Un grand merci à mon ami Georges pour ce magnifique dessin qui incarne à la merveille l'éducation anglaise. Petite touche
troublante, le monsieur en Kilt. A vrai dire j'ai déjà parlé de ce petit détail à mon homme qui le considère avec beaucoup de bienveillance. Contrairement à ce dessin cela se passera de manière
moins pudique et je serai donc déculottée en présentant mon derrière tout nu aux yeux de mon homme. Mais il y a aura ce sensuel contact entre ma propre nudité et celle des jambes de mon homme.
Quant à la fessée pour arrêter de fumer à la maison je suis entièrement partisane. Heureusement j'ai pu me débarrasser entièrement de ce vice, il y a plus de deux ans, mais avant les modalités de
ma consommation étaient strictement réglementes. Sur ma propre demande. Je connais donc bien la situation présentée sur le dessin quand je me suis faite choper par exemple dans l'arrière cuisine
par exemple en plein hiver en train de m'en griller une sans compter sur la vigilance de mon homme.
J'ai les yeux partout, isabelle !
Hélas, soyons clairs, la fessée comme moyen pour arrêter de fumer me semble parfaitement inefficace. Par contre cela permet de
diminuer la consommation et c'est déjà cela de pris. Mais en fait, c'est quoi exactement l'éducation anglaise ? Au lieu de me perdre dans la théorie, j'ai envie de raconter un peu mes
propres expériences à ce sujet ! J'étais partie sur un fantasme de pertes de privilèges...
Ah ce grand classique pour donner une dimension
supplémentaire à la discipline domestique !
L'idée de perdre une partie de mes privilèges de dame, pour reprendre un rang d'une demoiselle dont l'éducation reste à (par)faire,
sans toutefois trop savoir ce qu'implique cette dernière notion, a hanté mes rêveries de célibataire. Pas uniquement celles sous ma couette ou dans ma baignoire, tiens, mais aussi celles à yeux
ouverts au cours la journée. Pendant la pause déjeuner avec mes collègues. En attendant le bus et pendant le trajet. Dans une interminable file d'attente. Bref à chaque occasion où j'avais envie
de m'évader un peu. Où il fallait faire présence de corps et non de l'esprit. Et bien entendu dans mes petits films je ne manquait ni de sévérité, ni de vice avec moi-même. Il est d'ailleurs bien
connu que les punitions imaginaires ne vont pas de main morte. Et le fait que quelqu'un décrive des déculottées qui ne résistent pas à la épreuve de la réalité (ou devrais-je dire plutôt des
vraies fesses qui ne résisteraient pas à une telle épreuve réelle sans importants dégâts ?) n'est pas forcement synonyme d'une personne avec des fantasmes extrêmes. Chaque chose en son
temps.
Mais disons que cette histoire de privilèges vit avant tout de l'émotion que procure un changement radical de la tenue de la
dame.... imposé par le monsieur avec une voix ferme et décidée ! L'interdiction de porter pendant un temps tel ou tel autre vêtement. Et adopter à la place une tenue de rigueur avec un lourd
sous-entendu symbolique. Une tenue pour me remettre à ma place, dans laquelle je suis sensée d'être gênée, voir honteuse et qui par ce fait devrait m'inciter à réfléchir pour changer mes mauvais
comportements. Tout un programme ! Ne rigolons pas, la discipline domestique se veut sérieuse. Et c'est justement là que réside son charme. En essayant de rétablir des valeurs qui n'ont plus
cours depuis belle lurette. Grande émotion et spectacle à chaque fois que Monsieur me demande de ranger jusqu'à nouvel ordre mes jolis habits de séductrice (y compris et surtout mes bas et
porte-jarretelles!) pour remettre mon uniforme d'étudiante Et par uniforme je n'attends pas un accoutrement tirée par les cheveux, c'est-à-dire provenant d'un magasin pour améliorer le côté
récréatif du couple, mais une tenue dans laquelle on peut sortir de la maison sans offenser la pudeur publique. Quelque chose calquée sur la grande époque des internats pour filles de bonne
famille, style années 50. Du moins comme j'imagine l'ambiance de cette décennie. Et de l'expérience, ceux et celles qui me regardent ainsi vêtue ne savent pas vraiment non plus si s'agit d'une
allure ultra-branchée de ma part ou si je fais réellement mes études dans un établissement avec des telles exigences vestimentaires. Au début c'est un peu inhabituel de sortir ainsi avec son
homme, mais cela devient vite du tout naturel. Notamment quand on a que 24 ans comme moi à l'époque, il y a un grand effet rajeunissement au point que mon homme étais pris parfois pour mon papa.
