Discipline Domestique Romantique
Voici le récit d'une fessée féminine sur des fesses féminines dont je fus le témoin il y a quelques années :
Lorsque j’étais encore célibataire, nous passions souvent des samedis soirs entre copains et copines dans l’appartement ou le studio de l’un ou l’une d’entre nous autour d’un plat régional ou tout simplement une pizza.
Ce soir là, je me retrouvais le seul homme avec trois copines et collègues Valérie, Nathalie et Patricia. Ce soir là, nous étions chez cette dernière et le repas terminé, la table débarrassée, elle nous proposa une soirée poker, dont peu de nous autres, mis à part Patricia, ne semblait trop maîtriser les règles de jeu. Nathalie, l’aînée « fille » du groupe semblait bien connaître Patricia pour sa malchance au jeu de hasard et surtout d’argent, aussi la règle de ne pas miser d’argent fut décidée, ainsi que la durée d’une heure pour la partie où l’argent des mises fut remplacé par des haricots secs et tous décidèrent que le gagnant fixerait un jeu au perdant.
Tous étant d’accord, la partie commença, les cartes tombèrent, les enchères fictives flambèrent. A 22h30, sonna la fin de la partie et le temps des comptes, dépenses et recettes, pertes et gains et Patricia était la grande perdante … Valérie la grande gagnante, Nathalie et moi-même recouvrant nos mises de départ.
Encore tous autour de la table, Valérie annonça qu’elle avait choisi son gage pour Patricia, gage particulier qui, souhaitait-elle, lui ferait passer l’envie de jouer à des jeux d’argent et de risquer, comme cela était déjà arrivé et su d’elle, que Patricia perde une grosse partie de son salaire et tire le reste du mois le diable par la queue … ce gage allait être très particulier et devrait plaire à tous sauf à Patricia … Valérie annonça :
V – « Nathalie et Alain vont prendre tous deux place dans le canapé, tandis que je vais te prendre sur mes genoux Patricia et te donner la fessée ! ».
Valérie plaça une chaise devant le canapé où tous deux Nathalie et moi étions confortablement installés et à dire vrai, ravis d’assister au spectacle d’une jolie fille de 25 ans qui allait se faire rougir les fesses, sans trop savoir comment, ni nous deux non plus …
Une fois assise, Valérie fit signe à Patricia de s’approcher d’elle et une fois à sa portée, la renversa sans trop de mal sur ses genoux, retroussa la courte jupe de la « perdante » sous laquelle elle portait heureusement un collant foncé, mais Valérie ne s’arrêta pas à ce détail et saisissant ensemble collant et culotte, déculotta généreusement Patricia jusqu’aux genoux, laquelle poussa un « oh » de surprise, suivi d’un « oh !!! » d’indignation, avant de promettre, de jurer, de ne plus jamais jouer à des jeux d’argent.
V - « Il fallait y réfléchir avant ma petite ; je propose donc que tu reçoives de suite une douzaine de claques par jouer … nous étions quatre … j’arrondis donc à cinquante les claques que tu vas compter en cadence !!! ».
P – « Mon pauvre derrière ne va jamais supporter cela … je ne peux pas garder mon collant et ma culotte ? »
Et pour toute réponse, les claques se mirent à tomber sur le derrière nu, placé face à nous deux, Nathalie et moi, derrière qui bien que musclé et ferme, tressautait sous les impacts, tandis que de l’autre côté nous pouvions voir Patricia grimacer, serrer des dents, appréhender cette fessée s’éternisant, Patricia comptant de 1 à … si bien qu’à partir de 20 claques, non seulement les fesses de Patricia se dodelinaient, ses jambes battaient l’air, ainsi que sa queue de cheval, Patricia serrant à deux mains les pieds de la chaise sur laquelle officiait Valérie. Attendant que la « punie » annonce le chiffre et si elle tardait, une claque plus sèche s’abattait sur sa croupe, l’incitant à ne pas perdre de temps et à ne pas se tromper … Patricia prononça 50 et Valérie cessa … Patricia se releva rapidement, jupe froissée, jambes empêtrées dans le collant et la culotte baissés pour disparaître vers sa salle de bain, les fesses rouges comme des tomates bien rouges.
Valérie nous rejoignit entre nous deux sur le canapé, se frottant les deux mains comme si elle était satisfaite de l’ouvrage bien fait.
V – « Patricia sait maintenant qu’il vaut mieux rembourser ses dettes avec ses fesses surtout quand elles sont mieux rembourrées que son porte-monnaie !!! ».
Nous ne fîmes aucun commentaire encore surpris et ravis de la scène à laquelle nous venions d’assister. Depuis la salle de bain, nous entendions couler de l’eau et je pense sans me tromper que Patricia devait prendre un bon bain de siège, fesses à l’air dans le bidet rempli d’eau fraîche. Enfin, au bout de longues minutes, Patricia réapparut, ayant remis de l’ordre dans sa tenue, ayant abandonné son collant, la jupe sagement lissé sur ses hanches et jambes, les pommettes des joues rouge.