Discipline Domestique Romantique
Il est bien connu que les filles font souvent les choses ensembles. Par exemple quand elles disparaissent au petit coin en laissant les messieurs entre eux. Et en prenant un temps fou avant de revenir. Ce qui agace d’ailleurs souvent les hommes.
C’est l’été et deux couples qui profitent du beau temps pour une balade en fôret. Les hommes abordent des sujets « d’hommes ». Les filles se sentent exclues de la discussion. Puis le sujet les ennuie franchement.
Alors pour attirer l’attention de messieurs, elles font des niaiseries culminant des dans rires « bêtasses », comme dit mon homme.
Au début les messieurs sont bien patients. Font comme ils ne remarquent rien. Continuent stoïquement à s’entretenir. Mais les filles ne se laissent pas décourager. Elles deviennent plus hardies en poussant le bouchon de plus en plus loin.
Puis trop exacerbes, les hommes se comportent à mon goût en hommes. Ils mettent une fin à ces gamineries.
Il y a toute une panoplie de sensations et émotions qui s’éveille en moi. D’abord la légèreté du tissu des robes d’été. Le plaisir des jambes à nues, caressées par la fine étoffe à chaque pas. Le vent qui qu’y perd et remonte le long des jambes et qui soulève par fois la robe pour des aperçus coquins.
Soudaine une voix masculine, ferme et décidée :
Assez ! Ca ne se passera pas comme ça. Si vous n’arrivez pas à vous comporter en adultes, il faut recourir à d’autres moyens.
Se sentir prise sous les bras de son homme. Sa main qui trousse ma robe. Voir la copine à côté qui subit le même sort. Les culottent descendent aux chevilles. Et la fessée commence. Sentir un homme restaurer le respect par des claques vigoureuses de sa main sur mon fessier nu. Il y a de la résonance dans la forêt. Des oiseaux qui s’envolent effrayés par ce bruit inhabituel. Se faire claquer le derrière et entendre la copine se faire claquer à même temps. Un concert improvisé, la discipline orchestrée par un duo de quatre mains.
La peau de mes fesses commence à brûler. Sur la copine je vois, ce que je ne vois jamais. Un fessier qui rougit et gagne une apparence bonne mine.
Un duo des petits cris. La fessée ne se veut pas coquine, mais punitive. Puis une main d’homme possède une sacrée force.
L’envie d’être sage commence à surgir. La discipline fait de l’effet. Deux grandes filles implorent le pardon de leurs hommes. Jurent de se comporter désormais en femmes adultes.
Aperçu de ce qui doit être un échange de regard complice entre hommes. Le plaisir de corriger une dame, dévoilé sur le visage de l’ami de mon homme. Constater ce qui doit être mon expression de visage pendant une punition sur le visage de la copine.
Complicité entre hommes décidés et femmes contrites. Le monde tourne bien rond.
Puis la balade continue. Comme rien n’y était. Nous ne sommes pas dans un registre libertin pour finir en partouze sur un chemin pédestre. Les messieurs ont repris leur conversation. Le fin tissu de ma robe apaise la douleur dans mes fesses. Le vent aussi ajoute le sien. Les filles ne parlent plus, chacune perdue dans ces rêves. Chacune secrètement fière de son homme qui ne se laisse pas faire. Qui ne passe pas sur les caprices. Qui sait prendre les choses en main quand il le faut. L’envie aussi de se retrouver seul avec son homme. Me faire consoler sur ses genoux. Lui montrer aussi qu’après je suis une femme. M’enivrer de l’effet viril que la fessée fait sur homme...
Tu vas voir comme c’est bon être fessée...