Discipline Domestique Romantique
Désir ardent de fessée
L’effet sédatif du suppositoire de bonne nuit fut de courte durée et s’estompa après trois jours seulement.
Lucie soumit son imagination et son ingéniosité à rude épreuve pour contourner ce vilain obstacle, mais capitula devant les évidences. A force de tirer la ceinture dans tous les sens sous l’assaut de ses ardeurs, elle s’attira une irritation de ses parties sensibles.
Nadège toujours à ses petits soins se montra compatissante et octroya une crème apaisante qu’elle appliqua de ses mains après la toilette matinale sur l’entrejambe de Lucie en massant longuement que l’onguent puisse pénétrer en profondeur.
Lucie approuva ce traitement par des petits soupirs de soulagement.
Le soir venu au moment de coucher Lucie, la tutrice répétait l’opération suivie d’une talque pour peaux sensibles. Elle avait également une technique particulière pour préparer le terrain du suppositoire qui ne laissa pas son élève indifférent et qui lui tendit bien sagement son postérieur en abandonnant toute pudeur.
Nadège fit comme elle ne remarquait pas l’état tendu de Lucie et la dernière trop timide pour se confier à la première ne demanda pas un soulagement efficace. En conséquence le sommeil n’était pas au rendez vous et Lucie dormait de moins en moins glissant dans une humeur que l’on peut qualifier comme nerveux ou du moins agitée.
Sa première leçon de connaissance de l’appareil intime ressembla à un échec. Nadège se donna du mal à détendre son élève en expliquant le naturel des gestes sans succès.
Elle se contenta par l’enseignement des noms de toutes les parties concernées allant du sphincter anal à la localisation exacte du clitoris en rappelant leurs fonctions. Puis Lucie dut répéter ses nouvelles connaissances en exposant et indiquant à chaque fois de quelle partie il s’agissait exactement. Elle fut invitée à se toucher de telle ou telle manière et de décrire son ressentie. Jugeant l’enthousiasme témoigné trop faible, Nadège termina la leçon plus tôt que prévu en misant sur une meilleure compréhension de l’intérêt des ces cours par la suite.
Lucie libérée de cette pénible contrainte qu’elle venait de vivre se sentit soulagée dans un autre sens que le supposé.
Son état agité s’aggravait de jour en jours.
En ce temps-là Lucie ne comprit pas le but visé par Nadège. Il lui fallut un long apprentissage avant que vînt l’illumination et nous allons suivre étape par étape le déroulement de cette initiation insolite.
Son plaisir sous verrou Lucie n’eut pas d’autre choix que de se confier entièrement aux mains de sa tutrice.
Son corps approuva les méthodes en développant une sensibilité palpitante et exaspérée en lui révélant jour par jour des nouvelles sensations. Pour ainsi dire elle prit goût à cette discipline coquine. Si elle avait été toute seule au monde avec Nadège, elle ne s’aura pas posé la moindre question. Hélas sa tutrice ne se contentait pas d’imposer ce régime strict en toute discrétion et n’hésitait pas à exposer la condition de Lucie au vue de toutes les habitantes du village.
On savait bien que Lucie était volontaire et qu’elle se pliait donc par conséquence de son propre gré aux exigences de Nadège. Heureusement personne ne vit autre chose dans ce consensus que le désir de la fille de recevoir une éducation de qualité.
Par contre elle vit dans la permanente crainte de voir revenir ses amies. Il lui parut impossible de leur expliquer se qui se passait dans sa tête et savait pertinemment qu’il serait très dur de leur cacher les détails de sa condition à la longue.
Entre ses grands discours d’antan et sa docilité envers Nadège l’abîme fut trop grand pour passer inaperçu si elle ne trouva pas une parade adaptée. Il était impératif d’obtenir un levé de la consigne à la maison avant que ses amies revinssent. Le seul chemin consista dans une conduite irréprochable aux yeux de Nadège.
Lucie n’était pas dupe. Elle se sentit prisonnière d’une attirance basée sur ses émois intimes, plus forts que sa raison et son bon sens. Elle maudissait la faiblesse de son caractère qui ne lui permit pas de mettre terme à cette relation qui lui pesait souvent et qui lui fit perdre l’estime de soi. Mais il suffisait le moindre contact corporel avec Nadège pour que sa honte se transformât en jubilation jouissive. Et la tutrice savait bien doser ses attentions.