Ce qui n'était pas pour me déplaire et le risque de déraper sur un jeu de sale gamine n'est pas négligeable.
Retournons maintenant un peu à l'automne 1998. Quelques jour auparavant monsieur m'avait confié - un peu gêné - son goût pour la
rigueur des uniformes scolaires. Les petites jupes plissées, grises, bleu marine ou écossaises avec des culottes en coton en dessous. Voila que retient un monsieur en parlant du fantasme de
l'écolière. Du basique à l'état pur. Je n'ai pu m’empêcher d'éclater de rire. Alors monsieur un peu vexé, n'a oublié de rajouter :
Ça va de paire avec l'emploi du martinet !
Achat un commun, effectué au cours d'une agréable journée ensoleillée. J'avais déjà pu goûter à quelques reprises à cet instrument
si traditionnel et si étroitement lié à la culture française. Aucune discussion sur la fessée où le martinet ne fait pas surface et devint le principal acteur de savoureuses anecdotes. En fait,
il y a avant tout son non-dit. Il semble plus méchant quand on en parle que de le subir. Une fessée au martinet est certes douloureusement désagréable, mais en aucun cas assimilable à une séance
de torture. Cela rejoint le registre « même pas peur, même pas (trop) mal » évoqué parfois dans ce contexte et résumant parfaitement mes propres impressions. Reste après acte un fessier
brûlant, joliment strié, plaisant à regarder dans une glace et qui donne envie de devoir l'exposer... tiens...devant quelques bonnes copines. Ou encore la belle mère dans mes fantaisies les plus
hardies.
...et des longues chaussettes blanches qui s’arrêtent juste en dessous du genoux
!
Tu plaisantes chéri ?
Hein non, il ne plaisantait pas. Et à sa voix j'ai compris à quel point ce petit détail le troublait.
J'adore le shopping !
J'ai passé une excellente journée pour trouver ce dont j'avais besoin pour faire la surprise à mon homme. Puis la perspective de
vivre une situation en rapport avec mes rêveries d'internat m'a mise dans un état quasi secondaire. C'était dans le tout nouveau, tout beau. Et à vrai dire je n'ai pas changé depuis. Quand il
s'agit de faire plaisir à mon homme je suis toujours partante. Il m'arrive également de lui prendre des petits trucs pour le plaisir de mes yeux et il ne dit pas non pour les mettre. Même si cela
lui coûte comme pour...
...ces ridicules strings en cuir !
(Passons sur l'effet stimulant d'un certain ridicule ! C'est un sujet à part entière.) Le plus dur à trouver ce fut la veste à
écusson. Je n'avais pas vraiment envie de m'endimancher. Je voulais quelque chose ne manquant pas d'élégance. J'ai opté pour un blazer mode et j'ai acheté un écusson à part. Et voilà le tour joué
pour un aspect trompe l’œil d'un authentique. Quant à la jupe plissée - pas trop courte toutefois - et autant pour le chemisier blanc le choix ne manquait pas. J'avais décidé de soigner les
détails. Alors j'ai pris aussi une petite cravate noire et un lot de culottes style petit bateau. Concernant ces dernières j'aime beaucoup l'effet sur un pubis dépourvu de poils. Cela donne un
aspect en quelque sorte sage et impudique à la fois. Et comme j'ai pu constater par la suite, mon homme résiste difficilement la tentation de glisser ses doigts sous le fin coton. Et aussi de me
caresser par dessus de la culotte. Enfin, restait le choix des chaussures et des bas. Hors de question pour moi de mettre de chaussures sans talons. Personnellement je ne me vois pas dans des
ballerines. J'ai hésité pendant un long moment sur des bas-up avant « d'oser » les chaussettes longues. Blanches, cela va de soi et s’arrêtant en dessous du genoux selon les souhaits de
mon homme. Pour moi, cela évoque un comble de ridicule sur une femme. Et pourtant je ne suis pas facilement à effrayer en matières de tenues. Pendant un moment j'avais compté sur le « bon
goût de mon homme » et ses préférences pour les bas. Mais bon, une fois appris qu'il aimait s'extasier devant la nudité de me genoux, je me suis dit :
Pourquoi pas ? Après tout nous sommes dans
un registre de punition.
