Discipline Domestique Romantique
Monsieur aime jouer à la poupée avec moi et il sait bien s’y prendre. Au fond je ne suis pas compliquée. Il suffit de me demander gentiment.
Il me regarde avec émerveillement dans ma jolie tenue de soubrette pendant que j’effectue mes taches ménagères.
J’ai pris les devants dans cette aventure. J’aimerais lui prouver que ses envies avec leurs multiples méandres, n’aient que peu de secret pour moi ; comme si je lisais dans son âme.
Puis, mes yeux légèrement baissés, exprimant une docilité parfaite et une moquerie perverse à la fois, je lui parle. Je n’ai pas besoin de changer le timbre de moi voix. Elle est parfaite en ce contexte, juste ce qu’il faut pour insinuer une employée de maison à l’écoute du moindre désir de son maître.
Au cas où Monsieur ne serait pas entièrement satisfait de mes prestations, je tiendrai mon fessier à son aimable disposition.
Mon culot le dépasse. Il oubli presque qu’il s’agit d’un jeu. Pour marquer son autorité il fait siffler la cravache dans l’air pour me prévenir.
Retourne-toi un peu isabelle. J’aimerais examiner ta tenue..
Je dois le troubler par mes apparences. Il semble chercher un prétexte pour me donner une première leçon. Souvent dans ce genre de jeux la couture des bas est le sujet le plus sensible. Il observe le trait noir sur mes jambes qui est d’une « droiture » irréprochable en alignement harmonieux avec mes talons aiguilles.
Cela l’intrigue.
Je t’ai dit que je ne veux pas des bas autofixants dans cette maison isabelle.
Il me croit vaincue. Je me penche bien avant, ma courte jupe et mes jupons remontent pour qu’il puisse voir les attaches de mes jarretelles.
Si Monsieur voudrait contrôler par lui-même.
Il me semble déçu. Il ne s’y connaît pas trop en trucs de filles. Il suffit d’enfiler un porte-jarretelles à six rubans et de choisir (parfois selon les modèles) ses bas une taille plus grande pour un résultat impeccable.
Pour ma robe de soubrette je suis restée bien sage. J’aime les tenues de vinyle de temps en temps pour provoquer.
Mais j’ai préféré pour ce dimanche une allure plus classique. Je voudrais me restreindre sur d’autres formes de provocation : par mes mots, mes gestes, mes mouvements et attitudes. Je trouve cela plus évocateur, plus sensuel, bon enfant quoi. La cybermaid ce serait plutôt pour une soirée animée.
Il me fait marcher dans la pièce. Il a un faible pour les hauts talons. Il me fait souvent des compliments sur ma façon de marcher.
Tu as une grâce naturelle isabelle qui me fait rêver.
Mon homme possède plein de qualités et j’en découvre tous les jours des nouvelles. Mais parfois il n’est pas dans le coup. La grâce naturelle, tu parles. Cela se travaille et se mérite durement. Pour arriver à ce résultat je me suis servie de Tolstoï, "Guerre et paix". Pas pour le contenu du livre, mais pour son poids. Je l’ai mis sur ma tête et je me suis entraînée à marcher sur des hauts talons en imitant des tops models quand j’étais adolescente.
Il m’arrive encore de refaire cet exercice, surtout quand le moral me manque. Des soucis se reflètent facilement sur l’allure générale. Ce n’est pas bon pour la vie sociale. Alors le matin avant d’aller au travail je m’entraîne un peu et personne ne se rend compte de rien. Mes états d’âme ne concernent que mon homme (et encore !) et moi. Je suis une adepte de la discipline en tout genre, de la vraie discipline domestique si j’ose dire. J’aime que Monsieur me surveille étroitement, qu’il soit exigeant avec moi, qu’il ne passe jamais sur mes fautes, qu’il me pousse quand il le faut.
Monsieur a fini son inspection ? Puis-je retourner à mes occupations ? J’ai le repas à préparer.
Il ne peut s’empêcher de soulever ma jupe et de m’appliquer quelques tapes sonores sur mes fesses. Il est très doué pour ce genre de manœuvre. J’ai bien su choisir l’homme qui s’occupe de mon postérieur. Quand nous nous sommes rencontrés il m’a séduite par son charme, son humeur, son expérience de la vie et son savoir.
Pour lui faire plaisir je ne me contente pas uniquement de lui préparer un repas raffiné. Cela va de soi quand je cuisine. Je voudrais aussi lui livrer en bon spectacle et bien sur de lui fournir des prétextes pour une bonne fessée. Cela est facile à improviser. Ceux qui me connaissent savent à quel point je suis maladroite. C’est plus fort que moi. Je n’y peux rien. Mes grands classiques sont les plats en sauces, les mousses et bien naturellement la crème fouettée. J’en mets toujours un peu partout. Monsieur le sait bien. Et comme par hasard il arrive toujours au coin cuisine quand je prépare la crème. Je sais ce qui va se passer. Il attend derrière moi, puis au bon moment il me passera un doigt sous ma jupe entre mes jambes. C’est peu original, mais cela marche à tous les coups. Je n’ai jamais pu m’habituer à ce geste. Je fais toujours des bonds comme si c’était la première fois.