Lucie se sentait protégée en son secret qui entremêlait volupté et obéissance. Et même Nadège qui la matait en quasi permanence n’avait pas fait le rapprochement entre activités nocturnes qu’elle jugeait normal et leurs motivations profondes.
Mais la suspension de sa détente nocturne compliqua les choses.
Privée d’un moyen efficace de maintenir son équilibre, sa haine contre sa tutrice qu’elle jugea seule coupable des ses désirs étranges et son attirance pour elle qui se languissait du moindre contact physique se livraient une rude bataille.
La nuit elle développa des voies parallèles de l’apaisement sensuel par le seul accès possible qui renforçaient encore le ressentie érotique de son derrière.
Seul pendant ses leçons de caresses intimes elle se montra indifférente aux sensations sauf quand ce fut Nadège qu’exécuta les gestes pour mieux faire comprendre à son élève la manipulations des zones délicates.
Lucie se comporta avec beaucoup d’insolence et afficha une conduite exécrable. Quand Nadège la déshabillait pour la punition elle ne frissonnait pas de peur, mais d’attente impatiente pour accomplir sa danse rythmique sur les genoux de sa tutrice. Le mélange de douleur et de volupté lui fit du bien, mais ne la calmait que pour quelques heures. Elle fit tout pour s’attirer la colère de Nadège poussée par un ardent désir de recevoir une bonne fessée salutaire.
Dans un premier temps elle maîtrisait son comportement odieux au point d’éviter ses dérapages en cas de visite d’une autre tutrice. Mais bientôt elle se trouva un malin envie de se voir prise en flagrant délit devant une voisine.
L’occasion se présenta devant l’esthéticienne qui entretenait une relation proche avec Nadège et qui passait souvent à la maison. Elle aussi était une femme très coquette et parfaitement soignée de la tête au pied.
Elle avait effectué un stage de perfectionnement en ville découvrant ainsi les dernières tendances à la mode. Elle parlait en long et en large du progrès dans l’épilation et plus particulièrement celle du maillot. En écoutant sagement Lucie apprit pour son plus grand amusement que de plus en plus de filles en ville optaient pour des « coupes » très réduites qui se résumaient parfois à un petit triangle, carrée ou rectangle très étroit. L’esthéticienne vanta les avantages hygiéniques de telle mesure en insistant aussi sur l’aspect soigné.
Lucie qui était une vraie brune avait été toujours très enchantée par sa toison abondante qu’elle affichait sous douche avec grande fierté devant ses camarades et qui lui valut beaucoup d’admiration. Il existait un véritable concours parmi les filles laquelle entre eux possédait la décoration naturelle la plus impressionnante et Lucie sortit toujours en vainqueur incontestable.
Nadège pour sa part montra un grand intérêt pour ce sujet et demandait moult explications détaillées.
Lucie se contenta de rigoler bêtement de temps en temps, puis poussa l’indiscrétion au point de demander à la femme si elle avait déjà essayé cette nouvelle mode sur elle.
L’esthéticienne affirma en avouant qu’elle avait opté depuis ce stage pour un petit ticket de métro.
Lucie se chopa un fou rire à ne plus s’en tenir sur sa chaise, puis ajouta inspirée par une mauvaise voie :
« Je serais trop curieuse de voir une tutrice avec un entrejambe aussi ridicule. »
Un silence menaçant s’instaura aussitôt. Puis l’esthéticienne se tourna vers Nadège.
« Je n’aurais cru que tes méthodes permettent une telle niaiserie à tes élèves. »
Nadège était proche de perdre son calme habituel. Elle se sentait profondément humiliée devant sa copine qui mettait la réussite de ses méthodes en doute. Mais elle ne pouvait pas lui donner tort.
« Lucie, viens que je te déshabille. Tu as un important rendez-vous avec le martinet. »
Lucy se laissa faire sans broncher. Elle se sentait bien supérieure à Bérénice qu’elle venait d’insulter et qui cachait sous ses allures austères un secret d’un ridicule hilarant qui lui enlevait tout sérieux aux yeux de la fille.
Avec une démarche hautaine digne d’une reine, Lucie décrocha le martinet pour le présenter à genoux dans une posture irréprochable à sa tutrice en demandant pardon et punition.
« Je te trouve bien orgueilleuse, Lucie. Je saurais te faire passer ces grands air, crois moi. Tu vas regretter amèrement ton comportement. »
Quelques minutes plus tard, une Lucie repentie, implorait le pardon de sa tutrice et de son amie offensée avec une sincérité qui ne laissait aucun doute sur la sévérité de la sanction.
