Discipline Domestique Romantique
L'art de bien prendre en main une secrétaire qui ne veut qu'en faire à sa tête !!!
Episode 2 : la première on la cherche, la deuxième on la regrette !!!
Je pensais que cette fessée la ferait réfléchir et considérais cette affaire comme classée, mais quelques semaines plus tard, en cours de matinée, je la surpris à nouveau, au bureau, alors qu’elle allait allumer une cigarette. La sermonnant à nouveau, je lui annonçais, sans sourire cette fois, qu’elle avait gagné encore une fessée recevable sur l’instant et cette fois, dans mon bureau, où par chance pour elle, j’étais seul, Dominique assurant à son tour les déplacements.
Je la recouchais en position en travers de mes genoux, retroussais sa jupe rouge cette fois ci sur ses hanches, découvrant un collant chair et des dessous gris perlé et à nouveau la fessais, aussi fermement que la première fois, mais beaucoup plus longtemps. Martine se débattit plus énergiquement que lors de sa première fessée, battant des jambes dans tous les sens, tentant des d’une main de protéger ses fesses, main que je saisis et lui rabattis dans le dos, criant des « aïe », « ouille », « maman », mais rien n’y fit et je ne m’arrêtais que lorsque la paume de ma main droite était brûlante, tandis que les fesses de Martine sous son collant étaient aussi rouges que sa jupe !!!
Martine se releva se massant cette fois, les fesses à deux mains sans même prendre le temps de rabattre sa jupe, regardant par-dessus son épaule l’étendue des dégâts et se tournant vers moi, de dos, toujours jupe retroussée à la taille, m’invita, à constater l’ampleur des rougeurs, ce que je fis, constatant la rougeur de ses fesses sous le collant et me certifia que ses fesses brûlaient, chauffaient et cuisaient et qu’elle n’allait pas pouvoir s’assoir de suite … ce qui ne l’empêcha pas se joindre quand même à moi pour aller déjeuner, mais durant le repas elle s’assit du bout des fesses sur sa chaise et plusieurs fois tantôt sérieusement, tantôt sous le ton de la plaisanterie, elle m’annonça qu’elle sentait ses fesses, malgré l’épaisseur de la jupe, du collant et des dessous.
Notre travail et notre collaboration dans le travail continuèrent et parfois, en souriant, Martine évoquait ses deux fessées, les commentait et m’affirmait qu’elles renforçaient notre amitié car elle avait entièrement confiance en moi et pensait que ce « jeu » qu’elle qualifiait d’érotique ne pouvait se pratiquer qu’entre adultes consentants et confiants.