Sachant mon homme derrière moi je me sens un peu tendue. C’est un peu comme l’attente d’une fessée. J’aime cette tension.
Il se met carrément à côté de moi. Je suis surprise, mais continue ma crème. Puis il fait un geste brusque et inattendu envers moi. Il ne fait jamais ce genre de chose. Il sait que je panique facilement dans une situation pareille. L’inévitable arrive, le bol me glisse de mes mains pour rebondir sur le plan de travail. Il y a même un peu de crème sur mon homme. Je veux saisir une éponge mais il retient ma main.
Tu n’as pas de langue isabelle ?
Si, si et je sais bien m’en servir. Je ne suis pas pressée quand je m’applique, lentement et avec sensualité je m’occupe des tâches. Mon jeu lui plaît, il prend plaisir et attend plus de ma part. Mais là je m’arrête et retourne à mes plats.
Il est confus, déçu. Cela se voit facilement sur son visage.
Pourquoi tu t’arrêtes ? J’attends tes justifications isabelle.
Cela m’émoustille beaucoup de vous rendre furieux Monsieur.
Pour un instant il est vraiment en train de perdre ses moyens devant moi. Est-il fâché pour de bon ? Mon insolence, est-elle plus cinglante qu’un coup de cravache. Quand et comment me fera-t-il payer la note ?
Il décidé de punir mes fautes sur le champ. Je dois me présenter à genoux devant lui. Deux êtres humains face-à-face, un homme et une femme, qui se fixent des yeux.
Puis je remarque à nouveau cette complicité ludique dans ses expressions.
Il me fait lever et me guide vers le salon. Il me renverse sur ses genoux pour me préparer minutieusement à la correction. Cette cérémonie lui prend beaucoup de temps et il semble la savourer. Il adore quand je suis déguisée en paquet cadeau. Sa main remonte mes bas vers la jupe, occasionnant un léger grésillement de l’électricité statique. Il retrousse ma jupe entièrement. L’épais jupon blanc en dentelle lourde, légèrement plus long que la jupe manque de transparence, ne dévoile pas ma lingerie noire. Tout est dans le sous-entendu. À nouveau sa main glisse le long de la couture des bas, se faufile sous le tissu du jupon pour le relever doucement. Le haut de mes bas se dessine, l’attaches des jarretelles, des rubans noirs froncés et élastiques, tendus au maximum. La naissance de mes fesses passe en vue et mes globes ronds et charnus émergent. Je pense qu’il est ému à la vue du fessier dénudé de sa bonne, mis en valeur par les fines jarretelles. Il les dégrafe délicatement une par une. L’élastique se détend par un son caractéristique.
Pour dégager au mieux le chantier il range les rubans méticuleusement roulés sous mon porte-jarretelles. Ensuite il baisse mes bas en dessous de mes genoux, finissant ainsi la préparation. Pour vérifier mon état d’excitation il passe deux doigts entre mes jambes le long de mon intimité et de ma raie fessière.
Il commence à malaxer mes globes en pinçant tendrement la chair. Connaissant ma peau, petit à petit sa blancheur habituelle se transformera en un ravissant rose très clair. Et bientôt j’ai la confirmation.
Voila qui est appétissant !
Il affectionne particulièrement pour la punition à venir une cravache en cuir rouge avec son beau manche tressé, sa tige courte avec un embout de la taille d’un demi paquet de cigarettes, épais mais pas trop rigide, causant un impacte singulièrement sonore sans gros dégâts apparents.
Puis il m'applique une claquante et percutante fessée sans se presser. Dans la pièce règne un silence total, la cravache siffle dans l’air avant de s’abattre, suivi d’un impacte bruyant, rougissant de plus en plus mon malheureux postérieur. Pour rajouter du piment je gigote autant que je peux, sachant que mes parties intimes parfaitement lisses, aussi glabres que mes fesses, se dévoileront. J’essaye de me débattre, mais il me tient fermement. Ma résistance s’estompe vite. Je respire fortement, commence à pousser des soupirs qui dégénèrent vite en cris de volupté. L'élan de mon homme s’estompe, il arrête la punition. Nous somme essoufflés tout les deux. Nous n’attendons que nos respirations mutuelles.
Il me garde sur ses genoux en me caressant les fesses avant de m’agrafer les jarretelles. Ensuite il me met debout devant ma lui.
Soulève ta jupe ma chérie.
Je lui expose mon intimité encore luisante par les secrétions corporelles.
Je constate que cette correction t’a fait beaucoup de bien, isabelle.
Cela nous a fait du bien à tout les deux. Tu as une force inouïe. J’ai les fesses en feu. Je ne pense pas que je puisse m’asseoir avant demain matin. Mais j’ai adoré comme tu as pu t’apercevoir.
Voudrais-tu je que je prépare la table ou préfères-tu que nous passerions dans la chambre ?
Pour l’instant ni l’un, ni l’autre isabelle. C’est moi qui s’occuperai de la table tandis que tu iras sagement au coin en gardant ta jupe et ton jupon relevée que je puisse me réjouir de tes belles fesses rouges.