Elle réalisa que le ridicule la concernait plus que l’invite qui regardait avec ravissement un derrière brûlant qui témoignait d’un faux pas de taille. Très embarrassée Lucie prit sa place au coin.
« Elle n’arrête pas de faire des bêtises. Elle présente encore trop de problèmes de discipline », s’excusa Nadège.
« Pourtant jugeant la couleur de ses fesses elle reçoit des déculottées mémorables chez toi. »
« Tout à fait. Je ne la prive jamais du martinet quand elle le réclame. »
Puis Bérénice devint à nouveau professionnelle.
« Ton élève possède une forte pilosité. Ce n’est pas très féminin je trouve. Surtout sur une aussi jolie fille. »
« Pourtant ses poils sont très soyeux. On dirait de la soie. »
Et s’adressant à Lucie, elle rajouta :
« Approche-toi, qu’on te regarde un peu. Je suis sure que Bérénice pourrait nous donner de précieux conseils pour ta beauté. »
Lucie pâlit aussitôt. Le martinet lui faisait depuis quelque temps un effet bien particulier qui risquait maintenant se dévoiler au grand jour.
Bérénice examina soigneusement la toison de Lucie. Elle devrait se rendre compte de l’humidité sur le champ. Lucie trembla en attendant le verdict.
« Elle est toute humide », dit la femme. Je crois qu’elle transpire fortement en cet endroit à cause de sa jungle. Et une sévère fessée n’arrange rien. Bien au contraire.
Ce n’est pas très hygiénique. Elle risque des infections »
« Justement ! J’allais t’en parler. Je dois lui passer deux fois par jour de la crème. Elle est irritée en permanence. J’aimerais que tu l’examines.
Lucie adopte la posture du suppositoire. »
« Cà m’a l’air bien grave », dit Bérénice après une étude approfondie. « Je crois que pour bien faire, il faudrait tout enlever et la garder lisse. »
« C’est bien mon avis aussi. J’avais déjà envisagée de lui faire la totale, mais esthétiquement il me plait guerre de voir Lucie avec une barbe de trois jours dans l’entrejambe. Puis ça pique et risque d’empirer les chose.»
« Pourquoi tu ne la fait pas épiler intégralement à la cire. Il n’y a pas plus pratique pour une hygiène intime impeccable. Cela fait propre et lui donnera un air de jeune fille très sage. »
« Cela s’épile intégralement ce genre d’endroit ? »
« Bien sur comme je viens te raconter. »
« J’avais mal compris », dit Nadège stupéfaite. « Le ticket de métro, ce n’est vraiment qu’un petit rectangle ? Et les lèvres alors ? »
« A zéro, comme les petites.
Tu n’as qu’à me confier Lucie. Elle sera toute lisse comme si elle n’avait jamais eu des poils avant. Si tu veux je pourrais la prendre un matin et je te la rendrez glabre à souhait une heure plus tard.»
« L’idée me séduit beaucoup. Mais cela t’arrive de pratiquer ce genre de choses dans ton cabinet ? »
« Pas encore, mais j’y compte bien. D’où mon stage. Ce sera un travail de longue haleine. Tu connais des femmes à la campagne qui voudraient ressembler à une adolescente ? Mais j’aimerais bien leur faire une démonstration de la technique et des différentes formes. Il me manque justement un modèle. Lucie n’aurait pas envie de gagner un peu d’argent de poche ? »
La proposition enchanta Nadège.
« Lucie sera volontaire. Il est temps qu’elle apprenne à se débrouiller dans la vie.
Mais cela ne résout pas le problème de sa région anale. »
« Justement. Intégral, c’est intégral. Son anus aussi sera débarrassé de tout poils. Elle sera nettement plus gracieuse et accessible quand tu lui pendras la température ou tu lui donneras un suppositoire.
Mais fais gaffe, il y a quand même un inconvénient. Il parait que les filles épilées se touchent plus que les autres vu la sensibilité de l’endroit. »
Nadège coupa court :
« Lucie ne mange pas de ce pain-là. Nous avons un petit secret Lucie et moi, n’est-ce pas ? Va chercher ta ceinture. »
« Oui, il me semble qu’elle protège bien la partie frontale. Mais le derrière reste accessible par la découpe pour aller aux toilettes. C’est la porte ouverte aux mauvaises habitudes. »