Discipline Domestique Romantique
Demain
Par marie111
Quelque chose s’est mal passé..j’ai désobéi, j’ai manqué à une de ses, de nos règles, celles qu’on a établies
ensemble quand on a choisi ce mode de vie, quand on a décidé ensemble qu’il avait le droit de me punir, si je faillais….
Ca arrive, bien sûr, ça arrive. L’énervement, les mots qui dépassent la pensée, la colère…tout ça se règle très vite, une fessée, le martinet si il faut, le coin, avant,
après ou les deux, les fesses qui brûlent, les larmes qui coulent, et la menace de la canne si jamais je me défilais à la punition…. Ca aussi, ça arrive, la douleur, la honte, je lui échappe, je
fuis..tôt ou tard je reviens et là, c’est le sifflement de la canne, la résignation, la douleur encore, le coin et enfin la paix !
J’ai désobéi, et je lui ai avoué. Il est déçu, attristé, mais son regard ne ment pas, la fessée sera sévère. Et là, il m’annonce que ce sera pour demain matin, qu’il faudra
attendre, y penser, anticiper la correction. L’après midi se passe en lenteur, j’ai mal à la tête, le cœur qui s’affole, les jambes en coton, je lui demande corrige moi maintenant, je t’en prie,
n’en parlons plus, je t’en prie, finissons-en…il répond nous n’en parlons déjà plus. C’est pour demain. A 10 heures, dans le salon, tu apporteras le martinet et la canne. Pourquoi la canne ?
parce que tu essaies encore de ne pas accepter la punition telle que je la veux, l’annonce, l’attente….je me mords les doigts de n’avoir pas su me taire.
Nous sortons, repas en bord de mer, avec une longue tablée de gens joyeux, tu es distraite, me disent mes amies… Lui parle, s’amuse, me regarde, nos yeux se connectent,
nous pensons à la même chose, demain, dans le salon, à 10 heures…il me prend la main.
Le soir, nous faisons l’amour, je suis plus qu’ardente, (l’amadouer ?) le plaisir est immense, il caresse mes fesses, ses yeux plantés dans les miens…la perspective de la
séance de demain nous déchaîne, je lui appartiens vraiment, il me corrigera demain.
Le lendemain, penchée au dessus du dossier du fauteuil, je suis moins brillante. Le martinet me punit, la canne me fait sangloter, le coin me calme très
lentement.
A midi en famille, je peine à rester assise. Tous finiront dans la piscine, pas moi.
Vous êtes un couple tellement uni, dit ma belle mère…
Avec l’autorisation de marie 111