Discipline Domestique Romantique
Il s’agit de textes qui viennent de mon blog illustré, certains entièrement révisés.
Ce que j’ai à dire n’est pas compliqué, mais complexe. J’aimerais traiter les méandres du désir humain d’une manière objective. Dans la discipline domestique la fessée devient un élément du quotidien, un élément structurant le couple, vision contraire aux mœurs en vigueur. J’aimerai montrer le bénéfice d’une telle structure sur ma vie personnelle sans prosélytisme. J’aimerais également comparer ma vision de la discipline domestique avec celle d’autres femmes qui sont également adeptes et qui en écrivent sur le net en langue anglaise.
Il y aura trois axes :
1) Les diverses structures du fantasmes de la fessée sous un aspect psychanalytique et humain.
2) La structure psychologique de l’éducation anglaise dont la pratique va plus loin que la simple fessée.
3) La structure psychologique de la discipline domestique et sa pratique au quotidien dans un couple
Le cadre de ce blog est volontairement intimiste. Il n’y aura pas de photos de fessée, rien de sensationnel, simplement une réflexion sur la vie en couple, basée sur une structure dont personne n’en parle, mais qui existe bel et bien et qui correspond à un désir particulier.
Une personne qui m’est chère m’a posé une question la semaine dernière :
A quoi tu rêves isabelle ?
Et ma réponse :
Cultiver un petit endroit paisible et propice à la réflexion, intentionnellement éloigné des grandes audiences, dédicacé à la fessée romantique dans un couple amoureux.
Coucou ikarios
Ne vous sentez surtout pas gêné de faire intrusion dans mon petit monde. Mais ne surestimez pas mon sens de compréhension et peut-être ma réponse passe à côté de vos propos.
D’abord pas mal de mes récits traitent une irréalité immédiate qui devient – je l’espère – réalité immédiate par mes mots.
J’aime la psychanalyse pour la simplicité d’idées. J’ai un esprit plus scientifique que poétique.
J’aime me promener dans le monde de la pensée, autant que j’aime me promener dans le monde de l’émotion. Je n’ai pas un terrain de prédilection. Je suis à l’aise un peu partout. Toutefois mon approche à la pensée se fait essentiellement sur deux niveaux : L’esthétisme et l’utilité. Je ne cherche pas de normes.
Je pense que l’objectivation de la pensée facilité la vie et préserve de la métaphysique. J’ai une approche bien existentialiste à la vie qui cherche la transcendance humaine dans le concret, ne serait-ce l’écriture.
L’écriture intuitive ne me correspond pas. Les émotions comme toute autre chose de la vie ne sont pas aléatoires pour moi et de leur donner une forme verbale en évaluant leur origines et aboutissants ajoute à mon avis une dimension de plus à l’écriture.
Je trouve que le monde de fantasmes devient seulement communicable si un lecteur peut se retrouver dans une histoire racontée. Or en transcrivant simplement ce qui est en nous le risque de passer à côté de ce but est grand. C’est la distance entre sa propre réalité et la réalité objective qui permet une bonne communication.
La psychanalyse pour moi n’a pas un intérêt autre que fournir une approche qui tient compte de la réalité de l’autre qui fait partie de la réalité objective. Ce qui me semble la base de toute communication.
Je pense qu’un blog qui est seulement reflet de sa propre réalité reste hermétique et aura du mal à trouver des lecteurs. Pour ma part je ne m’y vois pas dans une telle aventure.
Ps: Le lien de votre blog ne passe pas...
Mais si par malheur, aurais-je été trop brutal lors de mon dernier commentaire où pire trop arrogant? Je vous en prie Isabelle pardonnez ces mots qui ne proviennent d'un petit homme sans prétentions aucunes, ce n'étaient que des instants de repis de la pensée et probablement de réflexions sans fondements. Encore une fois, Amie Isabelle, excusez cette impertinence. Nous adorons vous lire avec attention et à chacune de vos écritures nouvelles vous éveillez, sans la moindre failles, de si troublantes sensations qu'elles sont souvent, les débuts d'une longue nuit ou matinée, mais déjà je dois préparer le petit-déjeuné dans les règles de l'art, ce samedi, journée de relatif repos, sourire, en vous souhaitant le plus agréable des week-end de printemps, je vous envoie de Sevilla, mes respects les plus enthousiastes, encore merci.
Coucou ikarios
Ne vous excusez pas pour exprimer vos pensées. J’en conviens avec vous sur la « valeur explicative » de la psychanalyse. C’est le déplacement des guillemets qui fait la différence dans nos approches respectives. Le sexe n’y est pour rien. Jusque ce jour je n’ai rencontré personne capable de penser avec son contenu de culotte bien que le comportement de certains êtres le laisse supposer.
Peut-être essayez vous à saisir ce que la réflexion ne peut apporter, mais seulement l’expérience émotionnelle ?
Selon moi l’incompréhension de la théorie analytique se trouve dans la nature de cette discipline et dans sa dénomination qui peut prêter à confusion. La bonne question à se poser serait : Qu’analysons nous au juste en fin de compte ?