Discipline Domestique Romantique

Début de l’histoire 

Ce fut ma première expérience de fesseur que quelques années plus tard, je renouvelais de bon cœur sur le derrière de celle avec qui je sortais ; Sylvie avait le chique elle aussi pour me « pousser à bout » et changer de conversation lorsqu’elle sentait la tension montait … de même, au téléphone, elle prenait malin plaisir à me raccrocher au nez … jusqu’au jour où elle ne vit pas arriver sur son derrière la fessée secrète que je conspirais !!! provocatrice, elle annonça que je l’aimais trop pour la fesser et qu’elle avait largement dépassé l’âge (24 ans à l’époque) et je lui annonçais que c’était ce qu’elle allait voir ou plutôt sentir ;

 

je joignais le geste à la parole, la saisissant par un bras, je l’entraînais vers une chaise où après m’y être assis tout en la maintenant d’un bras, je la saisissais par la taille et à sa grande surprise la renversais à plat ventre en travers mes cuisses, tête et jambes en bas des deux côtés, derrière bien en l’air au milieu, toujours sans lui laisser le temps de réagir, d’un geste rapide je lui retroussais sa jupe, assez étroite, avec difficulté au niveau des hanches, mais une fois son derrière bien en évidence, peu protégé par une ravissante culotte de marque Lou et couleur pastel, le tout confinait dans un collant couleur chair, la maintenant fermement à la taille, je la fessais longuement, tout en prenant mon temps entre chaque gifle d’une fesse à l’autre, tandis qu’elle me traitait de tout les noms entrecoupés de « aïe … ouille », battant des jambes, le derrière tressautant sous les claques, de plus en plus rapidement au rythme soutenu de la fessée, se faisant lui aussi de moins en moins ferme sous l’impact des gifles … quand Sylvie cessa de se débattre et s’affala sur mes cuisses tout en tendant ses fesses sous les gifles, je jugeais qu’il était temps d’arrêter la fessée et vu la chaleur de la paume de ma main, son derrière devait être brûlant … Sylvie se releva, malaxant ses fesses des deux mains tout en gardant sa jupe retroussée, les fesses écarlates à travers le collant, les joues pourpres et les yeux embués avant de s’enfuir vers la salle de bain pour se refaire une beauté et remettre de l’ordre dans sa toilette !!!

 

Par la suite, la fessée « conjugale » devint un jeu entre nous à la moindre faute, au moindre caprice et une fois par semaine Sylvie, après avoir fermé les volets ou rideaux de la pièce où nous nous trouvions,  se retrouvait sur mes genoux, jupe retroussée sur ses collants pour une bonne fessée ou pantalon baissé sur sa « petite culotte » !!!

 

Pourtant un été, nous nous disputâmes plus sérieusement et lorsque nous arrivâmes à l’appartement de ses parents, absents à ce moment là, heureusement pour moi et dommage pour elle ; je lui annonçais qu’il avait trop longtemps qu’elle n’avait pas reçu une bonne fessée (plusieurs semaines en fait) et les yeux dans les yeux elle affirma que mes fessées ne l’impressionnait pas du tout ; je lui annonçais que j’allais changer les règles de suite et avisant le canapé, m’y installa et lui ordonna de venir s’installer sur mes genoux, ce qu’elle fit sans discuter ; une fois en place, je lui retroussais sa robe d’été, mais cette fois passais ma main sous l’élastique de sa culotte et la déculottais généreusement jusqu’à mi-cuisses ; cette fois cela était sérieux, ma chère et tendre allait connaître la fessée jupe retroussée et déculottée, « cul nu » comme une salle gamine ;

 

 …une fois en position et en tenue, le derrière à l’air et bien exposé sous mes yeux, elle ne fit aucun geste pour se dérober et un seul commentaire, un « oh !!! », je ne sais s’il était d’étonnement, de honte ou de joie … et la fessée crépita dans la salle à manger, en cet été de juillet 1980, alors que les volets étaient fermés, mais la fenêtre ouverte, le tout au premier étage d’un immeuble donnant sur la rue principale ; les claques crépitaient encore plus vite et plus fort sur les fesses nues qui dès le début se contractèrent fermement pour au bout de longues minutes devenir moins fermes et tressauter dans tous les sens, battant toujours des jambes, mais la tête enfuie dans les coussins du canapé que Sylvie par orgueil féminin devait mordre à pleine dents pour contenir la douleur d’un derrière de plus en plus rouge et douloureux  !!! … car lorsqu’enfin je décidais de cesser la fessée, je vis le derrière qui jusqu’à présent rougissait, devenir écarlate et posant la main je le sentais brûlant !!!  Sylvie resta ainsi de longues minutes les fesses à l’air dans la chaleur et la moiteur de la pièce avant de se redresser, quitter le canapé les jambes entravées dans sa culotte tombée aux chevilles et se jetant à mes genoux, tâtant la « bosse » dans mon pantalon, m’annonça : « et bien, cela t’excite de fesser les grandes filles ! » 

 

A suivre

Mar 15 sep 2009 Aucun commentaire