Discipline Domestique Romantique

Il s’agit de textes qui viennent de mon blog illustré, certains entièrement révisés.

 

Ce que j’ai à dire n’est pas compliqué, mais complexe. J’aimerais traiter les méandres du désir humain d’une manière objective. Dans la discipline domestique la fessée devient un élément du quotidien, un élément structurant le couple, vision contraire aux mœurs en vigueur. J’aimerai montrer le bénéfice d’une telle structure sur ma vie personnelle sans prosélytisme. J’aimerais également comparer ma vision de la discipline domestique avec celle d’autres femmes qui sont également adeptes et qui en écrivent sur le net en langue anglaise.

 

Il y aura trois axes :

 

1) Les diverses structures du fantasmes de la fessée sous un aspect psychanalytique et humain.

 

2) La structure psychologique de l’éducation anglaise dont la pratique va plus loin que la simple fessée.

 

3) La structure psychologique de la discipline domestique et sa pratique au quotidien dans un couple

 

Le cadre de ce blog est volontairement intimiste. Il n’y aura pas de photos de fessée, rien de sensationnel, simplement une réflexion sur la vie en couple, basée sur une structure dont personne n’en parle, mais qui existe bel et bien et qui correspond à un désir particulier.

 

Une personne qui m’est chère m’a posé une question la semaine dernière :

 

A quoi tu rêves isabelle ?

 

Et ma réponse :

  romantique.jpg

Cultiver un petit endroit paisible et propice à la réflexion, intentionnellement éloigné des grandes audiences, dédicacé à la fessée romantique dans un couple amoureux.

Dim 15 jun 2008 2 commentaires
pardonnez cette intrusion, aimable Isabelle ou j'imagine les infinité de sens des désirs projetés sous une encre qui ne sera jamais votre ancrage, j'en ai bien peur, excusez du peu Mademoiselle, Madame et probablement Amie car certaine de vos incertitudes du moins je l'espère de là où règnent les colocataires du néant où du vide, n'ergotons pas sur quelques dixièmes de mot, respectons simplement et certainement toujours dans l'ordre de l'idée que le symbole donne à "penser" et le reste ??? Freud, Lacan, Deleuze, Klein, Searls, Yung, Varela et tout ceux qu'on ne peux qu'oublier car ayant signé leurs écritures avant de vivre hors et dans l'espace du temps donné, oubliez les je vous en prie Isabelle, il ne sont que des icônes d'une "neutralité exacerbée" celle qui définis chaque geste, mouvement et actes selon une forme de "rapport" entre adversité et maniabilité, dénoncées et pourtant acceptées, entre normalité objectivante et trouble de la normalité toujours sois-disant et c'est là l'audace cruelle, audace pire que l'imagination sous le pouvoir du "non et désir"voilà, encore excusez ma vulgarité symbiotique et parfois sous certains éclats relevante ; la purée éblouie d'ignorance qui règnent sur nos désirs et pulsions , même nos mots sont les symptômes d'une condamnation sociétale a venir ou passée, je vous en prie Madmoiselle, Madame, vous, qui vous vous nommez Isablle et puis j'aime pas les chiffres après un prénom, donc excusez cette inadéquation primaire me rendant incapable par volonté et liberté particulière jamais con-descendante mais toujours sidérée (de sidera) de voir encore s'y ajouter encore en plus de votre prénom délicieux imaginaire ou non où l'importance? mais je vous en prie oubliez ceux qui se revendiquent d'une probable "école"(?); déjà preuve d'un manque certain d'objectivité, psychanalytique à l'extrême limite passez, survolez ne prenez ce qui vous semble sur l'instant ni avant ni après digne de sens, par ce qui est maintenant appelé "théorie critique" de la franckfurtschule mais cela même passez vite ne vous attardez sur rien, surtout si cela semble être une conception "valide", fuyez comme la vie contenue dans une vision troublante de conglomérat d'acharnités diluée dans la direction d'une nouvelle identification, usuelle ou non, d'une nouvelle non-dualité, mais ne voyez vous pas que cette dualité est vivante simplement vivante fuyez ceux qui prétendes que l'unification de cette "dualité" mène à l'éblouiessement, l'illumination, l'absence de souffrance, la connaissance non saisissante, enfin toutes ces histoires absolument mal comprises d'où qu'elles viennent (surement auriez vous remarqué la typologie luinguistique utilisiée? elle me signe déjà; une pincée, une miette d'habitudes conceptuelles, probablement issues d'un vers ou d'un autre de NagaJurNa, comment vous laissez la liberté du choix et dans la même dialectique décalée, l'avertissement d'un bien et bel ami d'une courte vie, soyez responsable ne donnez pas aux autre penseurs l'idée ou la sensations qu'ils ont mieux "objectivés" la phénoménologie conceptuelle de "l'esprit" du "Ich" , sachez seulement que vous êtes probablement la mieux placées pour voir, déceler une viabilité de vos désirs qu'ils mènent d'un espoir ou de son contraire l'inespoir et non le désespoir, faut vivre le vide pour dire une idiotie à son sujet, alors que dires de ces "penseurs" que depuis longtemps j'ai cessé d'alimenter d'une vision hermitienne du "passé systhémique", non! Isabelle, soyez courageuse, ne pensez plus, oubliez même l'idée d'une "pensée", puis cela fait la renaissance (re-nasci) vous l'obtiendrez sans la moindre difficulté, cela c'est acquis, vous observerez les difficultés passées comme enfin signifiantes non par le truchement d'une saloperie de théorie "d'ensemble" concernant les notions de l'esprit mais par la revendication authentique de vous même par simplicité, juste un souffle et c'est compris, admis, initialisé, intégré, enfin viable. Merci chère Amie au prénom d'équanimité dans le joli sens , le sens enfin, ce qui est beau par par une description ou pire une école mais par le contenu de vous même dans la continuité des rapports de vies, de morts, de joies, de beautés et surtout doué d'une impitoyable réalité immédiate, VOUS.
ikarios - le 30/03/2009 à 23h22

Coucou ikarios

Ne vous sentez surtout pas gêné de faire intrusion dans mon petit monde. Mais ne surestimez pas mon sens de compréhension et peut-être ma réponse passe à côté de vos propos.