Me voilà donc parfaitement équipée pour ma rentrée scolaire. J'ai essayé de me familiariser un peu avec cette tenue en absence de
mon homme. Je sais qu'il a un faible pour le naturel, alors justement il faut de l’entraînement que cela paraisse vraiment naturel. Petite phase bénie de jolis rêveries. Le tout agrémenté par la
présence de notre martinet. Je ne dirais pas que je sentais en mettant cette tenue un retour vers mon adolescence. Je n'ai pas vécu des châtiments corporels outre que dans mes fantaisies. Je n'ai
pas été dans une institution privée qui préconise les uniformes pour les jeunes filles. Et je n'ai pas été une ado timide ou pudique envers les garçons. Ma nouvelle tenue ne correspondait à aucun
élément de mon passé. Je m'étais donc préparée pour vivre autre chose. Du nouveau, tout compte fait.
Je n'ai pas attendu longtemps la bonne occasion pour passer à l'acte. Un retour de Monsieur après un déplacement de quelques jours.
Il me passe un coup de fil pour m'annoncer l'heure exacte à laquelle il rentre en finissant par :
Pas de harcèlement ce soir. J'aimerais te voir dans une tenue apaisante, isabelle !
Bien sur mon chéri, tu fais bien de me le
rappeler !
Intérieurement je suis pliée de rire. Il doit être sacrement claqué pour manifester un tel désir. Bon, je suis une petite dame
disons ... très active... avec l'homme que j'aime. Notamment après une séparation de quelques jours. Étant d'une excellente humeur, je profite pour me préparer. Malheureusement mes cheveux sont
trop courts pour une coiffure avec une tresse. Du maquillage oui, mais très discret. Puis j’attends en buvant mon café.
Que dire de nos retrouvailles ? Les yeux de mon chéri pétillent. Il me demande maintes fois de me tourner pour qu'il puisse me
contempler sous toutes les coutures. Puis petit bonus, je lui fais voir l'effet de la jupette plissée qui se lève en me tournant et dévoilant ainsi ma culotte petit bateau. Ah comme il est facile
parfois d'émerveiller un homme.
Contrairement à nos habitudes, retrouvailles vanille acrobatique, ce soir-là la fessée était au programme. C'était une évidence pour
nous deux. Évidence qui n'avait pas besoin de faute, ni de prétexte. Envie d’entendre la sonorité de mes fesses. Pas besoin de martinet non plus. Parfois les choses les plus simples sont le plus
agréables. Moi allongée sur les cuisses de mon homme, mon derrière en l'air. Tout nu, car ma petite culotte en coton est descendu autour de mes chevilles. Dans le feu de l'action elle n'y restera
pas longtemps. J'ai tendance à gigoter fortement et ainsi me libérer aussi mes chevilles. Et quand mon postérieur affiche déjà un magnifique rouge, ma culotte se trouve par terre. Oubliée et
abandonnée. Comme mes chaussures.
J'aime beaucoup le classicisme de la fessée à la main. La vigueur masculine qui s'exprime d'une manière fort pertinente. Plaisir de
sentir le monsieur faire sa loi. Sensualité quand tu nous tiens. On comprend aisément pourquoi l'emploi du martinet s'impose pour les très grandes filles en cas de punition. Éviter une trop forte
excitation sur le champs. Notamment quand c'est un monsieur aimé qui applique la punition. Dans ce cas, il y aura toujours cette agréable ambiguïté qui approche la fessée d'un pur acte charnel.
Même sans suite « pénétrante ».
Quand Monsieur se sert de sa main, hors contexte de correction, j'aime beaucoup lui souffler des petits :
Plus fort s'il tu plaît
!
Je sais bien à quel point cela augmente ses ardeurs. Et quant à moi, j'ai envie que cette fessée reste gravée dans dans mes fesses
pendant des très longues heures. Qu'elle nécessite un bon coussin pour m'asseoir à la maison ou qu'elle me procure des terribles gigotements (encore!) quasi involontaires dans un lieu public,
comme le bon restaurant après l'acte.
Ce soir-là nous ne sommes pas allés au restaurant. Nous avons profité pour une balade nocturne en amoureux. C'était en automne, mais
il faisait encore bon. Car n'oublions pas que j'étais en jupettes avec mes jambes nues à partir du genoux. Une balade extrêmement romantique. C'est là que j'ai commencé à apprécier vraiment ma
tenue. Elle est idéale pour se faire corriger et idéale pour faire prendre l'air à un popotin brûlant.
La suite de cette histoire se trouve sur mon blog principal sous ce lien :
Besoin de discipline domestique – La fessée en couple