Discipline Domestique Romantique
…à force de chercher une vrai fessée, on finit par la recevoir !!!
suite et fin des mésaventures claquantes et cuisantes de Martine et Dominique
Episode 5 : à force de chercher une vrai fessée, on finit par la recevoir !!!
Je pensais que cette fessée calmerait Dominique, mais c’était bien mal la connaître car cette adorable nantaise, avait de la suite dans les idées … et quelques semaines plus tard, profitant de la durée tardive d’une étude de dossiers, avant de nous séparer, elle renouvela son expérience de me mettre en colère en renversant tout ce qui se trouvait son bureau, ce qui me lui fit dire ce commentaire :
A – « Inutile de perdre ton temps ma petite … puisque la fessée de la dernière fois ne semble pas t’avoir totalement convaincue, je vais renouveler l’expérience !!! ».
Et joignant le geste à la parole, je me levais, reculais mon siège de bureau, fixait cette jeune trentenaire qui pour une fois ne s’était pas habillée en jeune fille de bonne famille, mais portait un pull col roulé, une jupe kilt assez courte, les jambes gainées de nylon clair et chaussée d’escarpins à talons, avant de lui saisir le poignet, de l’attirer vers moi, derrière le bureau où je reprenais place en m’y asseyant et sans perdre de temps, la couchais allongée en travers de mes cuisses, la maintenant par la taille d’un bras et retroussant la courte jupe qui par la position était déjà remontée à mi-cuisses et d’avoir la surprise de découvrir que Dominique en cette fin de journée, portait des bas style « Dim-Up » au lieu d’un collant virginal !!! Me remémorant ses paroles :
« je suis un peu déçue car je m’attendais à la recevoir déculottée !!! »
sans la moindre hésitation, je lui affirmais :
A – « Puisque tu pense qu’une bonne fessée se donne et se reçoit déculottée, je ne veux pas te décevoir … »
et saisissant la minuscule culotte blanche, je la lui baissais, non pas à mi-cuisses, mais juste sous les fossettes des fesses, Dominique m’exposant en plein visage, son derrière nu entre le tissu de sa jupe froissée et la lisière dentelée de ses bas … sans me faire le moindre commentaire, sans ajouter la moindre réticence, comme soumise !!! ce qui m’encouragea sans hésiter, à la fesser méthodiquement, en cadence, d’une fesse à l’autre, fesses peu larges et peu potelées, plutôt plates, dont la résistance me surprit, ainsi que celle de leur ravissante propriétaire, tête en bas et fesses en l’air et à l’air …
Depuis ce jour, j’ai constaté que ce ne sont pas toujours celles qui possèdent une magnifique paire de fesses larges et potelées, qui sont les plus résistantes à la fessée car les plus menues sont bien souvent plus résistantes, mais parfois au lieu que leurs rondeurs passent par tous les tons du rouge, elles ne rougissent pas, mais gardent trop souvent des marques, des traces de bleus, virant parfois au violacé … même en modérant, contrôlant l’intensité des claques … mais cet inconvénient, je ne le découvris quand arrêtant momentanément de la fesser pour admirer mon ouvrage … ce qui devant l’étendue des dégâts me décida à arrêter la « punition » qui avait quand même duré plusieurs minutes !!!
Relâchant ma force au niveau du tour de taille de Dominique, cette dernière se releva pour me faire face, tout en rabattant sa jupe sur ses hanches, sous laquelle elle glissa ses deux mains pour remonter discrètement en se contorsionnant, sa minuscule petite culotte sur ses hanches ; une fois rhabillée, mi-figue, mi-raisin, tout en se frottant le fond de la jupe à deux mains, elle me fit ce commentaire :
D - « Je ne m’attendais pas à ce qu’une fessée déculottée fasse autant de bruit et me picote et me chauffe autant le
derrière ! »
et s’approchant de moi, elle me chuchota à l’oreille :
D – « Quand tu veux, tu recommences quand tu veux !!! »
Mais le lendemain matin, dans un moment d’intimité, elle me confia :
« Lorsque je suis rentrée chez moi hier soir, j’ai regardé mon derrière dans ma glace d’armoire … bonjour les dégâts … j’ai dû étaler de la crème d’arnica sur mes fesses pour faire disparaître les bleus ».
Mais ceci ne l’empêcha pas de renouveler l’expérience et je ne me fis pas prier pour recommencer presque une fois par mois et fus toujours surpris de constater que depuis Dominique, hiver comme été, portais toujours des bas.
(Merci Alain !)