Discipline Domestique Romantique
Voici un texte qui me touche beaucoup. Une jeune femme exprime ses désirs avec des mots simples. Rareté à une époque qui pratique la langue de bois en matière de fantasmes. Du crédible de A à Z.
Ma première fessée punitive, je ne sais pas comment je la vois.
On se serait déjà rencontrés pour dîner tous les trois afin de faire plus ample connaissance. Le jour J, tu viens à la maison aux alentours de 14h avec un sac que tu gardes fermé. Dark m'a choisi des vêtements.
Moi je suis sur le bureau à faire une punition. Nous avons échangé nos numéros de portable, tu en profites pour téléphoner et demander que je sois les mains sur la tête à ton arrivée. En jeune fille désobéissante, à ton arrivée, j'ai les mains dans le dos. Tu t'approches de moi après avoir salué Dark, me mets toi- même les mains sur la tête que tu tiens avec une main et de l'autre tu me mets une mini fessée afin que je les garde comme tu le souhaites. Ce que je fis. Tu me demandes alors la punition que je devais te rendre. Elle consistait à recopier plusieurs mots ainsi que leurs définitions. Tu vérifies qu'il n'y ait pas de faute. Dark te propose une bière que tu acceptes tout en restant derrière moi.
J'ai l'interdiction de bouger jusqu'à ce que tu me le dises. J'obéis, je suis intriguée par le sac que tu as ramené, je me demande ce qu'il contient. Si le martinet dont tu m'as parlé se trouve à l'intérieur. Tu me demandes d'aller contre le mur à côté de la porte du salon, là où la punition sera exécutée. Dark a déjà mis la pièce dans la configuration souhaitée pour qu'il puisse voir et que tu puisses oeuvrer à ta guise.
Je suis là, contre le mur à attendre que vous décidiez que la punition doit être accomplie.
Je patiente. Je ressens dans le bas de mon ventre de drôles de sensations. Je sens que vous m'observez, que vous vous demandez à quoi je pense. Je me sens partir, je suis ce que je ressens. Les sensations me mènent dans un univers que je ne connais pas, celui de la honte que je sens monter, de l'humiliation à venir quand je me retrouverais telle une enfant sur les genoux d'une femme qui est venue pour la punir. Je sais que je peux arrêter le jeu quand je le souhaite et qu'il est encore temps de dire stop, mais je suis curieuse de savoir, de ressentir, de découvrir de nouvelles sensations. J'entends qu'on se lève derrière moi, que quelqu'un vient de quitter la pièce, mais je ne regarde pas de qui il s'agit. La musique se lance, une musique douce, une chanson connue passe en ce moment. L'heure est venue pour que la punition commence.
Pour moi la délivrance arrive, la délivrance de ces sens dont j'ignorais l'existence. Tu te lèves à ton tour avant de t'asseoir sur la chaise.
Tu m'appelles, je m'approche. Je suis en jupe en jean avec une chemise a
Dark. Tu remarques que la jupe est boutonnée comme un jean. Tu la détaches, mais la garde en place. Tu me fais m'allonger sur tes genoux.
J'ai honte, j'ai hâte que tu commences afin que cela se finisse. Je sais qu'il y aura plusieurs étapes avant la fin, que tu prendras ton temps afin que je la ressente bien. Je suis en position et j'attends que tu commences mais l'humiliation que tu m'imposes me fais bouger je voudrais que tu commences, mais tu continues à me flatter. L'attente de la première claque me semble interminable.
Tu commences enfin, lentement, mais je sens bien chaque claque que tu fais atterrir sur mes fesses. Tu augmentes la cadence tout en gardant la même force de frappe. Je commence à bouger un peu, je commence à avoir vraiment mal. Tu t'arrêtes, flattes à nouveau avant de m'enlever ma jupe. Je réalise que je suis en culotte à présent et que la prochaine fois que tu t'arrêteras ça sera pour me l'enlever. J'ai les fesses bien roses, une caresse dessus avant que la pluie de claque ne reprenne. J'ai mal, je bouge, j'essaie de mettre une main pour s'interposer mais rien n'y fait, tu continues. J'ai les larmes qui me montent aux yeux, j'essaie que ça ne se voit pas, mais tu le sais, tu le sens. Tu t'arrêtes à nouveau. Tu te saisis de ma culotte que j'attrape de justesse avant que tu l'envoies rejoindre la jupe sur le sol. Je ne veux pas que tu me l'enlèves, le dernier rempart avant que mon intimité ne soit dévoilée. Tu me regardes et me demandes si je sais comment se donne une fessée. Tu n'attends pas ma réponse, tu me remets quelques claques bien appuyées afin que je lâche prise. Ce que je fais pour éviter que tu continues. Tu me repositionnes et m'annonces que la prochaine fois que j'interviens de la sorte, je découvrirais ce que tu caches dans le sac.
Maintenant je sais que tu l'as avec toi, que si je continue, tu sortiras le martinet. Dark s'approche pendant ce temps et te demande s'il peut vérifier quelque chose. Je le sens me toucher, il sait l'effet que ça me fait. Il s'arrête, vient me prendre dans ses mains le visage afin de me déposer un baiser sur le front. Il s'éloigne à nouveau, je sais que la fessée va reprendre. J'attends et essaie de penser à la fin. Tu reprends, j'essaie de ne pas bouger, mais je ne tiens pas en place, je danse sur tes genoux, mais tu me tiens. Tu sais ce que tu fais. Tu t'arrêtes enfin pour de bon. Je pleure, je reste ainsi exposée le temps de me calmer. Tu me caresses les fesses pour apaiser un peu. La punition est finie, j'ai reçu ma première fessée punitive. Je me relève afin de me blottir dans les bras de Dark.
J'apprendrais plus tard que dans ton sac, le martinet n'y était pas, mais que tu avais ramené de la crème que Dark se chargea de me passer sur les fesses.