D’abord pas mal de mes récits traitent une irréalité immédiate qui devient – je l’espère – réalité immédiate par mes mots.

J’aime la psychanalyse pour la simplicité d’idées. J’ai un esprit plus scientifique que poétique.

J’aime me promener dans le monde de la pensée, autant que j’aime me promener dans le monde de l’émotion. Je n’ai pas un terrain de prédilection. Je suis à l’aise un peu partout. Toutefois mon approche à la pensée se fait essentiellement sur deux niveaux : L’esthétisme et l’utilité. Je ne cherche pas de normes.

Je pense que l’objectivation de la pensée facilité la vie et préserve de la métaphysique. J’ai une approche bien existentialiste à la vie qui cherche la transcendance humaine dans le concret, ne serait-ce l’écriture.

L’écriture intuitive ne me correspond pas. Les émotions comme toute autre chose de la vie ne sont pas aléatoires pour moi et de leur donner une forme verbale en évaluant leur origines et aboutissants ajoute à mon avis une dimension de plus à l’écriture.

Je trouve que le monde de fantasmes devient seulement communicable si un lecteur peut se retrouver dans une histoire racontée. Or en transcrivant simplement ce qui est en nous le risque de passer à côté de ce but est grand. C’est la distance entre sa propre réalité et la réalité objective qui permet une bonne communication.

La psychanalyse pour moi n’a pas un intérêt autre que fournir une approche qui tient compte de la réalité de l’autre qui fait partie de la réalité objective. Ce qui me semble la base de toute communication.

Je pense qu’un blog qui est seulement reflet de sa propre réalité reste hermétique et aura du mal à trouver des lecteurs. Pour ma part je ne m’y vois pas dans une telle aventure.

Ps: Le lien de votre blog ne passe pas...

isabelle183
Merci Isabelle, merci infiniment de votre réponse, claire, élégante comme un essaim d'étoiles, aucunement j'essaierais de vous interrompre dans vos réflexions propres, formidablement intéressantes, je vous offre simplement la mienne en ce qui concerne la valeur explicative de la "dite" psychanalyse", après des dizaines années d'études universitaires et de recherches appliquées, j'aboutis à une simple révolte de la pensée sois-disant "saisissante" d'une réalité qui en définitive échappe à beaucoup. Mais pensez vous peut-être, Amie d'une échappée numérique, que notre situation commune de celui/celle recevant avec peur, délices et surprise un châtiment toujours justifié imprimant selon (ici) Sa volonté (ma si tendre et amoureuse Femme) de jolies marques rouges, longilignes où étalées sur mon fessier qui lui appartiens en ces moments d'erreurs commises exclusivement de ma part et la différence du fait que je suis un homme soumis sans résistances aucunes aux volontés de ma si prévenante Femme concernant mon "éducation" et vous chère Isabelle (le permettez vous?), vous une Femme, Isabelle, aux lettres adorables perlées d'affinités, d'honnêtetés purement dédiées à ce plaisir qui nous est commun, le fait même de cette différence de sexe, nous conduirais-t-il à un point de vue de nature différente? Selon moi: non.
Mais si par malheur, aurais-je été trop brutal lors de mon dernier commentaire où pire trop arrogant? Je vous en prie Isabelle pardonnez ces mots qui ne proviennent d'un petit homme sans prétentions aucunes, ce n'étaient que des instants de repis de la pensée et probablement de réflexions sans fondements. Encore une fois, Amie Isabelle, excusez cette impertinence. Nous adorons vous lire avec attention et à chacune de vos écritures nouvelles vous éveillez, sans la moindre failles, de si troublantes sensations qu'elles sont souvent, les débuts d'une longue nuit ou matinée, mais déjà je dois préparer le petit-déjeuné dans les règles de l'art, ce samedi, journée de relatif repos, sourire, en vous souhaitant le plus agréable des week-end de printemps, je vous envoie de Sevilla, mes respects les plus enthousiastes, encore merci.
ikarios - le 04/04/2009 à 08h09

Coucou ikarios

Ne vous excusez pas pour exprimer vos pensées. J’en conviens avec vous sur la « valeur explicative » de la psychanalyse. C’est le déplacement des guillemets qui fait la différence dans nos approches respectives. Le sexe n’y est pour rien. Jusque ce jour je n’ai rencontré personne capable de penser avec son contenu de culotte bien que le comportement de certains êtres le laisse supposer.

Peut-être essayez vous à saisir ce que la réflexion ne peut apporter, mais seulement l’expérience émotionnelle ?

Selon moi l’incompréhension de la théorie analytique se trouve dans la nature de cette discipline et dans sa dénomination qui peut prêter à confusion. La bonne question à se poser serait : Qu’analysons nous au juste en fin de compte ?

isabelle183