Discipline Domestique Romantique
Pour lire l’histoire dans ordre chronologique suivez les liens.
CHAPITRE 3 (2)
Elle le sentit tirer sur le haut de sa culotte, Le tissu se glissa entre les fesses et serra fortement son sexe. Ainsi
dégagé de sa maigre protection, son postérieur reçut alors directement une belle volée. Elle entendit les claquements secs de la main sur sa peau. Elle ressentit comme une brûlure. Plus elle
gigotait, plus le tissu se vrillait sur son sexe et frottait entre les fesses. Plus elle sentait également sa verge gonflée poindre sur son ventre. Toutes ces sensations confondues firent naître
en elle un sentiment d’excitation bien différent de ceux qu’elle avait connu jusqu’à présent, plus rude, plus sauvage, Moins sage en tout cas.
Elle n’eut pas le temps de vraiment l’apprécier car elle sentit qu’il lui retirait son sous-vêtement. Par réflexe, elle tenta de s’y opposer en agrippant d'une main, comme elle pu, un bout de
tissu en criant « non ! ». Mais il l'écarta fermement et la débarrassa définitivement du vêtement. Elle ressenti la morsure des claques qui s'abattirent alors, la main qui s'occupait d'elle
n'oubliant pas un centimètre de son fessier, insistant sur la partie la plus charnue. Si elle gigotait, c'était maintenant plus sous l'effet de l'incendie qui semblait ravager sa croupe que pour
réellement s'échapper. Si elle criait, c'était plus sous l'effet de la douleur que pour réellement protester. Combien cela dura-t-il ? Une éternité lui sembla-t-il. Sans doute moins en réalité.
Quand tout d'un coup, surgi de nulle part, un flot de sanglots étouffa ses cris.
Les claques s'arrêtèrent alors et l'étreinte se relâcha. Elle ne bougea pas alors qu'elle aurait pu s'échapper. Elle n'y pensa d'ailleurs même pas. Elle se calma petit à petit pendant qu'il lui
caressait doucement les fesses. Il la remit debout avec une infinie douceur et la reteint le temps qu'elle reprenne ses esprits. Il lui demanda « ça va ? » d'une voix rassurante. Elle fit juste
un signe de la tête entre les quelque pleurs qui lui restait. Elle tremblait un peu sur ses jambes, mais ce n'était pas de froid. Elle ne sentait que ses fesses et la chaleur qui s'en
dégageait.
Il s'écarta de quelques pas et se mit face à elle. Elle se revit petite fille devant son maître d'école et se sentit vaguement en faute, mais elle ne sut pas pourquoi. Il lui sembla entendre une
voix, mais ne distingua pas ce qu'elle disait. De nouveau la voix, plus autoritaire. Elle sortit brusquement de sa torpeur.
- « Déshabillez-vous ! », comprit-elle enfin. Elle s'affola tout d'un coup. Non, elle ne pouvait pas ! La voix répéta la phrase. Elle ne sut que dire, elle ne sut que faire et ne bougea pas.
- « Déshabillez-vous immédiatement ! ». Ils restèrent un moment ainsi, lui la fixant sans ciller, elle, figée,
cherchant à éviter son regard. Il se détendit imperceptiblement comme pour rompre ce face à face et elle eut soudain peur que tout s'arrête. Elle esquissa un geste de la main et se vit défaire en
tremblant le bouton de col de son chemisier, comme si elle était sa propre spectatrice. Un bouton, puis deux, puis trois... Le chemisier fut entièrement déboutonné puis glissa le long de ses
épaules et tomba par terre, faisant apparaître un soutien-gorge purement utilitaire. Elle hésita, eut un peu froid, Mais ses frissons étaient-ils réellement dus au froid ? Il l'encouragea du
regard. Elle dégrafa son sous-vêtement d'une main hésitante, dévoilant des seins petits et fermes. Elle mit prestement son bras devant eux comme pour les protéger et ne bougea plus.
Il attendit un court instant et dit simplement: « Alors ? La suite ? », comme pour la défier. Elle ne bougeait toujours pas, et restait comme tétanisée. Il reprit d'une voix cassante : « La jupe,
vite ! ».
Il lui fallu faire un véritable effort sur elle même pour faire descendre sa main libre et dégrafer le vêtement qui tomba tout seule. Un réflexe de défense lui fit mettre sa main devant son
intimité. Elle se sentait rougir, trembler. Elle avait envie de tout arrêter, mais n'avait pas envie de le décider.
- « Mettez les mains derrière la nuque, vite ! »
A
suivre…