais patiemment assis, bras croisés, dans le canapé, pour me jeter une revue de mode sur les genoux en me disant : « Essaie de lire cela car ça va être long !!! »

Puis elle ressortit une deuxième fois pour me réclamer du feu pour fumer une cigarette, alors qu’elle savait très bien que je ne fumais pas, ce qui ne l’empêcha pas de me dire :

« Ce n’est pas parce qu’on ne fume pas qu’on ne doit pas avoir du feu pour sa « peut-être » future belle-sœur !!! »

Elle trouva un briquet dans la cuisine et fuma sa cigarette dans le salon où je me trouvais et quittant la pièce pour retourner dans sa chambre, elle me jeta le briquet en me disant :

« Garde le … au moins la prochaine fois que je te demanderai du feu, tu en auras !!! »

Elle était repartie en écrasant mal sa cigarette qui rapidement se consuma et empesta l’atmosphère  du salon, ce qui me fit me lever pour l’écraser, vider le cendrier et aérer la pièce car je pensais bien que j’en avais encore pour de longues dizaines de minutes à attendre « mademoiselle » !!!

Je sentais monter en moi une certaine impatience et aussi nervosité, quand elle ressortit de sa chambre, ayant changé de tenue, portant une robe d’automne dont la ceinture consistait en une chaîne garnie de clochettes, tintant au rythme de ses déplacements … semblant chercher quelque chose et en vue de gagner du temps et aussi de détendre l’atmosphère, je lui demandais ce qu’elle cherchait, ce à quoi elle me répondit :

« Ma cigarette … qu’en as-tu fait ? je suis sûre que tu l’as jetée … je ne l’avais même pas finie … ça se voit bien que tu ne fumes pas et que tu n’en achètes pas !!! »

Je lui répondis qu’elle devait se calmer, être un peu plus aimable et pas seulement avec moi, mais avec tout le monde car sinon une fois de plus le week-end allait une fois de plus être gâché … ce à quoi elle me répondit :

« Si tu voulais des week-ends plus calmes, tu n’avais qu’à pas sortir avec ma « petite » sœur et te choisir une autre  fille sans  grande sœur  !!! »

 

N’y tenant plus, je m’approchais d’elle de très près et les yeux dans les yeux, je lui annonçais :

« A bientôt trente ans, mais tu es vraiment une petite peste et je crois bien que Sylvie a raison quand elle dit qu’une bonne fessée de temps en temps te ferait le plus grand bien !!! »

… cela la fit sourire … tandis que j’ajoutais :

« Sylvie m’a déjà testé avec ses caprices, ses colères, ses sautes d’humeur, ses dépenses, mais après quelques bonnes fessées reçues jupes retroussée, allongée sur mes genoux, elle s’est vite calmée !!! »

Debout bras croisés, me fixant depuis l’escalier menant à sa chambre, Odile me lança :

« Eh bien, j’aurais voulu voir cela ma chère petite sœur, jupe retroussée à 25 ans recevoir une fessée comme une gamine !!! Moi aussi, comme elle, j’ai aussi une bonne paire de fesses, fermes et musclées par le footing et la natation et ça  ne me fait pas peur !!! Tu risques même d’avoir mal aux mains avant que j’aie mal aux fesses !!! » 

A suivre… 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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