Discipline Domestique Romantique
Ce sujet était prévu de longue date et je le traiterai sous forme d’un récit fictif.
Il me tient particulièrement à cœur, car la discipline domestique constitue le noyau de mon blog. Elle est pour moi la réalisation la plus élaborée du fantasme de la fessée en attribuant à cette pratique un rôle qui dépasse le simple gain de plaisir sexuel. Je la vois comme un régulateur de tension dans un couple qui extériorise les non-dits. Et justement si je parlais un peu mes non-dits.
Va chercher le martinet !
Cette petite phrase bien connue des amateurs de la fessée avec
d’instruments était également un élément clef dans ma discipline domestique à ses débuts. Chez nous l’emploi du martinet est rarement accompagné d’un rituel. Cependant quand cette phrase fut prononcée, elle me déclencha une avalanche d’émotions dont j’aimerais en parler.
Sa signification primaire concerne une punition qui n’obéit pas à une règle fixe où chaque pas m’est connu d’avance. La punition dans la punition tourne autour de l’imprévisible qui crée une tension nerveuse, indispensable pour mettre les sens à vif. Et complémentaire à la fessée qui met à vif la peau des fesses.
D’habitude quand je me prends le martinet, je sais que c’est un mauvais moment à passer, pas érotique du tout. Pour me remettre à ma place car j’ai manqué du respect à mon compagnon ou enfreint une « petite » interdiction. Ma jupe est relevée, ma culotte baisse et le martinet fait son travail thérapeutique.
C’est comme au bon vieux temps quand la discipline était encore à l’honneur dans les foyers. Un élément du quotidien dont on ne discutait pas le bien fondé. Puis la punition finie, on remontait sa culotte, arrangeait sa jupe et continuait sa journée avec les fesses brûlantes comme rien n’y était. Bref l’acte –mis à part l’intense douleur - n’avait rien d’extraordinaire.