Discipline Domestique Romantique
Petite réédition d'un de mes anciens textes en cinq parties. Cette fois-ci illustrée. J'aime beaucoup découvrir le reflet de mon univers dans les dessins de mon ami Georges. J'aime la richesse des détails et sa manière inimitable de mettre la fessée en image. Je vois des facettes qui m'échappent et qui collent parfaitement à ce qui se passe dans mon imagination. Je crois que mon faible pour le métier de la secrétaire date depuis mon enfance quand je voyais mon papa travailler derrière son grand bureau. Alors j'ai compris qu'une secrétaire occupe une place de choix, car elle a le droit de rester, tandis que les petites filles doivent laisser leur papa tranquille. Plus tard en m'approchant des hommes, j'ai compris également l'impacte du mot secrétaire sur l'imagination masculine. Quasiment aussi efficace que le souhait de disposer d'une soubrette. Je ne considère pas mes expériences comme représentatives, car j'ai toujours eu un faible pour un certain type d'homme. D'où peut-être cette correspondance fantasmatique. Et d'où aussi mes envies de jouer à la petite secrétaire guindée qui cache bien son jeu sous des apparences sages. Assez de bavardage, c'est parti...
Au niveau de ses fantasmes, mon homme est parfois … souvent d'une banalité à toute épreuve. C'est ce que j'aime en lui et ce qui me rassure en lui.
(Je prépare mes fesses pour ce manque flagrant de respect? )
L'envie d'une secrétaire très particulière à sa disposition a dû déjà trotter dans sa tête bien avant de me rencontrer. Il m'a suffit simplement de regarder son étude pour savoir comment lui faire plaisir.
Il ne te manque qu'une secrétaire dévouée...
Ses yeux se sont aussitôt mis à briller comme chez un petit garçon. C'était beau et touchant à la fois. Puis en discutant un peu j'ai appris autant les « aptitudes » requises pour postuler à un tel poste, autant les exigences vestimentaires à respecter. Et également sur quel ton à parler à mon futur patron :
Tu ne saurais pas me donner une formation vraiment sérieuse un de ces jours, chéri ?
Mais avant de raconter quelques anecdotes indiscrètes, d'abord un petit échantillon de mes propres fantasmes à ce sujet.
Le bureau fantasmatique a hanté très tôt de manière fort agréable mes rêveries. Il en existait deux variantes principales.
Dans l'une j'étais employée chez un patron exigeant qui gardait dans le tiroir de son bureau un bandeau en cuir, un strap comme disent les américains pour sanctionner mes fautes professionnelles de manière insolite. J'imaginai mille et une situations pour passer sur ses genoux et l'idée de me faire trousser par lui ma jupe et baisser ma culotte me procurait d'intenses frissons. J'envisageai mes punitions d'une sévérité exemplaire, me laissant pendant des jours avec un derrière strié. Ceci dit, il est bien mignon de voir dans ses fantasmes perdurer des larges striés rouges sur son postérieur. Dans la réalité par contre, à un tel dosage cela ne reste pas rouge longtemps et vire facilement vers des … vilains hématomes !
Quant aux tenues particulièrement étudies pour stimuler l'imagination masculine, elle ne faisaient rarement, voir pas du tout partie de mes rêveries d'adolescente.
Je ne suis pas gênée pour enfiler des tenues les plus extravagantes dans l'intimité. L'idée d'aller ainsi vêtue dans un endroit spécialisé pour me montrer ne me dérange pas, mais ne m'attire pas non plus. Je préfère rester discrète en public. A moins d'être en excellente compagnie.
Ce sont mes rencontres réelles avec un petit (et adorable !) échantillon de la gente masculine qui m'ont enseignées l'emploi de tenues spécialisées et le plaisir que je pouvais partager avec un monsieur en train de perdre toute retenue.
A suivre...