Discipline Domestique Romantique
Une femme bien éduquée est dépourvue de poils, lisse dans le moindre coin et que ça brille et sente bon. Puis elle ne porte jamais de collants.
Voici ce que j’appelle parler en mâle. Ces exigences me font toujours l’effet. Surtout parce qu’elles sont irrationnelles et ne visent que son excitation. Il me donne le moyen de la diriger. C’est moi qui commande ce qui se cache sous son caleçon. Quand je me présente devant lui pour un contrôle de mon épilation je suis salue par un garde à vous. Il en est de même quand je fais le mannequin pour des nouveaux achats de lingerie.
J’ai jamais entendu de sa bouche des exigences bien réelles : style une femme bien éduquée devrait s’occuper de son mari, de son foyer et des ses enfants etc.
J’adore qu’il soit exigeant avec moi. Et il sait l’être avec un sérieux déconcertant. J’adore quand il consacre une journée entière à mon éducation. Quand nous révisions le programme en évaluant mes progrès. Je n’ai qu’un seul souhait : lui obéir. Car autant qu’il sait punir quand c’est nécessaire, autant il sait récompenser l’obéissance à sa façon. Bref il fait très bien l’amour.
Veux-tu que je repasse chez une esthéticienne ou tu t’en chargeras toi, mon chéri ?
T’as pas honte de partir en vacances sans être impeccable de partout, isabelle ?
Bien entendu que je suis impeccable de partout. Je suis passée ce matin chez mon esthéticienne en laissant une toute fine bande de poils courts au dessus de mon pubis. Entretenus comme un gazon anglais. Manière que Monsieur se sente utile. A lui de mettre la touche finale. Il n’en sait rien encore. Je compte lui faire la surprise.
Mais la surprise va être de mon côté dans ce train de nuit. Il cherche un prétexte pour une fessée coquine. Et quelques minutes plus tard je me trouve allongée sur ses cuisses en faisant du pédalo. Sa main et la peau de mes fesses font bonne équipe. L’élégante dame que je suis devenue est rappelée qui porte le pantalon dans le couple et qui doit baisser sa culotte à chaque fois que Monsieur l’exige. Que ce soit pour son bon plaisir ou pour une punition.
Je ne suis pas une grande adepte de la fessée coquine, mais j’aime la perspective d’une suite de plus érotique.
Sa main résonne sur mes fesses. Monsieur ne fait pas dans le semblant. Il me fesse et il veut que cela s’entende de loin. Le risque que quelqu’un puisse passer augmente son excitation. Il marque son terrain avec méthode. Il ne me relâchera pas avant que je fasse partie de la tribu de peaux rouges. Celle qui est rouge foncée. Cela va de soi. Et surtout celle qui est fière de sa couleur. J’ai pris l’habitude de devoir me promener après ma fessée jusqu’à l’extinction du feu le derrière en air. La fraîcheur est loin d’être désagréable. Je trouve que la fessée comme correction n’est pas suffisante quand on veut éduquer une dame adulte. Il faut qu’elle fasse partie d’une longue mise en scène qui permet de bien méditer sur ses méfaits. Qu’elle amène à une honte pesante et bienfaitrice. Qu’elle se distingue de la fessée coquine qui s’intègre sans la moindre gêne dans un cycle de sexualité bien complète.
Cette nuit Monsieur est particulièrement en forme. Les trains modernes sont silencieux. La fessée d’antan par contre garde tout ses attraits. C’est comme les bas et le porte-jarretelles. Peu importe l’époque et les conventions sociales ça ne perds pas de son charme. Et ça va si bien de paire. On dirait que le porte-jarretelles est conçu aussi pour la fessée. C’est le vêtement le plus pratique pour une femme coquine. C’est très joli à voir et séduit par la disponibilité aux assauts de son homme que la dame affiche sans complexe. L’épilation intégrale accentue encore plus le désir. C’est montrer clairement que le sexe est à l’honneur dans le couple. Qu’il ne se vit pas en cachette, mais au grand jour.