Discipline Domestique Romantique
Un texte envoûtant d’Altec-art avec son aimable autorisation
« En position ! » dit-il d'un ton sec. Elle se remit en place. Et de nouveau il me tapota sur les fesses de la demoiselle, me leva d'un geste ample et ramena brusquement son bras. Je sifflais dans l'air et heurtait les fesses. De nouveau les vibrations. De nouveau un cri et un sursaut de la jeune fille. Mais cette fois-ci, elle se remit en place sans qu'il ait besoin de lui dire quoi que ce soit.
L'exercice recommença plusieurs fois, et je m'habituais à ces chocs répétés, d'autant que la peau de la demoiselle était douce et finalement ne me faisait pas grand mal. Je n'en dirais pas autant pour elle. A chacun de mes passages je laissais une strie rouge d'un bel effet.
J'étais manié avec une certaine adresse car je ne retombais jamais deux fois au même endroit et je finissais par laisser des traces bien parallèles sur l'ensemble de la surface de la peau.
A chaque fois, elle se redressait en criant, mais reprenait sa position.
Lorsqu'il me tapotait sur elle avant de frapper, elle remuait insensiblement les fesses comme pour me caresser et se préparer à me recevoir. J'avais même l'impression qu'au fur et à mesure, ses cris changeaient de nature. Ils devenaient petit à petit moins rudes, plus doux, se terminant parfois comme dans un soupir.
Ce manège dura un petit moment. Mon manieur se recula, comme pour admirer le résultat obtenu. Elle respirait de façon saccadée en se dandinant d'un pied sur l'autre. Il se rapprocha et la caressa. Elle se laissa faire, en se balançant légèrement au même rythme que l a main.
Il alla alors me replacer sur la table, retourna vers elle. Je n'entendis plus que des soupirs.
Ce fut ma première expérience, ma découverte de ce à quoi il me destinait. Bien plus tard dans la soirée, il vint me reprendre, m'essuya soigneusement et me tapa dans le creux de sa main. Il avait l'air satisfait. Il me rangea dans mon étui et me mit dans le tiroir de son bureau.
Quelques jours plus tard, je sentis le tiroir s’ouvrir et mon étui être déplacé. Je m’attendais à ce qu’il m’en sorte. Mais je fus surpris de voir que ce n’était pas lui mais la jeune fille que j’avais déjà rencontré qui m’extirpa très précautionneusement de ma protection. Elle s’avança alors vers lui en me tenant dans la paume de ses mains grandes ouvertes, comme on présente une offrande. Il me récupéra sans rien dire et la fit tenir bien droite devant lui. Elle était nue, Il me sembla qu’elle tremblait un peu. Je ne saurais dire si c’était à cause de la température de la pièce ou pour une autre raison. Il se mit derrière elle. Elle se pencha en avant, les jambes bien droites. Elle mit les mains à hauteur de ses genoux et lui offrit ses fesses.
Et la curieuse séance recommença. Il me brandit et me fit fendre l’air jusqu’à la peau de la jeune fille. Et de nouveau ce choc à la fois violent et doux faisait vibrer mes fibres et gémir la jeune fille. Je ne saurais dire le temps que dura cette sorte d’exercice et le nombre de fois que le bras s’abattit. Mais lorsqu’il s’arrêta, les marques sur la peau étaient fort nombreuses.