Discipline Domestique Romantique

 

Début de l’histoire

…une fessée … et que si je voulais me venger, je n’avais qu’à la fesser comme une « sale gamine » … une fessée … la fessée … la seule expérience, la fessée pour Catherine … je trouvais cela à la fois amusant et un peu excitant, mais je lui avouais n’avoir jamais fessé personne, encore moins une personne de mon âge et de sexe opposé … tout naturellement avec un sourire de plus en plus coquin, elle m’avoua bien vouloir tester l’expérience avec elle, moi comme « maître » et elle comme « élève » … après tout pourquoi pas … et c’est ainsi qu’après avoir ouvert la porte du labo et écoutait qu’aucun bruit ne filtrait dans le bâtiment désert que nous seuls occupions, elle revint dans la pièce, verrouilla à nouveau la pièce derrière elle, mais cette fois elle était avec moi, elle éteint la lumière, prit une chaise qu’elle installa dans un coin de la pièce éloigné des fenêtres, m’invita à m’y asseoir et me donna ses recommandations, m’invitant à ne pas tenir compte de ses cris, menaces, suppliques, battements de jambes et ruades, mais que lorsqu’elle annoncerait qu’elle promettait de ne plus le faire et d’être désormais sage de fesser immédiatement la fessée ; en fait elle acceptait la punition, la réclamait même, mais en fixait les règles … pourquoi pas … j’acceptais ; alors elle s’installa à plat ventre en travers de mes genoux, se tenant des deux mains à une de mes jambes d’un côté et jambes fléchies, légèrement repliées de l’autre, sa jupe déjà courte, remontant assez haut sur ses cuisses, le derrière à portée de ma main …

 

…elle m’invita à la tenir par la taille de ma main restée libre, afin que ne glisse pas et ne tombe pas, mais aussi pour l’empêcher de se relever et de s’échapper et de mon autre main de lui claquer alternativement une fesse puis l’autre, aussi longtemps et fermement que je le souhaitais, jusqu’à ce qu’elle prononce les mots magiques, les mots « code » … après tout la tentation était trop forte, je cédais et la paume de ma main s’abattit rapidement sur le fond du kilt sur une fesse, puis l’autre, à plusieurs reprises … Catherine se mit à rire et me demanda si j’appelais cela une fessée car cela ne lui faisait pas de mal du tout … vexé, intimidé, je lui annonçais qu’elle serait beaucoup moins « fière » si j’avais l’audace, le courage de lui retrousser sa jupe jusqu’à la taille … elle ne me répondit qu’un seul mot : « chiche !!! » et j’osais … la paume de ma main quitta le fond de son kilt par-dessus lequel elle reposait sur sa fesse droite, glissait à mi-cuisses sur ses jambes gainées de nylon, remontait le long des cuisses et glissait sous la courte jupe jusqu’au bas de ses fesses et je remontais le tout jusqu’à sa taille, le tissus écossais rabattu sur son dos, puis redescendait jusqu’aux fesses que je frôlais et que je trouvais, à travers le nylon, fermes, chaudes et tremblantes ; malgré l’opacité du collant, je devinais une ravissante « petite culotte » blanche ;

 

Catherine coupa court et me demanda de la fesser fermement, régulièrement, en m’appliquant et je m’exécutais … le bruit que fit la première gifle sur le derrière tendu recouvert de nylon me surpris, puis le second sur l’autre fesse et je me pris au jeu tout en tenant fermement Catherine par la taille à lui claquer une fesse, puis l’autre, tandis qu’entre chaque gifle, je la voyais serrer les fesses tout en les tendant vers moi et poussant un petit cri à chaque fois que ma main s’abattait sur ses rondeurs que je me mis à fesser, en passer de l’une à l’autre, avec entrain et fermeté, tandis qu’à chaque impact elle se tendait comme un arc … au bout de longues minutes, Catherine lâcha le pied de la chaise auquel elle se tenait et chercha de ses deux mains à protéger ses fesses qui même si elles n’étaient ni trop larges, ni trop rondes, mais si fermes, elle ne parvint pas, les mains des filles et des femmes étant toujours trop petites pour protéger leurs fesses au cours d’une fessée … et  pour mieux la maintenir, je lui lâchais la taille, lui saisissais les deux poignets que je lui rabattais dans le dos et continuais à la fesser beaucoup plus rapidement et fermement …

 

…c’est ainsi que je m’aperçus que ses fesses, si fermes jusqu’à présents commençaient à devenir plus tendres, qu’elles ne se contractaient plus entre chaque claque et que devant le rythme soutenu de la fessée, d’une fesse à l’autre, sans arrêt, Catherine se débattait de plus en plus tout en battant énergiquement l’air de ses deux jambes, elle en perdit même un escarpin … cela faisait de longues minutes que je la fessais lorsque je l’entendis m’appeler et promettre d’être plus sage à l’avenir … je respectais … presque à regret la règle établie au départ … mais je cessais immédiatement … Catherine se détendit, pliée en travers de mes genoux et je relâchais ses poignets … elle en profita pour se masser à deux mains les fesses faisant des commentaires sur sa fessée et moi-même, affirmant qu’elle ne pensait pas jusqu’à maintenant qu’un garçon si « gentil, si poupon », pouvait avoir autant de poigne … et il est vrai que vu le spectacle qu’elle m’offrait toujours allongée en travers de mes genoux, spectacle que j’admirais dès la première minute de la fessée jupe retroussée, je constatais que malgré l’opacité du collant, ses fesses étaient bien rouge, même à travers le blanc de sa petite culotte !!!

 

Enfin Catherine se releva et rechaussant son escarpin, vint s’asseoir sur mes genoux et posa sa tête contre mon épaule comme pour se faire pardonner ;  il était tant d’aller dîner au réfectoire et pendant le repas, alors que nous étions face à face, je remarquais que lorsque Catherine bougeait sur le tabouret où elle était assise, elle grimaçait !!!

 

A suivre

Lun 14 sep 2009 Aucun commentaire