Discipline Domestique Romantique
L'art de bien prendre en main une secrétaire qui ne veut qu'en faire à sa tête !!!
Episode 1 : quand il faut donner ce qui est promis
Pendant cinq années, à rennes, j’ai partagé le même bureau que Dominique, mon associée (la trentaine) et Martine, notre secrétaire commune (a quarantaine). Dominique passait les contrats, tandis que j’effectuais des mises en place et des contrôles de sécurité informatique sur tout le Grand Ouest ; à chacun de mes retours, Martine dactylographiait mes rapports.
Martine était parfaite comme dactylo, mais avait quelques défauts ; elle arrivait régulièrement en retard et partait aussi en avance et portait régulièrement des jupes si courtes que lorsqu’elle s’asseyait en croisant les jambes, on pouvait apercevoir la lisière de son collant en hiver ou de ses bas à l’automne.
Entre autre, elle possédait un très gros défaut : elle fumait cigarette sur cigarette, profitant de mes absences pour enfumer le bureau, parfois en compagnie de Dominique. Nous en avions déjà parlé et Martine nous avait demandé de l’aider à ralentir sa consommation de tabac et devant le peu d’empressement de Dominique d’aider une collègue féminine, j’avais tenté de la faire et tout essayé :
- lui faire calculer ses dépenses en tabac pour lui prouver l’argent qu’elle perdait ;
- lui confisquer soit les cigarettes, soit le briquet, mais rien n’y faisait ;
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En plaisantant un matin, alors que tous trois prenions un café, je lui affirmais, en présence de Dominique qu’il ne restait qu’une solution, la fessée si je la surprenais encore avec une cigarette dans le bureau, ce qui la fit beaucoup rire et elle se vanta même que j’aurais mal aux mains avant elle aux fesses car avec les séances de gymnastique qu’elle pratiquait, elle n’hésiterait pas à serrer ses fesses musclées !!!
Les jours et les semaines passèrent et au retour en soirée d’un contrôle, je surpris Martine, assise au bureau, fumant une cigarette, attendant mon retour pour évaluer son travail de dactylo pour le lendemain, le tout dans une ambiance enfumée. Je lui donnais quelques explications sur son travail du lendemain et au moment de nous séparer et de fermer le bureau avant de rentrer chacun chez soi, je lui rappelais les termes de notre contrat sur sa cure anti-tabac et lui annonçais, sérieusement, mais avec le sourire, qu’elle venait de franchir une étape et de gagner en prime une fessée en sursis depuis plusieurs semaines, ce qui ne sembla ni l’impressionner, ni la surprendre.
Ce soir là, Marine portait un pull émeraude, une jupe noire assez courte, un collant noir et escarpins. Je m’asseyais sur une des chaises, lui fis signe de s’approcher, ce qu’elle fit sans la moindre peur et une fois à portée de main, je la renversais couchée sur mes genoux, ce qui la fit basculer vers l’avant, le derrière et les jambes en l’air, tandis qu’elle posait ses deux mains à plat sur la moquette, pour rester en équilibre ; la maintenant par la taille de la main et du bras gauches, à la fois pour lui éviter de tomber, mais aussi de s’échapper, je posais ma main droite sur ses cuisses gainées de nylon, puis remontais la courte jupe moulante le long de ses jambes, jusqu’au dessus de la cambrure de ses reins, découvrant la paire de fesses rondes qui allait mériter une attention particulière, sonore, claquante et cuisante, révélant sous le gousset noir du collant, une ravissant petite culotte dans les mêmes tons et sans attendre lui claquais à la fois énergiquement et alternativement les fesses, avec la régularité d’un métronome, pendant quelques minutes.
Martine, tout en se trémoussant et se débattant entre chaque gifle claquant sur son derrière, me demanda de m’interrompre un peu car dit-elle avait le « rouge au front » ; Comme elle était placée, je ne voyais pas son front, mais avais une vue magnifique sur ses fesses et malgré le collant et les dessous opaques, le rouge commençait à poindre sur ses rondeurs ; je concluais de quelques dernières claques, avant de rabattre du mieux que je pus, la jupe que j’avais retroussée et de l’inviter à se redresser.
Martine se releva, les joues aussi rouges que les fesses, mais ne fit aucun commentaire et nous quittâmes tous deux le bureau.